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Affichage des articles du juin, 2020

Masse de Planck = monde irréel sans mitose

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Situation du problème Les paramètres de Planck relèvent de simples analyses dimensionnelles en mettant en jeu, la constante gravitationnelle G [M⁻¹ L³ T⁻²] la vitesse c et h . Le modèle standard n'explique pas l'origine physique de ces paramètres : longueur, temps et masse. Le modèle OSCAR montre que ces paramètres règnent à l'échelle subquantique des Bodys et comment ils sont intimement liés à la paire électron-positron.          - La longueur de Planck   : cette longueur est xi² fois moindre que celle du rayon de Compton de l'électron. Elle correspond à l'épaisseur du Bodys subquantique. - Le temps de Planck : il est xi² fois moindre que celui de l'électron car l'oscillation subquantique est d'autant plus rapide. - La masse de Planck : elle est xi² fois supérieure à celle de l'électron. L'explication est donnée par l"animation ci-après qui montre que le taux de mitose vaut également xi² . Cliquez sur l'image pour agrandir L

Les mystères des galaxies naines

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Situation du problème Le modèle standard fait face à plusieurs constats : a) les collisions de galaxies sont toujours accompagnées de nuage de matière noire ; b) les halos des galaxies naines sont plus grands que ceux des grandes galaxies ; c) les galaxies naines sont souvent des satellites des grandes galaxies.  Le paradigme était que les galaxies naines devrait avoir un petit halo à grande densité. Ce n'est pas le cas !  En revanche, le modèle OSCAR indique clairement que le nanisme ne concerne que la partie visible. Comme elles sont composées de beaucoup de matière noire, le couplage des BECs enchevêtrés est plus lâche ! Cela tend donc à déchevêtrer (agrandir) le halo ! L'animation ci-après montre que la dégénérescence (annihilation partielle) pour cause de collisions, créé de la matière noire. Son couplage faible l'entraîne naturellement vers la périphérie et c'est bien ce que nous observons.   Cliquez sur l'image 1-3/ la petite galaxie à gauche,  se rapproc

Mitose → expansion→ collisions → matière noire→ annihilation complète

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Le titre résume le déroulement logico-déductif de la dualité {Matrice-Univers ↔ Bulle-Univers}. Situation du problème Des équipes de chercheurs – à grand renfort d'astuces technologiques – réussissent à nous fournir de précieuses observations sur la Bulle-Univers. Elles viennent souvent soit contredire le modèle standard, soit soulever de nouvelles énigmes. Comme le modèle standard n'a pas de scénario physique du début de Bulle-Univers (sauf à croire à la chimère de la " singularité " initiale), il ne peut procéder à un raisonnement logico-déductif pour en déduire les conséquences observables. L'observation d'un amas ayant près de 13 Gyl remet en question le modèle standard qui considérait que ces derniers se constituait par lente accrétion.    En revanche, le modèle OSCAR indique clairement que les amas sont présents sur le BEC-fossile.  Selon les conséquences naturelles de la mitose fractale du BEC-fossile (observable), le modèle OSCAR se trouve en parfait

L'origine du BEC-fossile est bien visible

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Huit observations – portant sur des critères physiques différents – indiquent que le modèle standard d'univers est faux. Par ailleurs, l'anomalie d'isotropie s'explique parfaitement avec une origine centrale de la Bulle-Univers, couplée avec une expansion en couches de vitesses.  1/ L'observation du trou de l'éridan : montre qu'il n'existe qu'un seul et unique immense trou  représentant le centre. Sa distance et  rayon, sont compatibles avec le modèle OSCAR. 1,8 Gyl de diamètre et distant de 7 Gyl           2/ Le spin des galaxies : plus on remonte dans le temps, plus les galaxies présentent un axe de rotation harmonisé, indiquant clairement une origine centrale commune . 3/ étude des amas galactiques : elle montre clairement une  anisotropie d'expansion, d'environ 30%, compatible avec le modèle en couches de vitesses du modèle OSCAR.     4/ L'argument anti-centre ne tient plus : " la Bulle-Univers n'a pas de centre puisq

Géométrie pseudo-euclidienne de la Bulle-Univers

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Voir plus bas pour animer cette image On classe 3 types de géométrie, selon la courbure :   hyperbolique (–)   euclidienne (0)  sphérique (+) L'application directe de la géométrie à la cosmogonie génère plusieurs erreurs : 1/ la non prise en compte du principe de dualité. Il n'y a pas "l'univers" mais 2 états distincts d'univers : la matrice éternelle et la Bulle-Univers en expansion. 2/ éluder les causes physiques de l'émergence de ces deux états. 3/ confondre la courbure physique avec la courbure géométrique 4/ confondre le zéro relatif avec le zéro absolu mathématique. Du point de vue des courbures, la projection stéréographique de Riemann donne, sans le vouloir,  une vague idée de l'ensemble {Matrice-Univers + bulle-Univers}. Plan sans courbure + sphère (courbe)   L'émergence de ces deux états a été largement expliquée dans les billets précédents. La courbure du BEC sphérique vient de la multitude des Bodys synchronisés et centrés,  ayant même

Les 5 preuves indiscutables du BEC-fossile

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L'animation (lente) à suivre, représente l'émergence sur l'aire du BEC-fossile, des pôles de Bodys séparés. Ils deviennent ainsi des paires électron-positrons qui représentent les masses élémentaires de toutes les particules composites. Situation du problème Le modèle standard ne peut décrire et encore moins expliquer ce qui précède à l'expansion de la Bulle-Univers. Il évoque une mystérieuse "singularité" en essayant de transformer un effet (non compris) en cause (indétermination quantique, non comprise également). Par ailleurs, un problème ardu de causalité de l'ensemble, s'est fait jour. Alors – n'étant plus à une spéculation près – on a inventé la fameuse "inflation" qui aurait permit de tout rendre causalement relié. Le modèle standard se persuade que "tout est compris" jusqu'à la limite de Planck.... C'est faux !     Cliquez sur l'image (animation à rythme lent) Le modèle OSCAR explique pourquoi il existe u

