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Affichage des articles du juin, 2018

Synchronisation et formation du BEC (suite 7)

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- Sceptique : donc l'espace 1D est inné mais comment ce BEC où les pôles confinés ne s'expriment toujours pas, déboucherait sur un BIG BANG ? N'est-ce pas là un point très spéculatif et invérifiable ? - Avant toute chose, il faut bien voir qu'il existe un débit de synchronisation qui « remplit » le BEC. Plus le BEC est rempli (dense), plus il est un attracteur fort pour la synchronisation. Il y a donc, à terme, une saturation du BEC  ! - Sceptique : mais combien de BECs sont en cours de formation ? - Comme l'aléa règne en maître, il n'y a que très peu de chance pour que plusieurs BECS en cours de « remplissage » soient exactement au même niveau. Cela veut dire qu'il y a forcément un BEC plus en avance que les autres. C'est là qu'entre en jeu la notion de densité (très importante pour caractériser un BEC). - Sceptique : cela voudrait dire que plus un BEC devient dense plus il a tendance à accélérer son « rempliss

le paradoxe existentiel et la synchronisation (suite 6)

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Voici la suite du dialogue avec monsieur Sceptique au sujet de la « création » de l'univers.... La première partie montre pourquoi il existe une matrice d'univers éternelle et stochastique et surtout pas de création mystique . Cette matrice vient du paradoxe inertiel qui ne peut admettre les deux interdits : M > 0 ; M = 0. Cela oblige l'oscillation d'une infinité d'éléments M dans une infinité d'oscillateurs. Mais la condition M = 0 contraint la forme dipolaire des oscillations pour créer les zéros relatifs. Ainsi L'oscillation généralisée et aléatoire se fait en annulant tout paramètre physique. Déjà le concept de localité prend tout son sens. Localement chaque pôle opposé du dipôle comporte des paramètres physiques mais globalement ils sont annulés dans l'oscillateur. De nombreuses références vont émailler les réponses et notamment celles liées au modèle OSCAR . Cette démarche ne comporte aucune spéculation. Nous avons vu qu'une pa

le paradoxe existentiel et la synchronisation (suite 5)

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- Sceptique : donc le zéro absolu est comme un « puits sans fond » qui génère 3 attracteurs fondamentaux. - Oui on peut le dire comme ça. Avant d'aborder l'attracteur « synchronisation », il nous faut bien détailler ce « brouillard » d'oscillateurs dipolaires désordonnées qui représentent le néant fluctuant. L'entropie de désordre est maximale ! Il faudrait une mémoire infinie pour stocker toutes les informations d'un tel brouillard. L'aléa règne en maître ! Là encore, l 'attracteur du zéro absolu , s'applique à l'entropie de désordre (ou information). Ce coût énorme en terme d'information, doit absolument diminuer. Or la synchronisation est la bonne réponse pour diminuer l'entropie. Si tous les oscillateurs sont synchronisés alors le niveau d'information devient plus simple. Ils ont tous même longueur, même masse et donc même fréquence et même charge. Les constantes physiques de l'univers apparaissent mais restent c

l'éternité paradoxale de l'univers (suite 4)

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- Sceptique : si j'ai bien compris : a) la charge électrique élémentaire est celle de l'électron ; b) elle est déterminée par le produit M×L de l'électron. Mais comment cette charge se traduirait par une force liant les deux pôles du dipôle oscillant ? - Tout simplement par l'obligation du zéro relatif ! Sans ce lien il n'y aurait pas d'annulation et donc il existerait des paramètres physiques > 0 et ce n'est pas justifiable ! Cela veut dire clairement – qu'à cette échelle – la notion d'inertie comporte une composante de charge électrique. Cela est confirmé dans l'électron où : Q² =f(ML) . - Sceptique : Alors si l'électron est la particule élémentaire, quid des quarks ? - On a vu que l'électron est la seule particule élémentaire non composite et stable. Ce n'est pas le cas des quarks car l'expérience montre que dès qu'on cherche à les isoler, ils deviennent instables et disparaissent ! C'est

la genèse paradoxale de l'univers (suite 3)

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- Sceptique : la fonction de DIRAC dit que si x tend vers zéro alors y tend vers l'infini car la surface d'aire x × y est constante. Il est vrai que cette formulation ne peut-être poussée à l'infini car : zéro × infini = 0. - Oui c'est exact ! Il y a trois aspects très important que peu de physiciens ont remarqué : a) la fonction de Dirac, x × y = Cte, ne fait que traduire la loi physique de Compton M × L = Cte. b) le fait que le produit montre que le zéro absolu n'est pas physique. c) la fonction de DIRAC est avant tout une loi physique. - Sceptique : pourtant la démarche de DIRAC était purement mathématique ! - Oui il est vrai que peu de physiciens ont pris conscience que la source de cette loi est physique. - Sceptique : donc les oscillateurs dipolaires sont de signature de type Compton/Dirac ? - Exact ! Ces dipôles oscillants sont les inspirateurs insoupçonnés de ces deux physiciens. Dans les deux cas,