La Bulle Univers est un trou noir

 Après avoir vu le dernier billet "Avant Big Bang" nous montrons ici comment – à partir de constantes mesurables – La Bulle-Univers est à la fois un trou noir, un oscillateur et répond à la formule d'Eddington !  

Voir  : modèle OSCAR, loi KOIDE-MAREAUSOMMAIRE , Les cinq clés de la physique, l'éclaté du modèledualité du zéro   

 
 

Commentaires

  1. Planches 1 et 2: Pourquoi et comment adapter la formule de Schwarzschild?
    Cela est-il valable uniquement pour la bulle univers, ou bien pour tous les trous noirs de la bulle univers?
    Planches 3, 4 et 6: idée --> l'annihilation de tout BEC saturé issu de la matrice stochastique est peut-être inéluctable. La moyenne des paramètres du BEC de notre bulle univers a peut-être produit un phénomène de convergence vers un équilibre statistique unique (annihilation Vs augmentation des intervalles).
    Planche 5: je pense que c'est le demi périmètre et non le demi diamètre
    Planche 7: erreur de frappe force de Coulomb.
    Par ailleurs, il est difficile d'imaginer un monde subquantique électrique, avec des charges + et -. Cette convention introduite par les hommes ne doit pas correspondre à la réalité physique, qui s'explique certainement par un autre phénomène (sens de rotation opposés par exemple).

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  2. La formule de Schwarzschild est applicable aux trous noirs "locaux". Sa modification vient la compatibilité avec la formule d'Einstein : RS = (G rhô / c²)^-1/2 où rhô vient de R^3 avec 4/3 de pi.
    La Bulle Univers dans son ensemble peut-être différente qu'un trou noir.

    L'annihilation est assez probable mais non obligatoire car le masquage des charges produit un choc de type di/dt, très violent qui peut annihiler juste avant séparation. Les électriciens connaissent bien ce phénomène d'extra rupture . Il fait comme si les deux pôles (massiques puisque éloignés) étaient proches pour s'annihiler au lieu de se confronter en douceur (masses faibles) au point zéro.

    Planche 5 : oui j'ai fait une erreur ! Merci de votre sagacité ! Je vais corriger la 7 également.

    Nous sommes d'accords, les + et – sont juste des protocoles pour représenter des pôles contraires.

    Bien à vous






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  3. J'ai corrigé et encore merci !

    Concernant le di/dt du masquage des charges on peut dire que cela revient à élargir fugacement le point zéro à la taille du BEC. Du coup l'annihilation est assez probable mais pas à 100% car cela dépend du rapport entre le Nb total de Bodys et le Nb concernés de séparations.

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  4. Merci pour vos précisions.

    Les forces de Coulomb et de Laplace sont en rapport avec l'électromagnétisme dont la nature est un effet des perturbations subquantiques qui s'expriment dans le quantique (enfin, c'est ce que j'ai compris).
    Parler des forces de Laplace et de Coulomb, ou de charge, dans le subquantique me parait être un abus de langage, même si les phénomènes sous-jacents sont assimilables à ces mêmes effets.

    Il faudrait un vocabulaire adapté au subquantique !

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  5. En effet mais les signes + et – ne sont également que des symboles dans le monde quantique. On dit aussi, matière et antimatière ! En tout cas il s'agit de pôles opposés dont la somme (non locale) vaut zéro ! Zéro est la vérité de la physique non locale. Ce RIEN ne peut qu'être que la somme de 2 opposés qu'il est plus facile de nommer + et –.

    Il est à noter que deux conducteurs parallèles, chacun parcouru par un courant i = Q/T de même sens, s'attirent. Le summum de cette expérience est réalisé à Sandia avec la Z-machine. Les énormes courants parallèles passent dans une cage et provoquent une constriction dont on attendait une température en millions de degrés. En fait, à la surprise générale, c'est plus de 2 milliards de degrés K qui sont apparus ! Après des années, on ne sait toujours pas pourquoi ....

    Selon moi cette constriction a forcément concerné les Bodys subquantiques et les a fusionnés. Cela revient à l'annihilation des pôles voisins (ancêtre de l'électron) à la température de 6×10^9 K.
    Or on a relevé des pointes à 4×10 K ! Comme il n'y a pas eu de mitose, cela ressemble à un court circuit subquantique.

