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Affichage des articles du octobre, 2018

La 5eme dimension via le neutron

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- Sceptique : le tableau propose un calcul précis concernant la durée de vie du neutron mais l'incertitude relative de la mesure: 880,3 (±1) secondes permet-elle un recoupement aussi précis qu'avec l'anomalie magnétique de l'électron ? - Ce qui est important c'est d'avoir une confirmation du rôle de la 5eme dimension. Le billet précédent montrait le lien entre 𝛏 et 𝝰 dans le puits de jauge qui matérialise la 5eme dimension . La variable (naturelle) d'ajustement (coefficient = 1.00048) est la clé de l'instabilité du neutron. Sa propension à devenir proton répond à l'ajustement forcé entre les deux signatures. - Sceptique : mais Kaluza-Klein n'ont-t-ils pas proposé depuis longtemps, une cinquième dimension ? - Oui mais ils considéraient qu'elle était repliée sur elle-même ! En fait, l'idée était bonne mais comme souvent, on confond la cause physique avec l'aspect géométrique qui n'est qu'une conséquence . Le mo

La dualité de signatures de la Bulle-Univers

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- Sceptique : le dernier billet montre la première signature, soit le ratio 𝛏⁴ de la Bulle-Univers, issue de la synchronisation formant le BEC. On a vu que le rayon du point zéro central est égal à l'intervalle de Compton, dont la taille est 𝛏³ fois plus petite que celle du BEC. On a vu enfin que le ratio entre les deux, soit 𝛏 , correspond à l'accroissement d'intervalle généré par la mitose. Mais quid de la seconde signature ? - C'est la conséquence directe de la délocalisation-déflation des dipôles de la couche externe saturée du BEC , devenant pôles en cours de séparation . Il existe un moment critique où une partie majoritaire échoue la séparation à cause du ralentissement ou déflation, induite par l'augmentation de masse. Les pôles (+/-) voient leur masse croître d'un facteur 𝛏³ tandis que leur vitesse décroît du même facteur. C'est là  clé de ML = Cte. - Sceptique : par quoi se traduit cet échec de séparation ? - Par une annihilat

La première signature de l'état Bulle-Univers

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- Sceptique : le ratio universel  𝛏 = 1.5458 × 10¹¹ est en effet présent partout mais d'où vient-il exactement ? - Au moment où certains dipôles se synchronisent pour saturer le BEC originel,  leur ratio {longueur / épaisseur} est fixé à la valeur  𝛏⁴ .  - Sceptique : qui a fixé 𝛏⁴ ? - l'aléa ou le hasard car auparavant ce ratio était changeant et multiple. Puis la synchronisation a forcé l'harmonisation à la moyenne du lot. - Sceptique : comment peut-on être sûr que c'est ce ratio et pas un autre ? - La seconde relation du tableau montre qu'il colle parfaitement avec le ratio mesuré {force coulombienne / force gravitationnelle} entre un positron et un électron. - Sceptique : mais le modèle standard considère qu'il convient de comparer un proton et un électron !  - Oui c'était le cas avant de découvrir le positron.  - Sceptique : mais pourquoi ne pas avoir corriger depuis ? On voit bien que le proton est 1836 fois plus lou

Les 4 types de particules composites

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Le modèle standard pose une dichotomie entre les leptons (sans quark) et les hadrons (avec quarks). Nous montrons ici pourquoi cette dichotomie a semblé raisonnable à l'aune des expériences locales . Nous montrons ci-après les subtilités qui font que cette dichotomie est infondée : a) les quarks ne sont pas des particules constitutives mais induites , au sein des hadrons. Le MS a négligé de poser cette question qui est pourtant prudente et légitime.  b) La question du choix { induit / constitutif } a été initialement éludée à cause de la motivation à trouver à tout prix, une base pour composer la masse (stable) du proton.  c) Par la suite on a vu l'instabilité des quarks hors de leur confinement hadronique. Cette expérience indique clairement que s'ils étaient constitutifs, ils resteraient stables à l'état libre.  Ils sont donc  induits dans le confinement des hadrons, par les oscillations des intervalles polarisés , séparant les couches neutres.  Voir

La loi générale de Koide-Mareau

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La loi de Koide a été initialement proposée en 1981 par Yoshio KOIDE . Elle concerne un lien particulier entre 3 particules : l'électron de masse ( m ), le muon de masse ( µ ), le tauon de masse ( 𝝉 ), toutes trois classées dans la famille des leptons. La figure ci-jointe montre la loi initiale de Koide, construite à partir des masses mesurées. Avec une incertitude de 10⁻⁵, elle interroge sur la nature physique de ce lien, via le coefficient 2/3.   Le modèle Oscar montre, par plusieurs voies indépendantes, que les particules composites sont construites à base de paires électron-positrons. Par définition, ces paires doivent être représentées par des nombres entiers. Leur masses mesurées sont habillées de particules virtuelles et leurs unités nues sont donc représentées par des nombres plus grands. Exemple : la masse du proton = 1836.15 électrons habillés correspond à 1841 électrons nus. En fait 920 paires électron-positrons + 1 positron confiné donnant la charge exacte du

