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Affichage des articles du novembre, 2018

La trompeuse élégance des unités de Planck

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- Sceptique : le tableau indique que Planck n'a pas voulu voir que sa constante ℏ   était issue du seul électron. Faut-il en conclure qu'il a trompé son monde ? - Non bien sûr, mais comme ℏ était valable pour le proton, il ne pouvait accepter l'idée qu'il était fait d'électrons et de protons !  Mais cela était interdit par Fermi !  - Sceptique : et c'est autorisé par D. Mareau ?   - C'est surtout autorisé  par la dualité de localité . La grande erreur du siècle dernier  a été de penser que l'on pouvait tirer des lois universelles de l'expérience locale ! Elles disent que tous les positrons créés localement sont instables et les fermions ne pouvaient s'assembler comme les bosons ! - Sceptique : mais depuis les surprenantes expériences récentes sur la localité , on aurait pu remettre en cause ces certitudes ! - On ne l'a pas fait à cause d'un certain conservatisme ambiant. De plus, on sait depuis longtemps que la char

Typologie du BEC subquantique et du point zéro

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- Sceptique : que se passe-t-il dans le point zéro d'un oscillateur dipolaire primitif ? - Les deux masses (M) contraires fondent l'une vers l'autre à une vitesse qui tend vers l'infini. A cet instant, les deux masses sont quasiment nulles et cherchent à se confondre dans un zéro parfait et absolu. Mais selon ML = Cte , ce type de zéro est impossible car il générerait une vitesse et une amplitude (à venir) infinie. En revanche, il existe une infinité de choix aléatoires, de Mo d'origine pour le cycle suivant. C'est le régime de l'impulsion de Dirac qui donne une probabilité d'existence, unitaire. La taille du point zéro du dipôle stochastique est indéterminée comme celle de son épaisseur 1D. En revanche on montre que celle d'un BEC est déterminée par la somme de "points" de la taille de l'épaisseur figée dans un BEC par la synchronisation.    - Sceptique :  que se passe-t-il dans le point zéro d'un BEC-fils ?  - Le tab

Nombre 5 de la mitose de la Bulle-Univers

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- Sceptique : pourquoi le nombre d' Or (√ 5 +1)/2 = 1,618, n'est pas le nombre clé de la Bulle-Univers en cours, sachant que ses proportions nous paraissent élégantes ?   - Typiquement, une mitose est relative à la suite de Fibonacci mais elle ne tend pas forcément vers l'infini (1,618). Si on parle en terme de BEC-étoiles alors elle s'est limitée 5 + 1 étapes ( 1 -1, 2, 3, 5 , 8 ). Ce nombre : 8 / 5 = 1,6 est assez proche de 1,618 . En revanche, si on considère les déclinaisons physiques sur les particules, alors ce nombre est atteint avec la complexité du vivant qui poursuit la voie de la mitose.  - Sceptique : pourquoi 5 + 1 et pas 6 ? - La saturation de la couche externe, a induit un phénomène paradoxal : le début de mitose a provoqué la séparation des dipôles. La délocalisation des pôles ( + / – ) les rend autonomes et ils apparaissent sous la forme électron - positrons alternés et trop serrés. Cela provoque une annihilation majoritaire qui est la

L'univers pseudo holographique

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- Sceptique : est-ce que le taux 1D d'annihilation 𝛼 est lié au nombre de dipôles 1D 𝜉⁴ sur la couche externe du BEC ?  - C'est une question délicate car ces deux signatures sont indépendantes au départ mais convergentes à l'arrivée.  Selon Oscar l'univers est une sorte d'hologramme 3D, dont tous les paramètres se sont formés sur la couche 2D saturée du BEC-fossile. - Sceptique : n'est-ce pas un peu original cette idée d'hologramme ? - Pas du tout il suffit de lire ceci pour voir que cette idée est partagée. Cependant, l'univers 3D n'est pas "projeté" par une surface 2D mais juste hérité de la couche saturée 2D.        -  Sceptique : Alors que s'est-il passé sur cette couche 2D saturée ? -  Il y avait en 2D, 𝜉⁸ dipôles dont les aires élémentaires étaient 𝜉² fois trop serrées. On a vu pourquoi cela s'est traduit par une annihilation de taux 𝛼². En 5+1 étapes 𝛼² de mitose les aires élémentaires se sont agrand