    Dans le modèle OSCAR, les courants voisins des Bodys sont de sens contraires et se repoussent. La Z-machine a réussi à vaincre cette force. C'est seulement au point de rebroussement que Coulomb réussit à fusionner des contraires dans le cadre difficile d'une séparation intervenant juste avant la fusion... C'est le cas de 1/137² !

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  6. Voir l'article de Wikipédia (https://fr.wikipedia.org/wiki/Z_machine) qui décrit très bien mais sans avouer que l'on y comprend rien ! La mode aujourd'hui n'est pas de recenser les énigmes pour chercher à les résoudre, mais de les éluder.

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  7. - Comment mesure t-on des températures de milliards de degrés? Est-ce vraiment une température qui est mesurée?
    - N'est-il pas possible de publier un article dans une revue scientifique américaine qui s'intitulerait un truc du genre : "Explications possibles sur les phénomènes expérimentés et incompris dans la Z-machine"?

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  8. Tous les corps se comportent comme des corps noirs. On peut donc utiliser la mesure de la puissance rayonnée (par unité de surface) pour calculer la température. En l'occurrence ici des rayons X sont émis et produisent des courants électriques. Attention ce ne sont que des estimations basées sur des biais physiques éprouvés.

    Oui c'est possible mais il faut d'abord faire admettre que : l'espace-temps qui est vu par 80% des physiciens comme un "champ"* qui se courbe, est un réseau d'oscillateurs subquantiques dont la courbure est liée aux perturbations..... → tous ces mots froissent énormément 80 % des physiciens. Alors il faut un sacré budget pour poser d'abord (très progressivement) une vingtaine de publications avant d'en arriver là. Il faut aussi tomber sur les bons pairs (éviter les psychorigides 80%). Dure Dure !

    * avec la notion de champ on décrit bien mais on n'explique pas.

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  9. Voir ce lien de Jean Pierre Petit : http://www.jp-petit.org/science/Z-machine/trois_milliards_de_degres.htm

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  10. j'ai récemment pris conscience des polémiques suscitées par l'article de Jacques Benvéniste publié dans Nature en 88 sur la mémoire de l'eau, ou bien des critiques sur Luc Montanier qui a en partie repris ses travaux. Cela donne une idée des forces en présence dans le monde scientifique: peur, financement, influence, notoriété, concurrences industrielles, culture académique, egos démesurés, traffic d'influence etc. En effet, dur dur !

    Pourtant, le Pr Marc Henry semble tirer son épingle du jeu en réussissant à slalomer entre les contraintes ou en s'affranchissant avec des publications proposées directement vers le lecteur (association "Natur' eau quant" par exemple).

    Ses interventions en chimie moléculaire, champs électromagnétiques, vibrations, physique quantique etc, notamment sur la nature de l'eau, sont très intéressantes.

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  11. Oui peur ou lâcheté ! Sans trancher sur la validité des expériences de Jacques Benveniste reprisent par Luc Montagnier*, on peut se demander quel est le niveau d'impact subquantique sur l'eau ? Il y a forcément un impact mais jusqu'où va-t-il ? Selon Wiki, Benveniste est mort d'épuisement .... Pourquoi une telle haine ? Il est vrai que la clé avérée (jusqu'à présent) est le nombre d'Avogadro (10^-23) qui indique qu'une dilution au delà de ce facteur, efface totalement toute trace de molécule. La communauté scientifique a pu s'émanciper du moyen âge (à cet égard) par Avogadro ! Elle se bat contre l’homéopathie mais ce n'est pas cela qui est mis en cause puisque que Benveniste le dit clairement ! Cependant il est vrai que l'industrie de l'homéopathie avait été intéressée.

    Un médecin me disait qu'on ne sait pas d'où vient la mitose chez le vivant ? Mais le Big Bang est induit par la mitose due à la saturation du BEC originel. Or nous sommes tous des produits de cette mitose ! Je ne me prononcerai sur ce sujet qui n'est pas au centre de mes études.

    *En 2010, Luc Montagnier annonce qu'il fuit le « climat de terreur intellectuelle » en France. Le conservatisme est nécessaire mais il doit être équilibré (symétrique) avec le progressisme .

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  12. L'eau est une molécule vraiment particulière, aux propriétés particulières, indispensable à la vie, pouvant s'associer à un grand nombre d'autres molécules et en particulier elle même.
    Il est évident qu'elle nous apporte/apportera beaucoup de réponses pour les scientifiques comme pour les mystiques ! Il y a peut-être un moyen d'accorder tout le monde...

