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Affichage des articles du décembre, 2018

La preuve par 5 des liens entre (muon, pion πº pion π⁺, proton, tauon)

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- Sceptique : que signifie ce supplément de cohérence entre 5 particules composées d'électrons, dans la mesure où elles sont exprimées en nombre entiers d'unités "électron nu" ?   - Il y a déjà une explication inédite de leur existence ! Les masses brutes indiquées dans le tableau, montrent une nette différence entre le proton stable et les 4 autres particules. Le proton est né à l'origine par délocalisation , comme variable d'ajustement entre les deux causes de la mitose. Les 4 autres, sont instables car elles sont créées à partir de l'expression locale d'une énergie ! - Sceptique : concernant la création locale de particules instables, si l'énergie est le "hard" nécessaire, ne  leur faut-il pas un "soft", (une raison, une information), pour les caractériser ? - Oui et cette information est similaire à la loi de Boltzmann ( S = k ln W ) qui spécifie les organisations macroscopiques possibles d'un très gra

La seconde erreur du modèle standard

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- Sceptique : la première erreur ( discutée ici ) consiste à ne pas admettre la dualité de localité de création qui réconcilie la parité {matière-antimatière} en ouvrant la voie à la brique élémentaire {électron-positron} stable et confinée comme élément unique de toutes les particules composites. Quelle est la clé de la seconde erreur ?    - Elle découle de la première : les quarks sont induits et non constitutifs. Les particules de type : {instable → création locale} ou {stable → création non locale} sont toutes faites de couches neutralisées et concentriques + 1 électron célibataire ou 1 positron célibataire. Ces couches sont organisées en N groupes et les intervalles polarisés (N– 1) induisent les quarks. Par exemple, la charge du proton est bien celle d'un positron et le rayon du proton se calcule bien avec 4 groupes de couches ! L'origine de la masse des paires { électron-positrons} est expliquée et par voie de conséquence, celle des particules composites.  - S

La première des graves erreurs du modèle standard

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La première des graves erreurs du modèle standard est d'ignorer les conséquences de la dualité de  localité pour caractériser les créations de particules. Quand ces dernières sont créées localement elle sont toujours instables ! Or on sait que la création originelle par la délocalisation généralisée, rend stables , les électrons-positrons et donc les protons ! Le modèle Oscar explique dans le détail, le double piège :  a) pourquoi les positrons sont toujours confinés ;  b) pourquoi lorsqu'ils sont émis d'un noyau instable, ils toujours de création locale et confinée et donc instables.    De ce fait,  toutes les particules composites sont des assemblages de paires entières d'électron-positrons confinées . Si leurs masses mesurées sont exprimées en nombres non entiers c'est parce que la base "unité électron" e , est elle-même habillée . C'est pour cela qu'un proton mesuré à 1836.15 e habillées, en contient 1841 unités nues. Il e

Le mystère de la Z-machine est résolu

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- Sceptique : Les équipes de Sandia ont obtenu en 2006 – sans le chercher – un énorme pic de température inexpliquée de 3,7 milliards de kelvins avec la Z-machine ! Depuis 12 ans, aucune explication avancée, n'est satisfaisante et vous auriez levé cette énigme ? - Oui et avant d'aller plus loin, il faut noter que cette température est arrivée après des tâtonnements au sujet du rayon de la cage. Cette température est fonction de ce rayon R = 40 mm, trouvé après avoir ajusté maintes fois les dimensions de la cage. Il y a un effet de seuil tout à fait compatible avec le modèle Oscar. Comme pour l'énigme concernant la force de Casimir, le modèle Oscar utilise sa propre cohérence avec notamment ce qui s'est passé sur le BEC-fossile avant le processus : annihilation → mitose → expansion ! De plus, on note que cette température ( Tc = 3.7 GK )  est proche de celle de l 'électron ( ex-dipôle subquantique ). - Sceptique : on a vu que l'espace entre les plaq

