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Affichage des articles du mars, 2018

Typologie d'un BEC de l'espace-temps

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Le modèle standard ne modélise pas physiquement l'espace-temps. Il en fait un modèle mathématique abstrait appelé « champ » ou « vide ». Cette pauvreté lexicale trahit le manque d'approche physique. Les tenants les plus conservateurs du modèle standard, considèrent que le domaine « avant Big Bang » est d'ordre métaphysique. Cette posture est ambiguë car elle laisse à penser qu'il existe un mystère insondable de cet « au-delà ». Cela n'est pas défendable à plusieurs titres : a) elle affirme sans preuve que « ces voies sont impénétrables » ; b) elle trahit l'esprit scientifique en abandonnant ce domaine physique, à la théologie. 1. L es boson-oscillateur-dipolaires stochastiques  : le modèle oscar explique en détail, comment cette condensation est arrivée à partir d'un état d'univers stochastique. Un lot aléatoire de boson-oscillateur-dipolaires se sont synchronisés pour former un BEC avec un « point-zéro » commun. Le lot d'osci

Casser le mythe de la gravitation

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Le modèle standard considère trois constantes comme fondamentales ( G, ħ , c ) . La première est la constante de gravitation, la seconde est la constante de Planck et la troisième est la vitesse de la lumière dans le « vide ». Le modèle standard a une approche limitée aux effets de ces trois constantes. Elles sont révélées par la mesure et leur causes restent mystérieuses. Le modèle oscar indique que toute la physique de l'univers s'explique avec l'électron. Il forme une paire fondamentale avec son alter ego, le positron. Son origine est celle des oscillateurs dipolaires qui forment l'espace-temps. Avant de démontrer cela, regardons leurs dimensions physiques. 1. La dimension de la vitesse, c  : c'est la plus facile, il s'agit d'une longueur L divisée par un temps T. Toute vitesse v se détermine comme cela : v = L/T . En l'occurrence la vitesse c est déterminée par la longueur ( ƛ e ) et le temps ( t e ) élémentaire de l'él

Le puits de jauge du proton

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Le modèle standard ne donne aucune explication physique au « champ » de l'espace-temps. La théorie quantique des « champs » (Q F T) est juste une démarche descriptive. Mais décri r e n'est pas expliquer . Cette théorie considère 4 forces fondamentales : a) l'interaction électromagnétisme avec comme médiateurs, des photons ;  b) la force « faible » avec comme médiateurs, les bosons ; la force « forte » avec comme médiateurs les gluons ; c) la force gravitationnelle avec comme médiateurs, les gravitons. Ces derniers n'ont pas été découverts. La démarche descriptive et analytique a amené une crise dans les années 1940 avec le problème des infinis. Ce problème d'infini a été « résolu » par une procédé purement mathématique, la renormalisation ! L'erreur est d'admettre des infinis (en physique) puis les éliminer artificiellement. A ce jour, beaucoup continuent de faire l'amalgame entre le zéro mathématique et le zéro physique. La théorie quantique des «

Le proton est d'Or

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Le modèle standard ignore totalement pourquoi le proton existe et pourquoi il est stable avec cette masse précise et pas une autre. Il ne faut pas oublier qu'avec le neutron, ils forment toute la matière stable. Cela n'a rien à voir avec toutes ces particules instables, créées localement dans les accélérateurs. Le proton n'est pas là par hasard ! Le modèle oscar montre qu'il est directement issu du nombre d'Or * de l'univers. Nos vies, à base de protons et neutrons, dépendent de ce nombre d'Or. 1. L e conflit de la mitose fractale  : nous avons vu que la saturation du BEC-fossile se jouait sur deux tableaux : a) du point de vue volumique, les intervalles radiaux (1D) sont ξ fois plus grands que ceux de l'axe tangentiel. Or un BEC n'est équilibré que s'il y a isotropie de sa densité  ; b) du point de vue surfacique (hologramme), les dipôles se superposent et annulent leurs charges. Cela a pour conséquence de briser leur lie

Le nombre d'Or de l'univers

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Nous allons voir pourquoi la suite de Fibonacci, qui règle la mitose de l'univers, est limitée au ratio 8/5 = 1,60. Sans limite imposée, cette suite donne le nombre d'Or : (1+√5)/2 = 1,61803398. La figure 1, synthétise la mitose du BEC primordial. Le modèle Oscar insiste d'abord sur la cause de cette mitose. Il montre que le flux de synchronisation finit par saturer le BEC, ce qui déclenche la mitose. Mais dans ce BEC, se joue deux partitions en même temps. Les dipôles surfaciques (coque ou hologramme du BEC) sont les premiers à se superposer ce qui déclenche la séparation des dipôles surfaciques (voir figure 2) . Mais dans le même temps, les dipôles volumiques se trouvent dans une situation de non isotropie des intervalles élémentaires. Les intervalles radiaux sont ξ fois plus larges que les intervalles tangentiels. Ainsi la délicate séparation des dipôles surfaciques se solde par une annihilation de taux α = 137,035999. Ce taux élargit l'intervalle tangentiel ent

