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Affichage des articles du avril, 2018

la dualité en politique (suite et fin)

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4 . la dualité en p olitique : à tous les niveaux d'organisation, on retrouve le fondement dual de l'univers et ce qu'il a physiquement induit. L'organisation politique n'échappe pas à cette loi. Elle procède de plusieurs axes : 4 -1 l'axe {exécutif / contrôle} représenté par le gouvernement et le parlement. C'est un axe de nature structurelle qui permet une grande réactivité de l'exécutif tout en ayant un contrôle démocratique de son action, à posteriori. Les régimes parlementaires (discuter longtemps avant d'agir) reviennent à induire un grave blocage institutionnel dans un monde où l'évolution est rapide. La dualité {exécutif/contrôle} s'accompagne de règles qui favorisent l'émergence d'une majorité pour assurer la stabilité. Les scientifiques ont – à juste titre – l'obsession de trouver des constantes. Elle se manifeste ici selon cette loi : l'excès de représentation proportionnelle nuit à la stabilité. E

Dualité en biologie (suite du billet précédent)

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3 . la dualité en biologie : elle est omniprésente dans tous les aspects de la vie. Ce n'est pas étonnant car les prémisses de la vie sont déjà inscrits dans le BEC initial. Par définition, l' essence de la vie ne peut venir que de l'univers lui-même . les bases fondamentales sont : 3-1 la dualité entropique  : elle est la clé du cycle d'univers entre l'entropie maximale de la phase stochastique et l'entropie minimale de la phase de synchronisation. On a vu que que statistiquement l'entropie maximale débouchait (en partie) sur un flux de synchronisation qui engendrait la notion de saturation de la « peau » du BEC initial. La vie est également caractérisée par la dualité entropique entre l'extérieur de la « peau » (l'univers) et l'intérieur (la cellule). L'entropie de désordre augmente dans l'univers alors qu'elle diminue dans la cellule. 3-2 la dualité de la notion de peau : la membrane ou « peau » d'

Dualité ou dualisme ?

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Historiquement ces deux termes sont relatifs à la personne humaine et plus précisément, marquent la différence entre le soft (la pensée) et le hard (le corps). Le dualisme propose un incompatibilité entre ces deux entités alors que la dualité suppose une symétrie entre deux antagonismes. Dans tous les domaines (physique de l'univers, philosophie, science politique, biologie, etc...), rien ne peut vraiment se comprendre sans la notion de dualité. Cette notion est l'essence même de l'existence des choses et en premier lieu, l'univers. Le concept physique de dualité permet de construire un zéro (physique) relatif qui est très différent du zéro absolu. Ainsi le modèle OSCAR s'appuie sur la nette différence entre ce zéro relatif et le zéro absolu, binaire et abstrait, de son état. La logique binaire fonctionne dans le cadre des mathématiques et des nombres. Si en physique, cette logique peut-être efficiente, c'est seulement dans le cadre limité du dénombrement nu

polarisation de l'électron

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Ce document du CNRS montre comment on peut expérimentalement créer des électrons polarisés circulairement. La découverte de la polarisation des électrons est plus récente que celle de la lumière. La polarisation de la lumière a été bien améliorée depuis que Louis MALUS l'a découverte en 1809. L'onde électromagnétique – contrairement aux ondes sonores – se propage selon un mode vectoriel. Il existe 3 axes orthogonaux : a) l'axe de propagation ; b) l'axe d'oscillation du champ magnétique ; c) l'axe d'oscillation du champ électrique. Il y a 3 types de polarisation de la lumière : a) la polarisation circulaire où la vibration s'opère autour de l'axe de propagation ; b) la polarisation elliptique (proche du type a) ; c) la polarisation rectiligne (par exemple vertical ou horizontal comme pour le filtre des lunettes 3D). La polarisation des photons est parfaitement traitée par le modèle standard mais la cause physique de la propagation des photons,

