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Affichage des articles du novembre, 2017

La farce de l'énergie (2)

Pour bien comprendre ce que sont les causes de l'énergie, résumons point par point, le cheminement OSCAR  : 1/ la matrice permanente, faite d'une infinité d'oscillateurs dipolaires du zéro, existe virtuellement sans manifestation des paramètres M, L, T. Bien sûr chaque branche d'oscillateur dipolaire, voit varier MLT mais la localité interne annule parfaitement les deux pôles. Il y a une infinité de périodes d'oscillation (aléatoires et déconnectées les unes aux autres) qui se traduit par un brassage intense et donc une entropie de désordre maximale . On a une sorte d'énergie thermique virtuelle ! Attention, cette notion d'énergie virtuelle est purement d'ordre d'entropie informationnel . L'entropie a la dimension d'une énergie. A cet égard il faut rendre hommage à Boltzmann qui a défendu cette option contre vents et marées jusqu'à se suicider en 1906, à cause de la psychorigidité hostile de ses confrères – adeptes de l'éc

La farce de l'énergie (1)

La farce de l'énergie (1) S'agissant de la description de toutes les formes d'énergie dans le monde classique et quantique, le modèle standard (MS) en assure une maîtrise parfaite. Cependant en vertu de la loi incontournable de la conservation de l'énergie, il subsiste un grave problème à l'échelle de l'univers. Par exemple, l'affaiblissement en fonction de la distance, de l'énergie des photons venant des étoiles, semble contredire cette loi universelle. Il y a donc cette question de l'ontologie de l'énergie. D'où vient-elle ? Au delà de son traitement mathématique local, bien maîtrisé, que signifie-t-elle physiquement ? Outre la description ,  quelle est l' explication  ? Depuis Newton, on sait que l'énergie se divise en deux branches principales, dans le formalisme de la mécanique classique. L'énergie prend deux formes : l'énergie potentielle (par exemple gravitationnelle) et l'énergie cinétique (de type

La farce de l'inflation faisant suite au Big Bang

Constatant que la température de l'univers est égale dans toutes les directions,  et qu'à la vitesse de la lumière il est impossible de rendre isotrope le fond diffus à l'ensemble de l'univers, le Russe STAROBINSKY a proposé une expansion exponentielle au début de l'univers. On sait que la "dangereuse efficacité des mathématiques" est capable de "justifier" n'importe quelles spéculations. Ensuite d'autres physiciens comme GUTH et LINDE ont repris cette spéculation en y apportant quelques modifications.   Mais toutes ces "avancées" par les voies mathématiques, ne disent absolument rien sur les causes d'une telle inflation ! Comme souvent, on résout une énigme en rajoutant....une autre énigme. D'ailleurs le cosmologiste STEINHARDT (pourtant co-auteur de cette théorie) vient récemment de déclarer que cette théorie de l'inflation n'a rien de scientifique ! Cependant ce dernier propose un autre paradigme lié à un

La farce des quarks

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Il faut rendre hommage à nos expérimentateurs qui, en développant des astuces les plus fouillées, réussissent, à sonder le cœur des particules.  Ils ont notamment trouvé des "billes durs" au sein des protons, que l'on appelle les quarks. Mais les théoriciens adeptes du modèle standard, avaient (ils ont toujours) un problème avec la justification de la masse composite du proton. Pour eux, le proton est un être mathématique fait de "glu" (sic). Alors aussitôt ils ont déclaré que le proton était constitué de quarks ! Cette opportunité leur a fait perdre toute prudence.  En effet, ils n'ont pas posé la question essentielle : les quarks sont-ils induits ou constitutifs ?  Oui mais du temps de FERMI on avait pas conscience de la dualité de localité concernant la création des paires*.  Ils ne pouvaient donc pas envisager que le proton puisse être composé de paires électron-positrons stables {neutres + 1 positron}, ayant acquis le statut de quasi boson

Extension du modèle en couches, à tous les atomes

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Le modèle STANDARD considère – à juste titre – le nuage électronique autour du noyau comme formant des couches. Malheureusement il n'étend pas ce concept à la structure confinée du noyau. Alors qu'il s'agit là encore et encore, de symétrie et de dualité de localité .  Le modèle en couche qui apparaît au niveau quantique est le reflet de la structure en couches, du noyau. Le modèle OSCAR considère l'électron (avec son partenaire le positron) comme l'héritier unique des oscillateur-bosons 1D dipolaires primordiaux, formant les zéros physiques parfaits. Expérimentalement et localement , la paire créée est instable et retourne à son état primordial via le vecteur « double photons ». Mais créée initialement lors de la séparation-mitose initiale par changement de localit é , toute paire reconstituée devient stabl e dans sa localité restreinte . Mais on se demande où sont passés les positrons ? Devant cette mystérieuse absence, le modèle standard considère –