La Bulle Univers a un centre contrairement à la Matrice-univers

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Nous dénonçons ici l'amalgame qui est couramment fait entre la Matrice-univers (sans centre) et la Bulle-univers qui en découle. L'appellation "Univers" est un non sens car il ne respecte pas le principe fondateur de dualité. Les BECs périphériques de la Bulle-univers matérialisent le bord.  Le centre est observé (trou de l'éridan) L'isotropie est effective à partir de tous points internes. Cliquez sur l'image Situation du problème Au début du siècle dernier, l'application à l'univers de la relativité d'Albert Einstein se heurte à cet énorme dilemme : si la géométrie de l'univers est euclidienne, elle doit posséder un centre et un bord ! Or l'idée d'un bord parait absurde car elle induit ces questions ardues : a) qui y-a-t-il au-delà du bord ? ; b) de quoi est constitué ce bord ? ; c) l'isotropie de l'expansion autour de nous, milite pour l'exclusion d'un centre. Devant un tel dilemme, on a donc cherché un modèle

Yin Yang et Bodys (Corps)

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Voir  : modèle OSCAR , loi KOIDE-MAREAU ,  SOMMAIRE , Les cinq clés de la physique , l' éclaté du modèle ,  dualité du zéro Symbole du Yin Yang Situation du problème Après moult hésitations historiques, le modèle standard a fini par adopter la fameuse dualité onde-corpuscule.  D'abord pour le photon puis en 1926 Louis De Broglie étend la dualité à l'électron. On dit alors que l'électron est à la fois une onde et une particule ! Ce n'est pas tout à fait exact car il est – selon les cas – onde ou particule. Un électron perturbé (impact, déviation électromagnétique, observation) est dans un état corpusculaire et dans l'autre cas, il est sous forme d'ondes. On parle alors du Yin et Yang de l'électron. On sait décrire le phénomène mais on n'en connait pas la source profonde. Cette dualité a tellement choqué la communauté scientifique, qu'elle a refusé d'envisager cela comme une clé fondatrice. Elle a éludé la recherche d'explication et sa

La cause physique de l'espace-temps 4D

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Voir  : modèle OSCAR , loi KOIDE-MAREAU ,  SOMMAIRE , Les cinq clés de la physique , l' éclaté du modèle ,  dualité du zéro Situation du problème Le modèle standard considère l'espace-temps selon le modèle de Poincaré-Minkowski qui est un espace  mathématique de type affine pseudo-Euclidien. La relativité restreinte d'Einstein y inclut subtilement les conséquences de la constance de la vitesse de la lumière. La relativité restreinte se construit sur le principe inertiel (référentiel galiléen) en posant le principe du continuum masse-espace-temps et la géométrie riemannienne (variété géométrique de courbure). La cohérence de la relativité restreinte est largement vérifiée avec l'expérimentation. Cependant elle ne répond pas du tout à la nature physique de la cause et du calibre de la vitesse limite c. Elle ne cherche pas non plus à déterminer la nature physique de l'espace-temps et les conditions de son émergence. La médiation des forces est parfaitement décrite av

La trame subquantique se comporte comme un fluide

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Voir  : modèle OSCAR , loi KOIDE-MAREAU ,  SOMMAIRE , Les cinq clés de la physique , l' éclaté du modèle ,  dualité du zéro Situation du problème L'expérience de la double fente de Young reste une énigme pour le modèle standard. En simplifiant (pas de fente et un seul électron émis), on montre comment s'opère la réduction du paquet d'ondes, via la trame subquantique.  dès son éjection, l'électron se dissipe dans la trame des cordes subquantiques  Il faut commencer par regarder la vidéo de David LOUAPRE sur le sujet, qui fait preuve d'un très bon niveau pédagogique ! Cependant il reproduit l'erreur classique du modèle standard qui consiste, certes à bien décrire mais en éludant l 'explication physique. Cette explication passe par l'application généralisée de la notion de dualité . En effet, la dualité {onde-corpuscule} est directement issue de la dualité {quantique-subquantique}. C'est la vitesse d'oscillation subquantique c o qui régul

La réalité physique de la désintégration du muon

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Voir  : modèle OSCAR , loi KOIDE-MAREAU ,  SOMMAIRE , Les cinq clés de la physique , l' éclaté du modèle ,  dualité du zéro Situation du problème Le modèle standard constate que le muon se désintègre en un neutrino muonique + un neutrino électronique + un électron ou positron selon sa charge ±. Il n'explique pas : 1/ La justification de l'apparition et le calibrage de sa masse. 2/ Pourquoi sa masse (~207 électrons) disparaît ne laissant qu'un positron (si sa charge est +) car les neutrinos sont sans masse (voir 3). 3/ Pourquoi le neutrino (sans masse puisqu'il file à la vitesse de la lumière) peut-il passer d'un type à l'autre (oscillation). 4/ L'émergence et le calibrage du boson W (10^5 masses électron). Le modèle standard invoque le principe d'incertitude de Heisenberg mais il s'agit d'une supercherie* car c'est loin d'être une explication . 5/ La relation de KOIDE entre : muon, électron, tauon. 6/ La relation de  KOIDE-MAREAU av