Le mystère du spin

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On peut résumer la position du modèle standard par ce document du C NRS qui commence par cette phrase : «  Le spin est, en mécanique quantique, une observable un peu mystérieuse qui n'a pas d'analogue classique bien précis contrairement à l'impulsion, au moment cinétique, à la position.... Et po u rtant on s'en fait souvent une idée en l'associant à un moment cinétique intrinsèque de la particule. Ainsi les électrons qui ont un spin 1/2 et dont la projection sur une direction arbitraire peut prendre les valeurs ±1/2, sont souvent décrits comme des toupies tournant dans un sens ou dans l'autre » . On est tellement gêné par le mystère de la dimension du spin de l'électron (1/2 ħ = ML²/T ) que l'on s'arrange pour l'éluder en ne citant que l'aspect numéral, soit 1/2 ! Ce mystère n'a jamais été dissipé car : a) on sait que la circonférence développée par le rayon de Compton de l'électron, ferait que ce dernie

Spin et fréquence hyper fine de 21 cm

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La transition hyperfine de l'atome d'hydrogène, permet de visualiser les nuages d'hydrogène dans les galaxies, par sa fréquence émise dont la mesure est très précise (13 décimales) : ν = 1420,405 751 766 7 (10) MH (longueur d'onde de 21 cm). Très rarement mais spontanément, l'électron (onde sphérique oscillant autour du noyau) inverse son état de spin. Il passe d'un état où l'oscillation radiale est en phase (ou de même sens) avec le proton à un état inversé (antiparallèle). Cela l'amène à descendre à un niveau d'énergie inférieur et donc à émettre cette fréquence. Cet événement est rare mais comme il existe beaucoup d'atomes d'hydrogène, globalement cette émission apparaît comme permanente. Le modèle OSCAR indique que la source du spin est couplée aux oscillateurs dipolaires formant la structure de l'espace-temps. La fréquence fondamentale des dipôles est : ν e =1/ t e = 1/1,288×10–21 s –1 . La fréquence hyperfine est l

Typologie d'une galaxie ordinaire

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Le modèle standard a classifié les galaxies selon leur morphologie, leur structure et leur activité. La majorité (61 %) est de type spirale. Depuis plusieurs décennies, on a constaté que la dynamique des galaxies ne s'expliquait qu'en prenant en compte une masse noire d'environ 5 fois la masse lumineuse. Cette dernière, répartie dans un large halo, induit une vitesse de rotation assez constante en fonction du rayon. Cela ne serait pas le cas sans cette matière noire (D.M). Comme le modèle standard n'explique pas la D.M, le physicien MILGROM a proposé la théorie M.O.N.D qui considère que la gravitation à l'échelle de la galaxie est différente de celle dont on connaît les effets courants. Cependant, on vient de voir récemment que la dynamique de certaines galaxies , se comporte sans recourir ni à la D.M ni à la théorie M.O.N.D. Par ailleurs ce type de galaxie n'a pas de trou noir central, ni de bulbe. Le modèle standard ignore pourquoi la plupart des galaxies,

Galaxies sans matière noire

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Le modèle standard considère avec raison, que la dynamique des galaxies ne peut s'expliquer qu'avec la présence majoritaire de matière noire étendue dans un grand halo. Mais le problème est qu'il ne l'explique pas ! Le modèle MOND essaie d'expliquer cela en posant l'hypothèse que la gravitation que l'on connaît, s'exprime différemment à cette échelle. Mais cela s'appelle une hypothèse ad hoc ou une spéculation. Récemment, des astrophysiciens découvrent voir ici plusieurs galaxies dépourvues de matière noire. Leur dynamique se passe de matière noire, contrairement à la grande majorité des galaxies. C'est une surprise totale car pour le modèle standard, les halos sont fait de matière noire. Cette observation est cohérente avec le modèle OSCAR qui indique clairement que le halo est un empilement de BECs qui peuvent – ou non – contenir de la matière noire. Il fait bien la différence entre le contenant et le contenu ! Mais ce n'est pas tou