L'univers à partir de "rien" pour les nuls (6 et fin)

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On a vu au chapitre 5 que certaines relations physiques connues, permettaient de jeter un pont concret sur les événements qui ont précédé le BIG BANG (en fait mitose) ! On a vu que la mitose est caractérisée par deux ratios aléatoires et indépendants ( a 12 et xi² ) ! Ces deux ratios n'ayant aucune chance de coïncider, la nature a inventé une variable d'ajustement . Cet ajustement n'est pas trivial car il s'agit de la justification inédite de l'existence de l'atome d'hydrogène qui est la source de toute la matière de l'univers. En fait il s'agit du noyau de cet atome, le proton ! 1 2 .    La naissance du proton Il faut absolument une variable d'ajustement entre ces deux ratios aléatoires pour qu'ils puissent coïncider. Le modèle montre que la variable d'ajustement entre a 12 et xi² , est la masse brute du proton, comptée en unité électron ! Cela revient à agrandir l'intervalle élémentaire exigé par xi² , d'

L'univers à partir de "rien" pour les nuls (5)

Nous avons vu que sur toute ligne (1D) de la surface du BEC primordial, il restait une charge très faiblement attractive. C'est ce qui reste de la relation entre un élément et son alter ego – situé aux antipodes – de chaque ex-ensemble de boson-oscillant. En posant que l'intensité de ce lien initial était unitaire dans l'oscillateur boson, alors la délocalisation la divise par autant d'intervalles n (ou électron-positrons), traversés ! Mais ce nombre  n   est-il vraiment inconnu ? Non car il existe une relation physique qui le révèle très précisément ! Il s'agit d'une relation connue qui donne le rapport entre la force électrique et la force gravitationnelle mais appliquée à une paire électron-positron. Il s'agit en fait du ratio de délocalisation  ! 10.    Naissance de la gravitation Cette légère force – purement attractive – est donc la gravitation. Cette loi physique connue donne le rapport (ou ratio) entre la gravitation et la f

L'univers à partir de "rien", pour les nuls (4)

La cause du BIG BANG Pour le modèle standard, le BIG BANG est un événement mystérieux. Ceux qui s'avancent à vouloir en chercher des causes, tombent dans le piège de la localité  ! Ils s'appuient (avec raison) sur le phénomène de fluctuation autour du zéro selon les les lois constatées localement . Mais ils n'ont pas réalisé que cette fluctuation autour du zéro doit impérativement être de type dual et symétrique pour justifier un bilan énergétique strictement nul. Ceci est la seule et unique façon de construire un zéro physique relatif, qui n'a rien à voir avec le zéro mathématique absolu et artificiel ! D'autres, disent : "puisque l'on ne peut justifier l'origine des fluctuations alors autant arrêter nos investigations à l'étape BIG BANG sans chercher à comprendre son origine". C'est le fameux Fiat Lux à caractère mystique, qui contentent tout le monde ! Tout le monde ? Non il reste un village ......  Le billet précédent évoqu

L'univers à partir de rien, pour les nuls (suite 3)

Le billet précédent montre que dans les deux branches de l'oscillateur, M et M' tendent vers zéro mais ne l'atteignent jamais, soit : M, M'→ 0 ≠ 0 La fusion parfaite est-elle possible ? Non car si le zéro absolu est un puissant attracteur , il induirait de facto un impossible L (physique) infini ! Par ailleurs les opposés de chacune des branches, M et M', s'annulent parfaitement, soit : M L + M' L' = 0 Comment la nature résout-elle le paradoxe entre :  - A/ l'existence d'une inertie  (non justifiable) - B/ l'atteinte du zéro absolu (impossible) ?  Ce paradoxe est résolu par la double dualité : 1/ l'oscillation entre ces deux états impossibles ; 2/ la forme dipolaire de l'oscillateur qui permet – dans son référentiel – d'obtenir un zéro physique ou algébrique. Ce zéro est très différent du zéro artificiel, absolu, mathématique. Son dual n'est plus l'infini en matière de paramètre physiqu