Rotation constante des galaxies

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Dans une étude publiée le 9 mars dernier dans la revue The Monthly Notices of the Royal Astronomical Society , une équipe internationale d’astrophysiciens montre que toutes les galaxies ont une rotation égale ( un tour complet par milliard d’années ) . Il y a donc un phénomène de régulation qui est indépendant de la taille des galaxies. Par ailleurs le modèle standard s'attend à trouver des étoiles jeunes, en bordure des galaxies. Or ce n'est pas le cas car on y trouve également des étoiles anciennes. Il n'y a donc pas de grands flux d'accrétion de gaz nouveau, qui serait trahit par une majorité d'étoiles jeunes. Si l'étonnement est de mise pour le modèle standard, ce n'est pas le cas pour le modèle Oscar qui a prédit depuis longtemps, les flux de matière noire produite dans le centre galactique. 1. L'accrétion des galaxies est minimale  : contrairement au modèle standard, le modèle oscar indique que les matrices de galaxies sont

Classement réaliste des particules

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Le modèle standard classe les particules selon différentes règles dont celle relative à la dichotomie, boson-fermion. Le boson est sensé se condenser alors que le type fermion ne le peut pas. Une seconde règle consiste à considérer les quarks comme des particules élémentaires. Ces quarks seraient « collés » par d'hypothétiques gluons. Le modèle oscar montre que ce modèle standard ne prend pas en considération la dualité de localité concernant la création des particules. Il est démontré que les créations non locales sont stables alors que toutes les créations locales sont instables. Cette vue limitée au local, a supprimé la possibilité que la matière (proton-neutrons) puisse être composée de paires électron-positrons. Car la création non locale avec séparation, permet aux paires électron-positrons, d'être de se comporter en bosons. Par ailleurs, la découverte des quarks aurait du générer la question de savoir s'il sont constitutifs ou induits dans le confinement des ba

Le Big Bang en images

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Voici deux images qui résument le processus Oscar , qui amène une partie des oscillateurs dipolaires de la matrice primitive d'univers, à se condenser en BEC , par synchronisation . Le flux de synchronisation ne s'arrête que lorsque la première couche du BEC est saturée . Cela revient à une superposition des dipôles de la première couche. C'est le masquage des charges liant les deux pôles formant dipôles. Ces lien s brisé s , amènent la séparation en monopôles (électriques). En revanche, les dipôles de toutes les autres couches, restent unis et neutres . Mais la saturation les met dans une situation où les intervalles radiaux sont plus grands que les intervalles tangentiels (isotropie incompatible avec l' équilibre d'un BEC ). Cette isotropie est de ratio ξ ² . Enfin, la séparation est délicate car elle s'accompagne d'une annihilation dont les rescapés ne représentent (sur la surface 2D) que 1/α² du nombre originel. Cela veut dire que les intervalle

l'univers né d'un paradoxe

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Les chercheurs proches du modèle standard essaient de trouver un « mécanisme » qui expliquerait l'existence même de l'univers. Beaucoup de ces idées tournent autour de l'incertitude de Heisenberg qui limite à jamais le produit : position × impulsion d'une particule. Cette incertitude constatée dans nos laboratoires est rattachée à la constante de Planck ħ . Ce que l'on oublie de dire c'est que cette constante est induite par la brique élémentaire , électron. Elle est construite avec les seuls paramètres de l'électron. Si son champ d'action est étendu à des particules plus lourdes, c'est parce qu'elles sont composées de cette brique élémentaire : ħ = m e ƛ e ² / t e Le second oubli courant concerne l'extrapolation de l'état d'univers actuel à un état primitif. Cet état primitif ne comporte aucune constante, même pas celle relative à l'électron. Même si on évite les deux premières erreurs, on plonge souvent d

Loi de Koide–Mareau

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Le modèle standard a posé arbitrairement une dichotomie entre les particules dites lepton comme électron, muon et tauon, d'une part et les hadrons d'autre part, composés de quarks. Comme la loi de Fermi interdit d'une manière absolue, que des électrons-positrons (fermion) puissent se condenser comme des bosons, alors on a abandonner l'idée que les particules soient composées de ces paires. En faisant cela, le modèle standard a éludé la dualité de localité avec laquelle d'ailleurs il existe un fort malaise. En fait la seule dichotomie valable est celle de la stabilité : Les créations locales sont toujours instables 1. Stabilité des particules  : l'électron et le proton – de création non locale – sont toujours stables. De plus, l'électron est la seule particule libre qui soit à la fois stable et élémentaire. La stabilité des quarks ne se vérifie que dans le cadre de leur confinement dans les hadrons ! Cela implique qu'ils s