Cycle des dimensions spatiales de l'Univers

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- Sceptique : certains physiciens pensent que l'existence de l'espace-temps 3D+ct, est "naturelle" et que ce dernier a toujours existé .... Ils admettent la limite de célérité – c = 299 792 458 m/s – sans chercher à la justifier.  Que dit le modèle Oscar à ce sujet ? - Cela ne correspond pas à l'esprit scientifique qui se doit de chercher à justifier chaque cause physique. On a largement vu la dualité des 2 états d'univers : a) l'état permanent , stochastique (fait d'oscillateurs dipolaires 1D) où l'entropie infinie est exclusivement sous forme informationnelle ; b) l'état provisoire en Bulle-Univers limitée, né d'une synchronisation locale et où l'entropie est sous forme énergétique.  - Sceptique : comment justifier l'existence de l'état stochastique infini ? Pourquoi ces oscillateurs dipolaires arriveraient à vibrer tout seul ?  - Cela est largement décrit ici . En deux mots, il faut juste se rapporter au raiso

L'Univers rescapé de l'annihilation primordiale

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Ce qui rend la saturation abrupte – mais limitée à la seule couche externe – c'est le caractère 1D de la corde dipolaire.  Il est de type binaire du genre : "contact = superposé". Il n'y a pas d'allure progressive. Le contact-superposition masque brutalement les charges q adjacentes. La réaction, de type di/dt → dq/dt² est un courant d'extra-rupture. Il pose de grands problèmes aux électriciens. Dans le cadre du dipôle, la variation dq/dt² de charge, devient quasi infinie ! Le " t " devient très proche du zéro ! C'est par cet aspect binaire que se distingue nettement la couche de saturation par rapport à la couche plus interne. Il y a contact ou pas.  Dans le détail on a les phases suivantes : a) pour la grande majorité des intervalles 1D on a : contact → dq/dt² quasi infinie → remise brutale en relation des masses de dipôles → annihilation → trous → début mitose-expansion. b) pour les rescapés en retard : le contact n'arrive qu

Le BEC-fossile et sa couche de rebroussement (2)

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- Sceptique : pourquoi la couche du point de rebroussement du BEC-fossile, est la seule à saturer (se superposer) ?   - Tous le long du trajet, les pôles 1D contiguës (+/–) se repoussent et s'attirent (équilibre) par l'effet dynamique induit par le déplacement des charges identiques et contraires (voir Lorentz). Cette force électrodynamique est l'inverse de la force électrostatique d'attraction, entre deux charges contraires. Par définition, l'arrêt du rebroussement, favorise la force d'attraction électrostatique.  Équilibre de Laplace  (alterné en  cours BEC) : (+ – + – ) Attraction statique (arrêt rebroussement) :        (+) ⇒ ⇐ (–) - Mais l'effet dynamique dans les couches précédentes étant très atténué, l'aspect statique pourrait prendre le dessus avant le stade de saturation ? - Ce point est en effet critique car l'arrêt – bien qu'ultra court au point de rebroussement – offre une chance à la domination ponctuelle d

Réponse à Leibniz : "pourquoi quelque chose plutôt que rien ?".

