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Affichage des articles du septembre, 2017

Enigme au CNRS

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Un article de juin 2017 du CNRS vient encore confirmer le modèle OSCAR, s'il en était besoin. En observant des fusions de galaxies lointaines, on n'avait déjà constaté que la matière noire apparaissait toujours en masse, suite aux collisions/fusions de galaxies. On avait également remarqué que l'intensité du nombre de  collisions, augmentait avec la jeunesse de l'univers.  Dans cet article de juin intitulé : " une galaxie à disque massive qui ne forme plus d'étoiles, défie notre vision de l'évolution des galaxies ".  Ainsi les trois observations : a) diminution des collisions avec le temps ;  b) concomitance entre l'apparition de matière noire (DM) et collision ; c) blocage de la naissance d'étoile, représentent 3 énigmes fortes pour le modèle standard. Pourquoi ? parce que ce dernier n'intègre pas la très fondamentale dualité de localité qui est la clé du modèle OSCAR.  Voici un premier extrait de l'article :     &qu

Les premières cellules se sont constituées et reproduitent en suivant le modèle du premier BEC

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Voici deux dessins (matrice → BEC et OCEAN → cellule), qui devraient parler d'eux-mêmes : (cliquez sur l'image pour agrandir) Dans les deux cas, la mitose intervient quand il y a saturation Cela veut dire après que le flux de désynchronisation soit devenu plus faible que celui entrant. Cela revient à dire que la saturation de synchronisation – gage de qualité – permet la reproduction. Il faut savoir que la mitose des cellules vivantes reste actuellement une énigme pour les chercheurs spécialisés. Cette énigme est ici levée au moins concernant son principe.  Une fois les chaînes carbonées 1D sont protégées du brassage par la peau, elles peuvent à volonté, complexifier (2D → 3D) leurs assemblages. La première peau (minérale) peut ensuite évoluer vers une consistance organique.  On peut constater que certaines "peaux" de type minéral, sont encore en fonction de nos jours.     

Nous sommes "enfant de l'univers" (suite et fin)

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On a passé en revue les notions de brassage intense,  croissance d' entropie ,  mitose , synchronisation   et  localisation .  Il se trouve que cette quintessence originelle est essentielle pour créer la vie. Est-ce bien étonnant, si sommes "enfants de l'univers" ? Bien sûr il y d'autres étapes après la délocalisation (espace) et relocalisation (matière) des paires électron-positrons originelles. Ces paires sont des fermions vis à vis de leur alter ego séparés mais sont des pseudo bosons du point de vue local (entre voisins). Et que font spontanément  les bosons ? Ils forment des BECs. Sans entrer dans le détail , ces pseudo-BECS sont les protons qui avec l'électron périphérique, forme l'atome d'hydrogène. Déjà ici on peut voir que la loi de Fermi est gravement incomplète. Elle confond les paires délocalisées avec les paires créées localement ! Cela est différent car les paires créées localement sont instables . Le proton a un nombre pair (c

Nous sommes "enfant de l'univers" (suite 2)

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Il nous faut revenir sur l'agitation des oscillateurs-bosons (OSCARs) et la notion de température. Dans notre monde macro il existe une loi qui relie l'agitation et la température en Kelvin. Cela passe par la pression et par exemple en montant en altitude, la pression-agitation  baisse et il fait donc plus froid. (oublions ici les effets radiatifs de la ionosphère). L'agitation brownienne (aléatoire) de l'air, revient à un frottement entre molécules (là elles sont connectées). Cela est lié à la pression et donc à la chaleur. Par ailleurs la fusion de l'hydrogène dans les étoiles est strictement exothermique, mais pourquoi donc ? Parce que par exemple un atome d'hélium 4 résultant est moins "lourd" que 4 hydrogènes. La clé est   E = m c² qui nous dit qu'il faut évacuer de l'énergie et c'est tant mieux car elle nous chauffe le cuir ! On note qu'il existe une fusion de type endothermique pour le fer. Le fer refroidi l'étoile.... C&#

