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Affichage des articles du mai, 2019

Enigme n° 32 : Origine du rayon des atomes

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- Sceptique : on trouve une grande diversité de rayons des atomes et des divergences entre le calcul standard et la mesure. Il y a par exemple l'hélium 4 où le MS calcule un rayon de ( 31 pm ) alors que la mesure indique 128 pm (picomètres) → pm = 10⁻¹² m . Que dit le modèle OSCAR ? - Le tableau suivant montre qu'avec la règle de calcul unique d'Oscar , on obtient une bien meilleure cohérence avec les mesures que la méthode du MS. Les atomes ne sont pas conformés en grappes (proton-neutrons) comme le suppose le MS mais construit en couches sphériques concentriques représentant la partie neutre + des positrons célibataires donnant la charge du noyau. La règle est simple car elle utilise la loi universelle : ℳ.ℒ = Cte   qui permet de fixer la base qu'est le rayon du proton ,  rₚ . Plus la masse d'un groupe est grande, plus le rayon est petit ! Ensuite on pose : Rₓ = rₓ 𝛼² 𝜋 / 2   pour trouver le rayon de l'atome x avec rₓ = 𝜆ₑ / 2 𝜋

Enigme n° 31 : le rayon de l'atome hydrogène

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- Sceptique : le modèle standard admet plusieurs calculs dont celui  historique qui consiste à équilibrer la force centrifuge avec la force attractive coulombienne. Que dit le modèle Oscar ? - En effet le calcul historique donne une confirmation via le ratio de la constante de structure fine 𝜶. Selon ce calcul, le rayon classique de l'atome d'hydrogène est 137.035999 fois plus grand que celui de Compton de l'électron. Mais en réalité, l'électron orbital n'est pas ponctuel mais plutôt sous la forme d'un paquet d'ondes qui occupe tout le volume circonscrit par ce rayon. C'est pour cela que la mesure donne un rayon plus petit que ce rayon "classique".  - Sceptique : le calcul Oscar s'appuie-t-il encore sur la fameuse loi universelle : ℳ.ℒ = Cte ? - Oui car à l'origine, les fusions en neutron on agrandi l'intervalle moyen (entre particules de la couche externe), du facteur : µ = 1835,26 / 4 = 458,8 . C'est ce qui conf

Enigme n°30 (partie 2) : la courbe de la force forte

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- Sceptique : quels sont les éléments physiques concordants et tangibles, indiquant que le proton est configuré principalement par une partie neutre, structurée en 4 groupes de couches sphériques de paires électron-positrons réalisant une barrière infranchissable pour le positron célibataire confiné ? - Les 12 éléments tangibles sont les suivants : 1) la charge du proton est précisément celle d'un positron ; 2) le calcul de son rayon est – selon ML = Cte –  conforme à la mesure pour un groupe ayant le quart de sa masse ; 3) la loi première qu'est la symétrie, exige la parité entre électrons et positrons ; 4) la variable d'ajustement de la mitose fractale, correspond à l'émergence du proton en unité "électron brut" dont le ratio est lié à la masse des quarks ; 5) l'électron est la seule particule qui soit à la fois : libre, élémentaire et stable ; 6) on peut comprendre que la création originelle – accompagnée d'une délocalisation – puisse fusio

Enigme n° 30 : origine de la courbe asymptotique de la force forte (partie 1 : la masse)

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- Sceptique : la théorie mathématique de la chromodynamique quantique du modèle standard, considère la force forte comme issue des échanges entre partons (gluons et quarks).  Le modèle Oscar a-t-il une explication physique de cette force ? - Avant de répondre , il convient de rappeler que le modèle standard (MS) n'a pas de modèle physique de la structure du proton. Le premier problème rencontré est l'origine de la masse du proton. Pourquoi ?  1/ le MS a rejeté la possibilité d'admettre la paire électron-positron comme constituant universel car l'expérience locale montre qu'elle s'annihile aussitôt. Il nie l'évidence qui consiste à prendre conscience que les seules particules stables sont de création non locale .  2/ Il vit avec des contradictions énormes notamment avec l'asymétrie {matière / antimatière}. Il n'a pas admis que les positrons –  aussi nombreux que les électrons –  puissent être à jamais confinés dans les particules composites. 3