La force de Casimir révèle les dipôles subquantiques

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- Sceptique : l'expérience de Casimir montre que deux plaques parallèles subissent une force qui les rapproche. Certains pensent que le "vide" serait rempli d'oscillateurs stochastiques dont le spectre des fréquences, serait infini ! Ainsi, comme seules les longueurs d'ondes cohérentes avec l'intervalle seraient contenues, toutes les autres exerceraient – depuis l'extérieur – une force tendant à rapprocher les plaques. On parle d'une pression maximale de 1 0¹¹³ N/m² ! Que dit le modèle Oscar ? - La première chose à vérifier, c'est la cohérence globale. Dans le cadre du BEC-fossile, nous avions vu que les oscillateurs dipolaires synchronisés et alternés étaient en équilibre par les forces alternées  de Laplace. Lors de l'arrêt fugace du point de rebroussement, ce sont les forces électrostatiques qui l'ont emporté ce qui a déclenché la superposition des charges et l'annihilation-mitose-expansion. 1 - en régime libre et dynamique,

La clé de la matière noire

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- Sceptique : l'annihilation primordiale revient en quelque sorte à une brusque relocalisation, différente du retour progressif propre au régime oscillatoire. Mais pourquoi cette brusque relocalisation ? - On a vu ici que c'est une conséquence du 1D de l'oscillateur qui confond "contact et superposition". Cela veut dire que le masquage est binaire ! Il passe de 1 à 0 dans un temps incroyablement petit. La variation (di/dt) est telle qu'elle provoque une induction énorme qui provoque l'annihilation sans passer par le régime transitoire de l'oscillateur.  - Sceptique : Cela revient à l'annihilation en laboratoire, d'une paire électron-positron ? Mais peut-on créer un angle qui ferait une annihilation partielle (matière noire) ? - Oui, localement, on ne peut avoir qu'une annihilation binaire. L'angle de positionnement relatif, ne peut exister que sur une grande sphère typiquement non locale et ce, dans le cadre d'un gran

Les 5 traces tangibles de la mitose-expansion

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- Sceptique : de nombreuses sources plus ou moins mystiques, citent ce nombre 5 comme étant magiques. Est-ce la cas d'Oscar ?  - Notre méthode est aux antipodes de l'approche mystique. Elle s'attache à chercher les causes. Cependant on note depuis fort longtemps des traces vivantes liées au nombre 5 et la fameuse suite de Fibonacci qui est liée à l'opération de mitose.  - Sceptique : ce lien page 17 , sur les nombres symboliques, affecte le zéro absolu au vide. Est-ce correct ? - C'est l'erreur courante dans les études, car le zéro absolu n'a de sens que dans les mathématiques où dans la pratique de la macro-physique. En physique fondamentale, le zéro absolu  ne peut exister car son inverse est infini. Il n'y a pas de paramètre physique infini !  - Sceptique : ce lien page 31 , parle du 5 comme le nombre de l'harmonie. Y-a-t-il un lien avec Oscar ? - Les traces de la mitose caractérisée par ce nombre, sont partout. Il n'est

L'Univers est oscillateur et trou noir

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- Sceptique : la dernière mesure en date, de la constante de gravitation est celle de Faller : 6.67234(14) × 10⁻¹¹ m³/kg/s² . Il indique même que selon les dates des expériences, la valeur  oscille légèrement et qu'il paraît impossible d'être plus précis que cela. Est-ce que Oscar est en accord avec cette mesure ? - Oui, j'en ai même discuté avec lui. Le tableau montre que dans la mesure, au niveau des deux  décimales de rang 6, soit : 34, l'écart est de 06 soit largement inclus dans l'incertitude (14). A partir du rang 6, le tableau donne : ....40815... Quant aux fluctuations des mesures, j'ai déjà indiqué que la Terre croisait des "bouffées irrégulières" de matière noire issue du centre galactique. Cette irrégularité est faible car elle est de l'ordre de 0,003 %.  - Sceptique : comment le tableau peut-il prétendre une précision numérique à 14 décimales alors que l'on ne connait pas 𝛼 à mieux de 10 décimales ? - Il y a plusieur