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Affichage des articles du février, 2019

BEC : du "point" zéro au "point" de rebroussement

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- Sceptique : Quelle est la la signification des guillemets sur "point"  ?  - Avant la "mise en BEC", le "point" zéro des oscillateurs dipolaires stochastiques (ODS) est une zone floue où l'inertie de chaque pôle cherche à disparaître dans l'attracteur du zéro absolu. Avec le principe fort d'inséparabilité du couple  ℳₒ .ℒ = Cte , si ℳ o tombait précisément et complètement dans le zéro absolu, alors sa contrepartie ℒ deviendrait infinie et ce, dans le cadre d'une vitesse non moins infinie. Comme cela est strictement interdit en physique, la zone du point zéro trouve un compromis pour conserver une inertie la plus faible possible sans l'ineptie d'une contrepartie infinie. Cependant tout cela se passe dans un dipôle où la somme des paramètres physiques des deux pôles, s'annulent symétriquement dans le cadre d'un zéro relatif ou algébrique.  - Sceptique : cela explique-t-il la première oscillation ? - S'il

Température élévée des amas de galaxies

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- Sceptique : ce lien du CEA nous indique que la température interne de l'amas du coma, large de 20 Myl, se situe entre 10 et 100 millions de degrés kelvins. D'où vient cette température si élevée et inexpliquée ? - A l'origine, le modèle Oscar indique que les dipôles ont été délocalisés de 180° en mode monopôles (électron-positrons) sur l'aire du BEC fossile. Quand des galaxies contenues dans un amas, entrent en collision, elles relocalisent leurs monopôles selon un angle bien plus petit que 180°.  Il se produit donc une annihilation partielle en fonction de cet angle.  - Sceptique : Lorsqu'à la mitose du BEC-fossile, des galaxies d'origines opposées se sont rencontrées, quelle a été la température de ce type de collision face à face ? - C'est la température d'annihilation de la paire électron-positron, soit : 2 T e ~ 1,2 milliards de degrés kelvins ! - Sceptique : cela correspond-il à l'angle de 1 degré , évoqué par le lien du CEA ?

La clé du mariage entre unités arbitraires : ℳ.ℒ et T

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- Sceptique : le tableau indique que l'unité de poids est en relation avec l'unité de longueur. Pourquoi dire qu'il n'y a pas de points communs fondamentaux entre eux ? - Il ne faut déjà pas confondre le poids et la masse inertielle. Le poids est une force de type : F = ℳ. g avec g l'accélération de la gravité sur la Terre. Sa valeur : g = 9,81 m/s² est propre à cette planète alors qu'il en existe de toutes sortes. Ensuite l'eau est une molécule parmi d'autres et n'a rien de particulier. - Sceptique : pourtant l'origine de la seconde est liée à la rotation de la Terre car un jour = un tour complet = 24 × 3600 = 86400 secondes. - Oui mais là encore, les paramètres de la Terre ne portent aucune valeur fondamentale propre à la Bulle-Univers. De plus les divisions par 60 et par 24 sont totalement arbitraires.          - Sceptique : comment peut-on trouver un temps élémentaire dans une unité arbitraire à partir du couple ℳ.ℒ, égal

L'origine des temps

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- Sceptique : l'origine du temps et sa matérialité physique, sont autant d'énigmes pour le modèle standard.  Que dit le modèle Oscar à ce sujet ?   - On a vu l'origine dans un cycle {ℳ.ℒ = Cte } qui est justifiée par l'interdit physique d'avoir une amplitude spatiale ℒ portée à l'infini. Comme l'indique le tableau, le modèle standard détermine – avec raison – la charge électrique élémentaire (e) à partir de ℳ .ℒ . L'accord de cette convention est tel que la charge électrique ne peut-être qu'une composante de ℳ. ℒ pour garder les deux pôles fortement liés en un dipôle dont la symétrie garantit le zéro relatif .  - Sceptique : d'où vient le temps ? - L'oscillateur dipolaire est forcé d'avoir une fréquence (mais toujours changeante à chaque nouveau cycle) dans la phase stochastique. Mais elle reste stable et constante quand les dipôles forment un BEC-fossile synchronisé . Or il existe une relation classique qui donne la fréq