Enigmes 28-29 : sursauts gamma et anomalie magnétique du proton

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- Sceptique : le modèle standard, faute de mieux, avance l'hypothèse que les sursauts gamma proviennent de l'écroulement d'une étoile en trou noir. Que dit le modèle OSCAR ? - En cohérence avec l'ensemble du modèle OSCAR, le scénario est plutôt celui des collisions d'étoiles et de galaxies qui provoquent des annihilations partielles. Ces annihilations sont fonction du différentiel d'angles d'origine sur le BEC-fossile. La durée du sursaut gamma dépend de la taille des corps annihilés. Par exemple une collision entres trous noirs de petite taille (R < 10⁵ m ) donnerait une durée t < 1 seconde alors que la collision entre des étoiles comme le soleil donnerait un temps de plusieurs dizaines de secondes.   - Sceptique : on mesure la très faible anomalie du moment magnétique de l'électron comme un coefficient de valeur numérique très précise : 1,00115965218 ! Le calcul du modèle Oscar atteint ce niveau de précision alors que le calcul du modè

Enigme 27 mitose fractale

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- Sceptique : pourquoi le cosmos apparaît comme étant fractal ? - Son apparence trahit l'épisode de mitose fractale qui a transformé – il y a 13,7 Gyl – le BEC fossile (en état de surdensité), en 𝜉² BEC-fils en expansion, chacun étant hôte d'un étoile. - Sceptique : pour quoi cette surdensité et pourquoi ce nombre 𝜉² ?  - La surdensité vient d'une des plus fondamentales dualité : la dualité {ordre / désordre} ou {entropie/synchronisation}. On a vu qu'il existe un état permanent d'univers rempli d'oscillateurs stochastiques du zéro, les  𝓑𝓞𝓓𝓨s ! Cet état – fluctuant éternellement –  est quasiment en désordre maximum. Mais il existe des zones de synchronisation aléatoire, sous forme de BECs. Le brassage intense synchronise et désynchronise dans ces BECs. On a vu qu'il existe un seuil à partir duquel c'est le flux entrant de synchronisation qui domine. Cela dépend du ratio sur l'aire du BEC en cours : {densité / surface}. L

Enigme 25 : redshifts anormaux

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Voir  : sommaire , les cinq clés de la physique, l' éclaté du modèle , dualité du zéro . ----------------------- - Sceptique : Concernant les redshifts anormaux , ce lien nous indique que de nombreuses galaxies présentent des anomalies de redshift. Par exemple on trouve des cas où deux astres reliés par un pont de matière (NGC 7603) , ont des redshifts différents avec en plus, une absence de variation de vitesse dans le pont qui les relie. - Déjà on peut comprendre que deux galaxies puissent former un couple en rotation où la galaxie massive principale s'éloigne de nous par sa vitesse d'expansion (voir tableau). La galaxie satellite possède une vitesse tangentielle orientée dans notre direction. elle se soustrait donc à celle de son expansion moyenne. Cependant il est vrai que l'on devrait mesurer un gradient de vitesse dans le pont de matière. Mais si ce pont forme une boucle arrière, sa projection radiale peut tout à fait nous masquer les composantes r

Enigme 24 : le "vide"

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- Sceptique : le modèle standard indique (sans l'expliquer physiquement) que le "vide" est fait de d'oscillateurs stochastiques dont le spectre de fréquences est infini. En éliminant les longueurs d'ondes qui présentent un  multiple entier avec l'intervalle entre plaques, on peut concevoir aisément qu'il existe une poussée extérieure s'appliquant sur les plaques pour les rapprocher. - En effet il existe un large spectre de fréquences (en mode, perturbation, parasite) liées aux différents couplages avec la matière. Cependant le modèle Oscar ne spécule pas sur de vagues oscillateurs stochastiques dont la présence n'est ni justifiée, ni expliquée physiquement.  En revanche, la source des oscillateurs dipolaires synchronisés – les 𝓑𝓞𝓓𝓨s – est largement expliquée et justifiée dans le détail.  Le tableau montre que l'on retrouve les même valeurs qu'avec l'approche standard mais avec un raisonnement différent. Les plaques jouent

