Articles

Affichage des articles du juin, 2019

Enigme n°35 : décélération anormale des sondes Pioneer

Image
- Sceptique : la NASA a envoyé la sonde Pioneer 11 en avril 1973. En décembre 1974 elle dépassait Jupiter. Les données récupérées sur Pioneer 10 et 11 relatent une décélération anomale (voir : 12. Etat des lieux) qui a été chiffrée à  : 𝛾 q = 8,7 × 10⁻¹º m/s² . La vitesse d'éloignement est : v = 12 200 m/s . Le modèle standard n'a pas d'explication à ce phénomène. Que dit le modèle OSCAR à ce sujet ?  - Cette décélération est une preuve supplémentaire que le halo solaire est un BEC enchevêtré parmi tous les BEC-étoiles de la Galaxie, formant ainsi, le grand halo galactique.  Le BEC est constitué d'oscillateurs ℬ ody qui sont les éléments d'espace-temps, d'où sont issues les paires électron-positrons. Les BEC-fils primordiaux hébergent une masse M calibrée à 330 fois celle du soleil. Le tableau montre une simple analyse dimensionnelle donnant la vitesse caractéristique du BEC-fils primordial.     - Sceptique : Pourquoi partir des BEC-fils primor

Enigme n°34 : ajustement fin de l'univers

Image
- Sceptique : le modèle standard considère qu'une variation faible des constantes de l'univers, empêcherait l'émergence de la vie. Faisant le rapprochement entre la constante cosmologique et l'énergie noire, il considère que les instabilités gravitationnelles n'auraient pas pu créer les grandes structures telles que les galaxies. Que dit le modèle Oscar à ce sujet ? - Que d'erreurs en si peu de mots ! La première consiste à évoquer l'univers, alors qu'il a fondamentalement 2 états bien distincts : a) l'état stochastique et éternel à entropie maximale et dans lequel tout les paramètres physiques sont strictement nuls dans le référentiel dipolaire des oscillateurs ℬ ody ; b) la bulle univers en expansion provisoire, née de cet état, via un flux de synchronisation aléatoire dans un BEC ou Condensat de Bose Einstein (où l'entropie est minimale). La seconde erreur consiste à croire que les galaxies puissent être nées des instabilités gravita

Enigme n°33 : quantification du spin

Image
- Sceptique : le modèle standard utilise la fameuse constante de Planck ħ qui stipule soit une quantité nulle, entière ou demi entière, de moment cinétique (spin) identique pour toutes les particules, quelque soit leur masse . Pourquoi ? -  Tout d'abord il faut poser la dimension physique de cette constante ħ : [M L² /T]. On peut également la poser comme étant le produit de c [L/T] par ℳ.ℒ = Cte . La raison pour laquelle ce moment cinétique ħ est la base universelle est qu'il est le résultat des seules paramètres de l'électron : ħ = mₑ 𝜆ₑ ² / tₑ avec 𝜆ₑ le rayon de Compton (à lire comme "barré" soit : 1/2𝜋 ).     - Sceptique : alors pourquoi la constante ħ fonctionne-t-elle avec des particules bien plus massiques comme le proton ?  - Tout simplement parce que ces particules ne révèlent que leurs composants élémentaires célibataires (positron et/ou électron).    - Sceptique : le modèle standard dit que les particules élémentaires sont

Les coquillages copient le BEC fossile

Image
- Sceptique : vous avez déjà traité le sujet concernant l'action biologique du nombre d'or par le développement de la mitose. - Exact !  Il y a de nombreux exemples où le nombre d'Or est concerné y compris d'ailleurs la spirale de l'ADN. La clé de ce nombre est la suite de Fibonacci, liée à la mitose.  - Sceptique : d'où vient cette clé ? - Par définition elle ne peut venir que du BEC fossile ( Condensat de Bose Einstein né de la synchronisation locale du chaos) qui est l’œuf de l'univers en expansion. Or (sic) il est entré en mitose pour raison d'isotropie de densité, lors de l'enrichissement du BEC par le flux entrant de 𝓑𝓞𝓓𝓨 s  (Bosons Oscillateurs Dipolaires Yin yang stochastiques et à énergie zéro). Au moment de la saturation (juste avant la mitose) l'énergie électrique d'un électron était strictement égale à l'énergie de masse. A ce stade, l'intervalle était le rayon dit "classique". Or on sa