Origine de la masse et l'ambiguité de Higgs

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- Sceptique : le modèle standard recherche l'origine de la masse du proton, depuis des lustres. Quand on a découvert les quarks on a cru au premier abord, que tout était résolu car ces particules, réputées fondamentales et nées au début du Big-Bang, étaient la cause de la masse du proton. Puis découvrant que cette masse ne représentait que 1% de la masse totale, la crise a ressurgi. C'est là que monsieur Higgs a fait l'hypothèse que le "vide" pouvait se considérer comme un "champ" scalaire de son état, à partir duquel la masse pouvait surgir. Un tel "champ" se devait d'avoir un boson vecteur et ce boson a effectivement été découvert à l'intérieur de la large fourchette attendue par la théorie. Est-ce que cela donne une explication à la masse du proton ? - Bien qu'il existe effectivement un "champ" scalaire, la réponse est non ! Tout d'abord, cette notion de "champ" est un concept mathématique qui se pas

La clé de la dichotomie boson-fermion

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- Sceptique : le modèle standard considère que les bosons sont pour au moins deux particules, un  dédoublement synchrone  de la même "boucle spatiale" . Cela forme un "champ" de bosons. Les fermions ne dédoublant  pas la même "boucle spatiale", ne peuvent se condenser. Il dit également que l'hélium 3 est un fermion car il est formé de 2 protons et un neutron qui ne forment pas une parité comme l'hélium 4 qui comporte 2 protons et 2 neutrons. Qu'en est-il de la théorie Oscar ? - La dichotomie Standard est basée sur la notion ambiguë de spin des particules. Par ailleurs, il voit les particules composites comme des assemblages en grappes de protons et de neutrons. Enfin il avance la notion de "champ" comme un être de description mathématique qui n'apporte aucune explication physique . Le modèle Oscar s'appuie sur la loi de Koide-Mareau et de sa généralisation , montrant que les particules composites sont formées de 2 part

Cournonne solaire : 2 millions de Kelvins

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- Sceptique : le modèle standard n'explique pas cette température de 1 à 3 millions de kelvins , de la couronne solaire. D'où vient-elle alors que sa surface ne fait que 6 000 K ? - Selon le modèle Oscar , toutes les étoiles sont les hôtes d'un BEC. Le centre des étoiles coïncide avec le point zéro du BEC. La force/m exercée par sa  masse gravitationnelle sur la sphère du point zéro ( P Z ) de rayon r = 0,059 m , est donnée par :   F/m = –  f(G M²/r³) ~ 10⁵¹ N/m La force / mètre de Lorentz :   F/m = – f( µ o 𝜉 ² e² / t e ² l P )   qui tient écarté les dipôles subquantiques sortant du P Z , est de l'ordre de 10⁷⁶ N. Le ratio entre ces deux forces, révèle le faible taux (10⁻²⁴) de dipôles touchés par la saturation-délocalisation. Ces monopôles – sous forme de monopôles (±) – sont éjectés du  P Z dont l'aire en contient 𝜉⁶ ! Une partie de ces monopôles s'incurve par l'action d'une ou plusieurs spicules magnétiques et se recombine en

Nouvelle répartition des énergies de la Bulle-Univers

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- Sceptique : le modèle standard indique que la somme des énergies noires et visibles (DM+VM) atteint 31,7% de la masse totale de l'univers avec la mystérieuse énergie sombre à 68,3% . Est-ce remis en cause ? - Oui car le modèle standard estime que la densité d'énergie (DM+VM) est à peu près équivalente à la densité critique, alors que nous avons montré dans le dernier article que (DM+VM) est environ 2,13 fois plus élevé que la densité critique.  - Sceptique : cela fait donc un ratio [énergie sombre/ (DM+VM) ] = 32,5% / 67,5% = 0,468 ? -Oui mais il nous faut vérifier si une autre voie de calcul nous permet de faire converger ce résultat. Le tableau montre qu'en fixant le rayon du trou de l'éridan à 0,64 Gyl on peut estimer sa vitesse actuelle v o   = 0,0468 c ,  selon une approximation basée sur le ratio des longueurs.  - Sceptique : mais son rayon n'est-il pas mesuré à ~ 0,5 c ? - Oui mais entre temps son rayon a progressé de 0,14 Gyl. Le taux

La densité critique de la Bulle-Univers

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- Sceptique : la première équation donne la densité critique sans connaître le rayon actuel ? - Oui la simple cohérence dimensionnelle donne bien une densité ! Le modèle standard ne donne pas le rayon actuel car il faudrait pour cela,  tenir compte des conditions initiales à savoir le nombre de photons de l'annihilation primordiale.  Il donne le rayon de l'horizon à ~ 46,5 Gyl. - Sceptique : le modèle Oscar calcule la densité à partir du rayon actuel soit 60.8 Gyl  > 46,5 Gyl ? -  Oui les conditions initiales donnent clairement la densité du BEC-fossile.  A partir de là il est aisé de trouver la densité actuelle. - Sceptique : Comment justifier le lien entre les collisions de galaxies, la température des amas et la perte de masse de la DM ?  - Par la température mesurée dans les amas de galaxie ! Cette température est une fraction de celle de l'annihilation de l'électron. Un prochain billet va détailler cela. - Sceptique : donc la dernière