    Quant à la mitose, elle semble nécessaire à la reproduction, donc à la vie. La mitose originelle n'avait pas la même cause, ni les mêmes conséquences.

    Peut-être pour les deux, un excès d'informations qui se réorganisent violemment?

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  13. Oui l'eau, le carbone et l'azote sont des éléments indispensables à la vie.

    En fait il faut relire mon billet du 25 avril 2018 (https://sciencesetuniverspourtous.blogspot.com/2018/04/dualite-en-biologie.html) dans lequel j'indique que les acides aminés (CHON) sont fabriqués avec 1 H + C (6H) + Azote (7H) + O (8 H) et l'eau : H2 + O ! L'eau est le 5eme élément dont le premier rôle a été d'assumer la fonction "peau" via les lipides. Cette fonction "peau" est essentielle pour distinguer l'entropie croissante de l'extérieur de l'entropie maintenu (synchronisés ou harmonisés) de l'intérieur (la vie). La première fonction "peau" a été assurée par le minéral (les coquilles).

    Pour comparer la mitose originelle et la vie, il faut prendre comme exemple les virus qui sont bien plus nombreux que nous ! Nous sommes 7×10^9 alors qu'ils sont 10^30 sur Terre !

    8% du génome humain est d'origine viral. Les virus se multiplient par mitose quand ils sont au contact des nos cellules. Il sont dans une position intermédiaire entre la vie et le "paquet de cellules" inanimés. Leur entropie croissante se manifeste à travers leur mutations aléatoires.
    Le "brassage" des virus aboutit quelques fois à une forme stable. Les virus (comme tout), sont des "morceaux d'univers" et se comportent comme lui en utilisant le brassage subquantique.

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  14. La relecture du billet du 25 avril 2018 m'a amené à relire également les billets sur le spin et les échanges avec Jihems.
    La précision OSCAR sur la cause, la nature et les effets du spin, s'est-elle affinée depuis?

    Les oscillations des électrondes "orbitales" sont-elles plus ou moins en phase avec leurs homologues positrondes confinées ?
    Le passage d'une oscillation duale symétrique parfaite (BODYs) a une oscillation duale sphérique (atome) (perturbant le tissu subquantique) induit forcément une polarité (car ce n'est plus parfaitement symétrique). Est-ce une partie de l'explication de l'effet "charge"?

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  15. Pouvez-vous m'indiquer les dates des échanges avec Jihems ?

    En attendant oui les orbitales sont à l'image des confinés. Je rappelle les 4 arguments directs et vérifiables que les protons sont des empilages sphériques de paires e-p en 4 groupes :
    1/ selon Compton (ML= Cte) le rayon du proton est mesuré à : me /(1836/4)
    2/ il y a donc 4 groupes, 3 intervalles → 3 quarks
    3/ la charge du proton est celle du positron célibataire
    4/ la symétrie électron-proton est fausse car il y a un ratio de masse de 1836 comme pour un vélo et un camion ! La symétrie des charges doit être cohérente avac la symétrie des masses.

    Théoriquement la charge Q² = ML (électron ou positron) ne peux pas se modifier avec le M (masse virtuelle car le L diminue d'autant) .

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  16. Il y a aussi des preuves indirectes de types :
    - les quarks sont induits car ils disparaissent hors confinement
    - la cause de la force forte (inexpliquée par le MS) est induite par le démasquage des charges empilées.
    - l'allure de la force forte commence par une forte intensité car l'intervalle (1/r²) est petit.
    - le muon n'a pas de quark car il n'a qu'un seul groupe
    - le pion a 2 quarks car il a trois groupes.

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  17. Merci,
    les échanges avec Jihems étaient situés juste avant le billet du 25 avril 2018. Il y a eu 3 billets début avril sur le spin et l'électron.

    Dans les paires qui forment la partie neutre des protons et neutrons, il y a un équilibre stable.
    Mais si on prend un atome d'hydrogène par exemple (le plus simple !), je me demandais quel était le phasage entre l'électronde et la positronde confinée. La période d'oscillation est la même (1,288 10^-21s), mais sont-elles en phase? en opposition phase, en décalage de pi/2?
    Cela dépend-il des conditions d'excitation? des conditions d'environnement?