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Voici un résumé de la réponse à LEIBNIZ : " pourquoi quelque chose plutôt que rien ?". - Sceptique : ne peut-on pas dire que plus la masse est faible plus l'agitation est grande?   -  Oui mais le terme "agitation" doit se comprendre comme doté d'une grande fréquence et d'une grande amplitude.  - Pourquoi y-a-t-il une amplitude imaginaire ? - Le point zéro est une sorte de brassage aléatoire duquel sort une masse d'origine (Mo) aléatoire, la plus petite possible. Plus elle sera petite plus son "reflet amplitude" sera grand. Cela veut dire que son crédit déplacement est de grande amplitude. Dans le cadre d'une oscillation, cette amplitude est déjà envisagée avant même que la masse puisse s'y déplacer. Elle est imaginaire car elle est déphasée de 𝝅/2.  - Sceptique : le Mo le plus petit possible est proche du zéro ? - Oui et non car il existera toujours une infinité de nombres la séparant du zéro absolu ! -

L'espace-temps est doté d'une incroyable machinerie dynamique (1)

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L'espace-temps, fait de BECs enchevêtrés,  apparaît comme vide.... et pourtant !!! - Sceptique : comment s'organise ce tissu d'oscillateurs dipolaires dans le BEC ? - Un oscillateur dipolaire, possède un point zéro assimilable à une sphère dont le diamètre est égal à l'épaisseur du dipôle. On sait, grâce à cette relation , que le ratio clé de la Bulle-Univers naissante est 𝜉⁴ . C'est le ratio aléatoire {longueur /épaisseur} hérité de la moyenne des dipôles synchronisés, juste avant saturation. De ce ratio on tire le nombre de pôles formant la couche externe du BEC saturé, soit ( 𝜉⁴ )² = 𝜉⁸ .  - Sceptique : a-t-on une mesure qui atteste cela ? - Ces 𝜉⁸ pôles deviennent électron-positrons. La masse totale engendrée est en accord avec les estimations courantes (~ 3×10⁵⁴) kg, en tenant compte d'un ratio de DM, 5 fois plus élevé.     -  A-t-on d'autres déclinaisons du "Ratio Univers"  𝜉 ? - Oui, le ratio 1D de jauge   𝜉 , fixe l&#

Excès de positrons, effet tunnel et positronium

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- Sceptique : La communauté scientifique a été très surprise que l'on puisse détecter un excès de positrons dans notre espace proche. Comment le modèle Oscar explique-t-il   cela ? - Toujours par la même clé fondamentale i.e , la dualité de localité de création !  -  Sceptique : mais pourquoi évoquer l'effet tunnel dans le titre ?  - Tous les positrons de nos expérimentations, sont de type : "création locale" . Cela veut dire qu'ils sont forcément instables . Ils naissent paritairement au sein de certains atomes en cours de transition. Cela veut dire qu'il s'agit de la création semi confinée d'une paire électron-positron : l'électron bouche un "trou" au sein de l'atome alors que le positron est éjecté. On sait que ce positron va s'annihiler avec un électron libre incident. - Sceptique : pas d'accord car l'électron libre extérieur a un statut stable car il existait déjà. Ce n'est donc pas un partenai

Annihilation du positron par trans-localité

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- Sceptique : on a vu pourquoi il faut 880,31 secondes avant que le neutron puisse éjecter son électron confiné. L'effet tunnel étant le résultat du "pompage" de la masse par le dipôle subquantique,  couplé à l'électron.  Mais ce temps est nettement plus long que celui permettant l'échange de parité avec l'orthopositronium, soit 1,42 ×10⁻⁷ s .  Comment expliquer cette énorme différence de transition par effet tunnel ? - Selon le modèle Oscar, lorsqu'un positron est émis d'un atome (comme le fluor-18 par exemple), il est créé  localement dans le confinement de l'atome, en mode paritaire {électron-positron} . Il est donc instable tout comme le nouvel électron resté dans l'atome. Ensuite il s'annihile avec un des électrons libres, rencontré ! - Sceptique :  mais cet électron libre n'a pas le statut d'instabilité du positron émis ! Comment pourrait-il s'annihiler avec un positron de création locale,  dans l'orthopositro