L'accroissement de l'accélération de l'expansion prévue par Oscar

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- Sceptique : dans cet article de Science-Post du 4 février de cette année – citant Nature – on constate avec grand étonnement que l'accélération de l'expansion de l'univers observable est en cours de croissance ! Est-ce que le modèle oscar a prévu cette augmentation de l'accélération de l'expansion de l'Univers ? - Il suffit de lire mes derniers articles du 2 et 3 février et mon livre de 2017 : " il était une fois l'univers à partir de rien ", pour vérifier que cette augmentation de l'accélération de l'expansion était prévue par le modèle Oscar ! C'est juste la conséquence normale d'une expansion en couches de vitesses, dans un spectre s'étalant de 0 à 5c. L'accroissement de l'accélération d𝛾/dt – dérivée seconde de la vitesse dv/dt² – s'exprime en m/s³ . Cependant il conviendrait de corriger deux graves erreurs :  -  a) il s'agit de la Bulle-Univers et non pas de l'univers global qui cumul

stochastic body and the synchronizing attractor

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- Sceptique : pourquoi ce titre en anglais ? - Cela vient du sigle B.O.D.Y qui sied parfaitement à la description du boson oscillateur dipolaire : B oson O scillateur D ipolaire Y in-yang → BODY .  Les chinois anciens n'avaient tort car le cosmos est d'abord tissé d'une infinité de "corps" exploitant la dualité Yin-Yang par son équilibre au zéro. Le taoïsme évoque également la dualité ordre-désordre qui est essentielle pour comprendre la dualité oscillante {entropie ↔ synchronisation}.     - Sceptique : le taoïsme – d'essence mystique – aurait précédé la dualisme de l'équilibre du BODY stochastique ? - Oui d'autant qu'il évoque la notion d'ordre du cosmos ! - Sceptique : l'entropie de désordre serait "attirée" par la synchronisation ? - Je ne dirais pas cela en ces termes mais il est vrai qu'il existe une dualité fondamentale concernant l'entropie de désordre. Dans un premier temps il faut rappeler que longte

les 5+1 échelles de la Bulle-Univers

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- Sceptique : si nous n'avons pas de position privilégiée, comment expliquer que tout s'écarte autour de nous ? - Beaucoup de physiciens posent le raisonnement naïf suivant : si l'univers avait un centre alors il faudrait que nous soyons automatiquement au centre ! C'est archi-faux, car depuis une position quelconque excentrée, tout est logiquement comme on l'observe.  Encore une fois ils font fi de la dualité et tombent dans piège de l'amalgame entre l'état d'univers stochastique et l'état Bulle-Univers, plongée en son sein ! - Sceptique : le dessin ci-joint indique qu'il existe 5+1 échelles. Est-ce le cas pour toutes positions possibles ? - Oui car même si nous étions au centre, notre position aurait une échelle caractérisée par une distance nulle. Cette éventualité est très hautement improbable ! - Sceptique : alors notre horizon cosmologique est relatif à notre position ? - Oui par définition car il n'a pas de caract

Le Rayon actuel par la densité de photons

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- Sceptique : en dehors de l'horizon cosmologique (~ 46 Gyl), le modèle standard ne fixe pas le rayon actuel R(t), pourquoi ? - Le modèle Oscar part de la constante originelle 𝜉⁸ qui fixe le nombre de photons à l'origine, sur le BEC-Fossile. Cette constante est tirée d'une très importante relation physique vérifiable . Par ailleurs le modèle de Friedman – de type purement mathématique – est fondé sur une géométrie sans centre ! Cette démarche s'inspire d'un Univers "moniste" laissant de côté les causes de son émergence. Cette démarche ignore l'aspect dual qui se traduit par deux états d'univers : a) l'état éternel et stochastique ; b) l'état "Bulle-Univers synchronisée" plongée dans l'état à entropie maximale. Donc sans prendre en compte ces prémisses physiques d'origines, le modèle standard se prive d'accéder à cette notion de rayon actuel de la Bulle-Univers.   - Sceptique : mais n'est-ce pas légitime d&#