isotropie de l'horizon cosmologique

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 Le modèle standard est basé sur l'espace-temps type FLRW, qui est largement antérieur à la découverte de l'accélération de l'expansion. Comment peut-on conserver un modèle qui n'explique pas cette accélération ? Comment peut-on prendre au sérieux un modèle qui admet la possibilité d'une courbe négative ? Dans sa version « courbe plate » ce modèle prévoit un horizon cosmologique égal à 3,3 fois le rayon de Hubble, soit : 45 Gyl. Cette version admet un arrêt de l'expansion après un temps infini . C'est une grave erreur car la notion d'infini est incompatible avec les paramètres physiques.   L'isotropie de l'univers concerne plusieurs paramètres physiques : a) la température ; b) la forme ; c) la distance relative.  Pour vérifier l'isotropie de l'expansion, on exploite la distance d (via les céphéides) et le décalage spectral z donnant le taux d'expansion. Si la mesure de z est précise on ne peut pas en dire autant de la d

Accélération expansion et immense trou de l'Eridan

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Contre toute attente, les observations cosmiques modernes,  montrent une accélération de l'expansion de "l'univers" !! Face à cette énigme, les tenants du modèle standard, cherchent des solutions... Mais ils commettent toujours les mêmes erreurs. Il suffit de lire le lien précédent : a) il parle d'expansion de "l'univers" alors qu'il a deux états , l'un englobant l'autre  ; b) même en oubliant le principe de dualité en ne considérant que la Bulle-Univers, on élude la dualité liée à l'horizon cosmique . Au delà de cet horizon, la Bulle-Univers ralentit ; c) plutôt que de chercher des causes physiques, on revient aux anciennes spéculations mathématiques qui consistent à rajouter une "constante" opportune dans les équations d'Einstein.  Le modèle Oscar n'a pas besoin de spéculer pour expliquer cela. L'entrée brutale en mitose du BEC originel, génère une expansion en couches dont les vitesses s'étalent d

Amplitude maximale de la Bulle-Univers

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Le modèle standard n'aborde pas les causes du Big Bang. Il considère qu'à partir de la longueur de Planck, il y a eu une inflation de vitesse largement supraluminique qui a permis de rendre homogène en température, tout l'univers. Il y a là deux spéculations : a) la longueur de Planck dont on a vu qu'elle ne correspondait à rien de physique ; b) cette inflation opportune mais non expliquée.  Le modèle Oscar s'intéresse d'abord aux causes du Big Bang. Il explique en détail comment se forme un BEC originel à partir de la synchronisation d'une partie de l'infinité d'oscillateurs stochastiques et dipolaires, induisant chacun un strict zéro physique. Ainsi on ne doit pas évoquer "l'univers" mais préciser s'il s'agit de son état stochastique "éternel et infini" ou de son état "Bulle-Univers". Ce dernier étant ce BEC en expansion. Le modèle montre comment et pourquoi ce BEC originel entre en mitose brutale

Courbure d'Einstein, rayon max Oscar et énergie sombre

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Avec le billet précédent nous avons vu comment Einstein propose un paramètre de courbure de l'espace-temps en fonction de la constante de gravitation G et la densité d'énergie. On peut simplifier en considérant une densité de masse en divisant par c² puisque : M = E / c².  Le tableau joint montre que sa démarche relève des équations aux dimensions (physiques). Le modèle standard donne une estimation de la densité de masse dans l'univers en fonction de la mesure de la "constante" de Hubble, Ho. Cette "constante" donne le taux actuel de l'éloignement généré par l'expansion. Elle a fait l'objet de différentes estimations et la dernière en date (septembre 2018)  est d'environ 72,5 km/s/Mpc. En unité SI, elle vaut 2,35 ×10⁻¹⁸ seconde ⁻¹ .  Avec la densité massique, 𝛒 la formule standard est : Ho² =  8 𝛑 G 𝛒 / 3   avec Ho exprimée en unité SI ! Ainsi le modèle standard estime la masse volumique de l'univers actuel à ~10⁻²⁶ kg

5eme dimension et courbure d'Einstein

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Pour tenter d'unifier la gravitation à l'électromagnétisme, Kaluza a imaginé en 1919 que l'espace-temps à 4 dimensions pouvait en comporter une 5eme, non visible. Dans le cadre de la relativité générale, il a imaginé que cette 5eme dimension était enroulée à une taille extrêmement petite, la longueur de Planck ! Si le modèle Oscar revendique effectivement une 5eme dimension, il se distingue de cette démarche qui comporte trois graves défauts : - a)  des hypothèses non justifiées en amont par de multiples recoupements, ne sont que des spéculations. On cherche à résoudre un problème particulier sans en chercher la cause originelle.  - b) poser l'hypothèse que la 5eme dimension est enroulée n'a aucune justification. C'est une approche de type géométrique (Lⁿ) et non de type physique complète (M, Lⁿ , T). - c) utiliser la longueur de Planck n'est pas prudent car elle n'est pas mesurée et sa seule légitimité est sa cohérence dimensionnelle. Le