Enigme 23 : annihilation primordiale

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- Sceptique : y-a-t-il d'autres éléments qui confirmeraient que le taux  α =137,035999, est bien celui de l'annihilation primordiale comme l'affirme le modèle Oscar ?   - Oui car outre : a) qu'il est le ratio entre le rayon de Compton et  le rayon "classique" de l'électron ; b) qu'il corresponde à la valeur moyenne du ratio des trous cosmiques ; c) que la mitose fractale en 5 incréments α² , amène forcément une expansion localement accélérée ; d) qu'en rajoutant le taux d'élargissement (annihilation) de la surface élémentaire, on a 6 incréments (α²)⁶ → α¹² dont le résultat converge avec le taux de mitose ξ² avec une variable d'ajustement Po qui n'est rien d'autre que la justification de l'existence du proton, exprimée en unité électron brute ( Po = 1835,26 ).   - Sceptique : mais le proton n'est qu'un baryon parmi d'autres !  - Non , car le proton est la seule et unique particule (libre et composite) qu

Enigme 22 : les rayons cosmiques

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- Sceptique : non seulement le modèle standard n'explique pas l'origine des très puissants rayons cosmiques mais en plus, il s'interroge sur cette limite d'énergie, mesurée à : 5 × 10²º eV (c'est énorme !). Que dit le modèle Oscar à ce sujet ? - Avec toujours les mêmes bases, on montre que l'extraction maximale d'énergie d'un pôle de dipôle, est l'énergie de l'électron (ex-pôle) – conformée en noyau d'hélium et multipliée par le facteur 𝜉 . La cause en est la saturation des dipôles, due à l'ultra concentration des trous noirs galactiques qui se comportent alors comme le BEC-fossile (à plus faible intensité mais dans le cadre de matière concentrée déjà existante , d'où le niveau relativiste).  Sceptique : On observe des étoiles primordiales extrêmement massives jusqu'à 320 masses solaires ! Est-ce prévu par le modèle Oscar ?  - Oui car le calcul indique que la masse initiale totale de la Bulle-Univers (pas de l

Enigme 21 : l'emploi du zéro mathématique en physique

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- Sceptique : le modèle standard – initialement considéré judicieusement comme un "modèle" mathématique se rapportant à la physique  – est devenu, pour certains physiciens naïfs, la réalité physique de la nature.  - Oui et en premier lieu il y a ce très grave amalgame (dénoncé également par Christian Magnan )  courant entre le zéro (absolu) mathématique et le zéro (algébrique ou relatif) de la physique. Ce besoin d'absolu, de "création", ressort dans quasiment toutes les publications "scientifiques" concernant la "naissance" de l'univers. Le tableau suivant résume le paradoxe de la notion d'existence physique qui se passe de la mystique et naïve opération de "création". Les Bosons Oscillateurs Dipolaires Yin Yang ou 𝓑𝓞𝓓𝓨 s ne peuvent qu'exister éternellement, selon les règles simples énoncées dans le tableau ci-joint. Les deux mots clés initiaux sont ; dualité & localité . Ainsi l'inertie du très loca

Enigme 20 : expansion et trou noir

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- Sceptique : le modèle standard indique que "l'expansion de l'Univers est en accélération" de plus en plus forte. A-t-il raison ? - C'est encore et toujours négliger la notion de dualité de localité ! Je dirais plutôt en première analyse : "La Bulle-Univers locale est en expansion accélérée ce qui laisse entendre que la partie non locale décélère".  En seconde analyse, comment comprendre cette accélération sans ne rien connaître des causes de l'expansion ? - Sceptique : comment expliquer cette accélération de l'accélération ( dx / dt³ ) ?  - Les couches en avance sont celles qui ont cumulées 5 incréments de mitose, chacun à vitesse c (donc 5c ) ! Les couches les plus en retard, sont celles dont le vecteur vitesse du premier incrément était à 90° de l'axe radial. Elles ont ainsi une vitesse d'origine nulle. A cette échelle, l'entité élémentaire est le BEC-fils. Or – via le couplage avec la matière – les BEC-fil