D'où vient le proton = 1836.15 masses électron ?

Parmi les 53 énigmes fondamentales de la physique de l'univers (qui comprend la théorie quantique et la relativité générale sur la gravitation), il y a l'énigme du proton. 

Pourquoi le proton est la seule particule composite stable dans l'univers ? Cette question essentielle n'a pas de réponse dans le modèle standard. Pire elle n'est même pas posée ! Il en est de même dans tous les modèles alternatifs (sauf OSCAR, bien que certains se posent au moins, la question). 

Le proton est le noyau de l'atome d'hydrogène à partir duquel tous les atomes de la matière, sont construits ! C'est dire si la question est importante ! 

Or on constate que la seule et unique particule élémentaire et stable  est la paire électron-positron. Cette masse élémentaire m possède une charge élémentaire e. Alors la première idée a été de dire que le proton est peuplé de ces paires élémentaires..... car il possède justement la charge élémentaire qui ne se calcule qu'à partir de la paire élémentaire.  Cependant M. FERMI nous a dit que cela n'est pas possible.... Cela est d'ailleurs vrai mais ne concerne que les paires créées localement.  Ah oui le critère de localité... Il n'avait à l'époque aucune raison de s'en soucier car l'expérience montrant la non localité de l'univers n'avait pas encore été faite. Mais depuis on s'est empressé de .... ne pas corriger !

Et puis il y a autre chose ; avec cette même charge pour le proton (mais + comme le positron) il faudrait que ce dernier soit célibataire dans un paquet où les charges seraient masquées. Or si l'on créé localement un positron, il s'annihile aussitôt avec le premier électron venu !  En plus comment le proton aurait-il un nombre non entier (1836,15) masses électron ?  Et enfin, cela ne répond pas à la question : pourquoi existe-il et ce avec cette masse précise ?                

Le modèle OSCAR résout parfaitement toutes ces questions en montrant comment les paires créées par délocalisation, peuvent parfaitement fusionner. Par ailleurs, tous les positrons créés localement se font par paire et si le positron est éjecté, alors l'électron reste confiné dans le noyau. Cela veut dire que les seules positrons que nous connaissons sont instables car créés localement. Les autres restent confinés. D'accord mais pourquoi ? 

Parce que lors de la délocalisation primordiale, une polarisation aléatoire s'est mise en place avec le tissu subquantique et elle s'est généralisée lors de la transition de localité . C'est tout !  

Mais alors d'où viennent les quarks au sein des protons ? Quand on les a mesurés on avait tellement besoin d'avoir un constituant élémentaire pour les protons que l'on a oublié de poser une question claire : des deux  possibilités sont-ils induits ou sont-ils constitutifs.  N'importe qui aurait eu la prudence de poser cette question. Pas les tenants du modèle standard. Pour eux les quarks ne pouvaient-être que constitutifs puisque c'est ce qu'ils attendaient fiévreusement !  

Si j''avais eu à noter cela en tant qu'enseignant, j'aurais mis zéro. Eux ont reçu le prix Nobel....

Mais vous allez me dire : c'est bien de poser la question mais ce n'est pas suffisant ! Tout à fait et voyons ce disent les mesures ?  Elles disent que lorsque l'on créé un plasma de quarks, leurs stabilité disparaît en un temps extrêmement court dès qu'ils sont déconfinés ou délocalisés. En clair, cela  trahit bien un élément qui est stable lorsqu'il est induit dans son confinement et devient instable dès que l'on le sort du dit confinement.  Il y a plein d'autres arguments dont ceux-ci : a) la provenance primordiale des quarks n'est pas justifiée (on fait appel à la magie) ; b)  la masse des quarks n'explique pas la masse du proton (environ 1%). Cela a été prétendument  contourné par le boson de Higgs ! Mais c'est faux ! Ce boson (local donc instable) est juste la preuve que le tissu d'espace-temps est massique. Cette preuve vient d'ailleurs confirmer OSCAR. Mais cela n'a rien à voir avec la masse stable du proton et la clé de son existence. 
 
Cette clé est largement démontrée par OSCAR. En premier lieu, il y a deux grandes constantes aléatoires : une qui régit le taux d'annihilation primordiale et l'autre qui régit le taux de mitose. La variable d'ajustement entre ces deux grandes constantes est justement un nombre (non entier car aléatoire) de paires formant le proton. Mais ce nombre a été forcé de s'arrondir en nombre entier (1840 neutres + 1 chargé) en puisant dans les ressources du tissu d'espace-temps. Or puiser dans ses ressources, revient à rendre les oscillateurs asymétriques et donc créer une perturbation ou habillage. Ainsi l'unité masse de l'électron est habillée et sa masse est donc plus grande que sa masse nue. Donc 1841 correspond exactement au nombre de masses nues.  Le taux de cet habillage est juste le ratio : 1841/1836.15 = 1.0031.... Il est très précis.