    Si j'ai bien compris votre réponse précédente, alors les orbitales confinées des positrondes sont en miroir avec les orbitales des électrondes. Donc si changement d'orbitales de certaines ondes électron (si excitation ou son contraire) dans un atome lourd, alors il y a également changement d'orbitales de certaines ondes positrons en opposition de phase.
    Cela a t-il une influence sur les quarks induits?

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  18. Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.

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  19. Je publie avant de me relire !!! Donc je corrige je réitère en corrigeant les fautes...

    Attention les électrons orbitaux ne sont "miroirs" que des positrons célibataires(1) du noyau. Alors la question de savoir comment cela perturbe les couches neutres empilées, reste posée comme celles de certains détails du comportement du noyau qui reste très difficile à investiguer.

    Selon, OSCAR les quarks sont induits à la fois par les intervalles polarisés des couches, eux mêmes (2) influencés par les positrons célibataires.

    1 : s
    2 : oublié mêmes

    PS le soir je risque d'en laisser......
    Tout ce que je peux dire avec certitude c'est l'exigence de vraie symétrie (charge et masse) entre électron-positrons formant la partie neutre et les électrons orbitaux et les positrons célibataires confinés.

    Avant d'aller plus loin, je vais relire les échanges dont vous parlez pour voir si j'ai évolué depuis, sur certains points. Si c'est le cas, j'en expliquerai mes raisons.

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  20. Merci de me rappeler ces écrits et débats datés d'avant le 25 avril 2018 ! Sur ce point je ne pense pas avoir beaucoup évolué. Cependant cela me donne l'idée de refaire un billet sur le thème du mystère du spin rappelé par le document joint du CNRS indiquant en premier lieu :

    « Le spin est, en mécanique quantique, une observable un peu mystérieuse qui n'a pas d'analogue classique bien précis contrairement à l'impulsion, au moment cinétique, à la position.... Et pourtant on s'en fait souvent une idée en l'associant à un moment cinétique intrinsèque de la particule. Ainsi les électrons qui ont un spin 1/2 et dont la projection sur une direction arbitraire peut prendre les valeurs ±1/2, sont souvent décrits comme des toupies tournant dans un sens ou dans l'autre ».

    Je rappelais que le modèle OSCAR voit l'électron quantique (ancien pôle subquantique isolé) comme un oscillateur radial dont l'opposé est justement le niveau subquantique.

    Si la mesure le trouve en phase croissante le spin est "up" et s'il est en phase décroissante, le spin est «down ». Ainsi l'opération « mesure » surprend forcément l'électron dans l'une de ces deux phases.

    Avant la mesure, il est alternativement l'un et l'autre et donc indéterminé.

    C'est la qu'intervient le fameux "effet fantôme" via les Bodys sub ! L'électron oscille avec un Bodys dont la causalité est élargie à tout le BEC ! Or c'est bien le spin dont il est question ! Le spin est "non local" puisqu'il est en liaison avec les Bodys. C'est l'explication la plus rationnelle de la conservation de l'intrication à grande distance. Que l'on oublie la très naïve notion d'instantanéité car il y a juste une dualité quantique/subquantique. BOHM avait raison ! Contrairement aux mensonges éhontés de certains physiciens, BELL n'a jamais été opposé à BOHM.

    Alors pourquoi enseigne -t-on ces mensonges ? Tout simplement à cause du fait que ce sont ceux qui ont "appris par cœur" (sans la passion du chercheur) qui sont arrivés aux commandes pour conserver leurs vieux acquis !

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  21. Etre expert de quelque chose de faux doit être impossible, à défaut d'être insupportable pour certains !
    Oui quand j'ai utilisé le mot positronde, cela faisait référence aux positrons célibataires et confinés, en non à ceux qui composent le binôme électron/positron des couches neutres.

    J'ai quand même 2, 3 questions supplémentaires:
    - Peut-on parler d'orbitale pour une onde positron célibataire?
    - Si oui, quand on parle d'orbitale, est-ce que cela fait référence à l'extension spatiale maximale de l'onde (e+ ou e-), ou plutôt à une moyenne ?
    - Confirmez vous que les couches neutres oscillent également ? (car en physique, le statique n'existe pas, car composés d'oscillateurs, car excités en partie par les électrondes et les positrondes célibataires...)
    - Par conséquent, le rayon d'un noyau d'un atome n'est pas "stable", car il oscille légèrement? 2 mesures de rayon peuvent donc être différentes.