Nous sommes "enfants de l'univers"

Hubert REEVES nous dit fort élégamment avec son bel accent croustillant, que nous sommes " poussières d'étoiles ". Cette affirmation est très poétique mais est-elle complète ? Bien sûr,  la synthèse des éléments chimiques qui nous composent, résulte de la fusion de l'atome originel (l'hydrogène), au sein des étoiles.  Ces fusions en chaine permettent effectivement de créer un large panel d'atomes, et parmi eux, ceux que l'on appelle "CHON". Il s'agit du carbone,  de l'hydrogène, de l'oxygène et de l'azote (N).  Ces 4 éléments représentent la base des acides aminés, à la source de la vie.... Cependant cette vue est étriquée car les étoiles ne sont qu'une étape intermédiaire dans le déroulement de la bulle-l'univers.  C'est en réalité d'elle que nous descendons.... C'est là et nul par ailleurs où se cachent les CAUSES ! Vous avez dit les CAUSES ? Ah oui depuis des millénaires on enseigne aux médecins qu'

La quintessence

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La matrice stochastique de l'univers est peuplée d'une infinité d'oscillateurs-bosons dipolaires qui représente chacun le véritable zéro physique. Le masquage dual est le garant du zéro par le déphasage π . Avec la dualité  π, i  (imaginaire) le masquage s'écrit mathématiquement : e iπ + 1 = 0 Il met en œuvre la  quintessence suivante : { π, i, e, 1, 0}. Il existe de nombreuses applications  de type 2 → 5.     Même la mitose fractale se produit en 5 étapes, ce qui explique une expansion en couches qui colle avec l'observation de fuite isotrope,  l'énergie sombre (explication physique confortée par les chiffres) et la cause de la variable d'ajustement qu'est le proton.          On note que la matière noire – très majoritaire – est représentée par le mélange analogique entre 0 et 1. C'est également le cas en matière sociétale où l'on retrouve les 5 options.  

Le dipôle élémentaire de la matrice originelle

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Ce dipôle oscillant est l'expression la plus simple du zéro physique originel. On sait qu'il ne peut-être absolu (donc statique) car il serait alors condamné à ne pas évoluer. Il serait alors stérile et nous savons que ce n'est pas le cas. Mais de quoi est faite chacune des 2 branches du dipôle ?  C'est dans ce référentiel fermé, qu'il existe un zéro formé par la dualité entre une notion inertielle M dont le reflet imaginaire est représentée par son amplitude de distribution L. Ce sont les bases physiques du calcul imaginaire car M et L sont déphasés de π/2.          De notre point de vue macro, on considère à raison, M comme indépendant de L. Mais du point de vue quantique, ML forme un tout ( Ω ) indissociable et déphasé de π/2.  Il y a cependant de nombreux exemples dans lesquels deux entités physiques sont déphasées de  π/2. Il y a notamment dans le domaine électrique l'inductance et la charge électrique d'une capacitance,  qui représentent les

Le néant se précise en cassant le mythe du spin

Beaucoup de physiciens se demandent si l'électron tourne vraiment. Bien sûr Pauli et Dirac arrivent à la conclusion que cela ressemble à une rotation... - Le premier élément allant dans ce sens est la dimension de la constante de Planck,  h . Cette dimension [M L² / T] correspond effectivement à un moment cinétique ou quelque chose se trouvant en orbite. Cela se traduit par une impulsion p [M L / T] s'exerçant sur le rayon r   ou [L] d'un cercle. - Le second élément allant dans ce sens, est l'ancienne conception (modèle de Bohr) d'un électron orbitant autour d'un proton, un peu comme une planète autour d'une étoile... Là encore, on attribut un rôle de spin à la constante de Planck, h . Mais depuis, l'eau a coulé sous les ponts. - Déjà le second élément (modèle planétaire) a laissé place à une vue plus quantique où l'électron orbital est en fait sous forme d'une onde sphérique dont les coordonnées se traitent en terme de probabilité.