Monsieur Gell-Mann a montré comment le nombre 8 était au centre de la construction des atomes. Or ce nombre est d'abord celui qui subdivise les 1840 unités neutres en 8 groupes chargées de 230 unités chacun ou 4 groupes de paires neutres de 460 unités chacun. On se souvient que la loi de Compton est la constante du produit ML ou ici, masse × rayon. Il suffit de diviser le rayon de l'électron par (1836.15/N) pour obtenir le rayon du proton !  Ici N = 4. Encore mieux ! Tous les baryons (cousins de proton) répondent précisément  à la règle suivante : Nb de quarks = N–1 = Nb intervalles polarisées. C'est la vibration des intervalles polarisées qui induisent en permanence les quarks. Ces inductions sont des épiphénomènes qui n'ont rien à voir avec la masse des protons. Il en est de même pour d'autres familles de particules (voir tableau). 

 Cliquez pour agrandir l'image              

  On admet que les muons ou tauons n'ont pas de quarks mais on ne se demande pas pourquoi. On s'est juste contenté de les classer comme tel. 

 

Commentaires

  1. il faut se débrouiller sur internet et tomber sur le modèle oscar pour enfin avoir des causes de l'existence des protons et des électrons, pourtant omniprésents. Mais que font l'éducation nationale et la recherche fondamentale? Ah oui, la recherche fondamentale manque de moyens financiers, et l'éducation nationale passe son temps à se réformer jusqu'à perdre élèves, profs et parents, le savoir et les notes... Un succès !

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  2. Il y a également la grave déviance sur le sens des mots. Exemples :

    - métaphysique → ce terme devrait être employé pour des approches "à côté de la physique" telles les mathématiques et la religion. Eh bien non il est couramment employé pour désigner la physique de l'univers. Pourquoi cette inversion ? Tout simplement parce que 80% des "physiciens" ne veulent pas penser la naissance de l'univers autrement que sous l'angle religieux.

    - ontologie → ce terme nous vient tout droit de la religion. Son application à la physique de l'univers n'est faite que très timidement. Chercher à comprendre l'univers est vu comme une acte hérétique. Alors que spéculer mathématiquement sur le sujet est autorisé.

    Dans l'histoire, les mathématiques ont toujours fait bon ménage avec la religion.

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  3. Bonjour Mr MAREAU.

    Pouvez-vous me rappeler ce que dit OSCAR sur la nature de la "matière" des particules (électrons et donc, protons ...) ? De quoi seraient-ils faits (ondes stationnaires, "grains" d'énergie, d'autre chose ...) ?

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  4. La matière cher Jihems, est selon OSCAR, toujours une question d'oscillateur. On a vu la paire de tachyons (boson ou OSCAR) fait d'un M L+ et un M L – parfaitement symétriques qui s'annulent en oscillant. Après synchronisation ces oscars ont deux destinations :
    a) ceux de la première couche saturée se séparent et deviennent (voir le détail fouillé) des paires électron-positrons qui oscillent avec un petit L mais un grand M. Ces paires forment les protons et un électron est éjecté. Ces proton oscillent également. Cela induit les quarks qui sont justes des extractions subquantiques tant qu'ils sont confinés.

    b) ceux (très majoritaires de toutes les autres couches du BEC) entrent en mitose et continuent d'osciller pour former à structurer l'espace-temps.

    On a vu les protons en couches et ses oscillations. L'électron libre oscille également entre sa taille subquantique et son rayon (quantique) de Compton. En fait il ne tourne pas mais oscille radialement avec un tachyon. Son spin est celui du tachyon sous-jacent ! Son rayon varie d'un facteur xi = 10^11 ! Ce que l'on mesure c'est sa masse moyenne. Ainsi quand un électron est "marié" avec un autre électron (intrication ou état de spin haut ou bas) on a expérimenté le fait qu'ils restent liés (sans délai mesurable) avec son alter ego même à des distances hors de l'influence de la vitesse de la lumière.

    Donc son existence et justifiée par celle du tachyon, elle même justifiée par l'impossibilité du zéro et de la constante ML à l'origine de h. Les ondes stationnaires peuvent exister mais elles ne justifient en rien la particule élémentaire qu'est l'électron.