    Autre interrogation: à la saturation /séparation, le "lien causal" est rompu, pourtant, toutes les particules continuent à être couplées au tissu subquantique via un BODYs.
    Il y a donc plusieurs possibilités:
    1. soit le couplage se fait automatiquement avec le BODYs le plus proche
    2. soit le couplage se fait par l'espace élémentaire (dans lequel se trouve la particule) qui lui est couplé à un BODYs (ce qui pourrait expliquer la "mémoire" du lieu)
    3. soit que lors de la saturation séparation, seule une composante du BODYs concerné est "rompue" mais la partie localité élargie demeure (peut-être via une sorte de dette partagée qu'est la gravitation).

    Je ne crois pas au 1. mais à un mixte du 2. et du 3. où c'est l'espace élémentaire contenant la particule qui porte la dette gravitationnelle.

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    1. J'aime bien l'idée de "dette" pour la gravitation car elle se "rappelle" qu'elle doit "rembourser" la séparation initiale en recouvrant sont état dipolaire qui est le seul état acceptable à terme. Si au cours de l'expansion, les collisions n'ont pas tout rembourser en DM répétés, alors elle retrouvera un état Bodys dans le stochastique qui est son destin.

      Pour le reste des questions, je prépare un billet spécifique. Il y a deux (comme toujours) aspect : l'amplitude d'oscillation et l'élargissement de la causalité et la médiation du spin.

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  22. Je pensais encore poser des questions mais à la relecture cela a donné ceci:

    A priori, une onde électromagnétique ou un photon ou un neutrino ne se propagent pas dans le vide ou le rien, mais à travers un réseau subquantique organisé qui sert de trames espace/temps et dont le fonctionnement centralisé impose une limite de déplacement de l'info quantique à la célérité c. C'est cette trame organisée et centralisée qui donne l'illusion d'un espace 3D+1.
    Mais on pourrait très bien se poser la question du BODYs, espace 1D oscillant. Est-il lui même une illusion ou un potentiel, ou bien y a t-il une réalité physique?

    OSCAR dit que globalement pour le BODYs, ce n'est que potentiel car il est en permanence un zéro relatif. Cependant, dans chaque demi-pole, il y a une réalité physique. S'agit-il déjà d'une dualité onde/corpuscule ou simplement d'une onde qui s'annule en permanence avec sa soeur jumelle miroir?
    Je pense qu'OSCAR dirait que l'aspect corpuscule ne peut encore avoir de réalité physique hors saturation/séparation/perturbation.
    C'est donc la notion d'onde qui domine. Alors s'agit-il d'une onde qui oscille en 0 et L, ou bien s'agit t-il d'une onde stationnaire, dans lequel tout l'espace 1D est investi en termes de probabilité à l'image d'un nuage électronique?
    Le mot stationnaire est alors certainement inadapté.
    (Et peut être comme le mot onde. le vocabulaire "Information" serait-il plus approprié?)

    Comment alors, avec simplement des ondes, peut-on arriver à la saturation?
    Ne rejoint-on pas les probabilités et la notion d'exclusion de Pauli?: Lors de la montée en puissance de la synchronisation, il arrive un seuil où les probabilités de présence sont trop importantes dans un espace donné, déclenchant la recherche violente d'un nouvel équilibre?
    Autre possibilité: l'espace 1D ayant une épaisseur non nulle, la synchronisation ne peut se poursuivre indéfiniment...

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  23. Selon OSCAR le pôle est une réalité physique non exprimée car annulée par son contraire dans le confinement du Bodys. Pour moi c'est un corps car il a la taille de Planck. Il oscille dans un facteur xi^2 très contraint.

    Le principe fort de symétrie (vérifié partout) milite pour une parité onde/corpuscule.

    En revanche, dans l'espace contraint du proton, je pense que l'aspect corpuscule est dominant mais toujours oscillant.

    Au niveau quantique une onde stationnaire existe quand deux sens opposés où certains éléments ont l'apparence d'être fixes.

    Donc les pôles sont des corps (Bodys) et peuvent saturer. La saturation d'un BEC intervient classiquement quand ces éléments sont anisotropes. Ici le facteur 2D est xi².

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  24. Bonjour Mr MAREAU

    Voici ci-joint un lien sur l'histoire d'un oscillateur associer au fonctionnement de l'univers :

    https://forum.planete-astronomie.com/viewtopic.php?t=6612

    Cordialement.

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