    La notion d'énergie de l'électron (10^–14 joules) est celle qui transparait quand l'électron retourne au niveau subquantique. En fait toute manifestation de l'énergie est liée à une transition quantique → subquantique. Par exemple quand un électron "orbital" revient d'un état excité vers son niveau fondamental, c'est juste la manifestation d'un retour de perturbation venant du niveau subquantique. Il n'y a pas besoin d"énergie pour faire fonctionner un électron. En revanche il faut dépenser 10^–14 joules pour le matérialiser en l'arrachant (par pair) du niveau subquantique. C'est le prix d'une délocalisation où un tachyon est séparé de son alter ego. Quand il s'annihile il manifeste l'énergie (dépensée à l'extraction) par deux photons.

    La notion d'énergie est à revoir fondamentalement hors du contexte macro. En fait, il n'y a que des énergies de transfert (délocalisation ↔ relocalisation). En tout, dans tout l'univers, il y a zéro énergie. Quand je me gratte la tête, j'arrache un peut d'énergie au tissu d'espace-temps. La fusion de deux étoiles géantes c'est la même chose à l'intensité près.

    Tout ce que fait l'univers en ce moment, est juste de retourner vers un état de désordre où paradoxalement, la localisation élémentaire est parfaite (la paire de tachyon vaut strictement zéro). La relocalisation parfaite RL rime avec désordre D maximum. La délocalisation DL parfaite rime avec ordre O maximum. On a donc une constante d'univers qui s'exprime par : RL × D = constante = DL × O. Cela se décline également dans la dualité entropie-localité.

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    1. Bonjour. Et merci de votre réponse.

      Si je comprends bien, ce sont donc des ondes qui vibrent "en miroir".
      Il me reste encore à mieux comprendre qu'est-ce qui vibre, de quoi sont faites ces ondes. Ainsi que leur énergie : elle ne viendrait que de la transition subquantique/quantique ?
      Et si c'est le "tissu d'espace-temps" qui vibre, de quoi est-il fait ? ...
      (Jihems)

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  5. In fine l'espace est fait de paires de tachyons oscillants et la matière, de paires électron-positrons, issues des mêmes tachyons.

    En résumé, la clé de la "substance-matière" de chaque tachyon structurant l'espace-temps, tient dans cette définition :

    a) l'entité duale M × L ne peux pas atteindre zéro et vibre autour
    b) la vibration est dipolaire et donc annule les paramètres physiques MLT
    c) le temps T = f(ML) est juste celui d'un cycle et s'annule aussi.
    d) quand la synchronisation intervient se forme un BEC
    e) quand il sature il y a séparation + mitose → le temps global et les masses ne sont plus annulés et donc apparaissent. La séparation crée un gradient, c'est la gravitation.

    Donc la matière (vous, moi, la tour Eiffel), est faite de paires élémentaires où M cherche et trouve un presque zéro qui implique un L miroir déphasé. Il y a donc un ML qui multiplié par c (vitesse de la lumière) donne le h.

    La matière, séparée (délocalisée) du tissu de tachyons, est en cours de retrouver sa localisation particulière et il y a bien un cycle.

    Ce raisonnement est le seul qui résout les 53 énigmes de la physique de l'univers à toutes les échelles.

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    1. Merci. Et désolé de vous amener à vous répéter.
      Mais j'ai sans doute du mal avec quelque chose que je n'arrive pas encore à bien identifier ...

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  6. Vos questions sont précieuses car je suis trop plongé dedans pour élargir ma vue. Donc elles sont légitimes et intéressantes.

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  7. Je rajouterai que cette dualité : onde/particule est largement constatée.

    En fait, l'onde est rattachée à L et la particule est rattachée à M. Donc onde ou particule vient du déphasage entre M et L. Mine de rien cette explication est inédite car on s'était juste contenté de le constater sans le comprendre.

    Ainsi la clé de la matérialité (ou l'ontologie) du "rien" dans ML, est confirmée par la dualité onde/particule.

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  8. Bonjour.

    Encore une question (quelle surprise ! ...) : de quelle onde s'agit-il ? Est-ce l'onde "de matière" associée par Louis De Broglie à toute particule, ou bien, plus généralement, de toute forme d'onde EM émise ?
    Faut-il, d'ailleurs, opérer cette distinction ? Que dit OSCAR à ce propos ?

    (jihems)

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  9. C'est une bonne question ! Il y a en effet une dualité là aussi :

    - l'onde de matière dont j'ai parlé ici, dans laquelle l'énergie est seulement potentielle
    - l'onde EM qui est le vecteur de transition d'énergie quantique → subquantique.

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