L'atome Schrödinger-Oscar
Le
modèle standard a nettement progressé sur la représentation de
l'atome depuis Thomson en 1899. En figure 1, on note la
progression de la connaissance de l'atome. La naïve représentation
de l'atome de Thomson, ressemble étrangement à celle que le modèle
standard se fait encore actuellement, du noyau (en
grappe). Ensuite la représentation de l'atome de Rutherford (en
1911), un peu plus réaliste, était inspirée du système planétaire
gravitant autour du soleil. Le modèle de Bohr en (1913) avait inclus
l'idée d'une quantification qui donnait des orbites stables aux
électrons. Mais un certain nombre d'expériences indiquaient un
comportement étrange du monde subatomique qui ne collaient pas avec
le dernier modèle en cours. En 1925, Schrödinger propose un modèle
d'essence mathématique qui se révélera en accord avec
l'expérimentation.
Figures
1 : évolution des modèles d'atomes
1. Le
modèle de Schrödinger : il s'est inspiré des ondes
stationnaires comme par exemple celles relatives à la corde de
guitare.
Figure
2 : les ondes stationnaires
Dans
le cadre du très mystérieux phénomène « onde/particule »,
Il a considéré le cortège d'électron sans position particulière
mais ayant une probabilité de se trouver dans telle ou telle région
à cause de l'indétermination de Heisenberg. Sans faire ici un cours
complet, on peut résumer sa démarche comme suit : il a inventé
la fonction d'onde Ψ qui,
rapporté à un opérateur hamiltonien, permet de relier l'énergie
de liaison à la notion de densité de probabilité, Ψ².
Figue
3 : la probabilité de trouver l'électron dans les nœuds, est
nulle
On
note que le nuage de probabilité de l'orbitale 1s, recouvre
le noyau. C'est le cas de l'atome d'hydrogène qui est à la base de
toute la matière. Dans ce modèle, Schrödinger apporte une nette
amélioration à la description des atomes. Mais il ne cherche pas à
comprendre physiquement pourquoi l'électron est ainsi omniprésent
dans l'atome. Il cherche une règle mathématique pour le calcul de
probabilité de trouver un électron à un endroit donné. Cela signe
le renoncement à comprendre, de l'école de Copenhague. On décrit
les effets sans en chercher les causes qui sont trop mystérieuses.
2. Interprétation
Oscar du modèle de Schrödinger : rien ne peut se
comprendre sans l'action du tissu subquantique des oscillateurs
dipolaires. L'électron doit se voir comme un ex monopôle
oscillant. Ainsi il se comporte physiquement comme une onde
stationnaire parce qu'il oscille entre le niveau quantique et le
niveau subquantique. Dans l'atome le plus simple – l'hydrogène –
la taille de l'électron est celle de Compton, ƛe
= 3,86×10–13
m tout
comme l'intervalle
élémentaire. La figure suivante montre comment est élargi le rayon
élémentaire dans l'atome d'hydrogène dont le rayon mesuré n'est
pas celui de Bohr mais de valeur :
2,48×10–11
m.
Figure
4 : élargissement de l'intervalle élémentaire de l'atome
d'hydrogène
Le
plateau subquantique est une extension
de l'espace élémentaire de Compton. Cette extension compense
exactement la réduction de Compton du rayon du noyau (proton). Elle
tient compte de tous les éléments du noyau y compris de l'induction
des quarks. Selon l'application le la constante universelle ; ML
= Cte, la masse totale des quarks du proton (8,81 MeV), participe à
l'extension spatiale, de l'intervalle élémentaire à tout
l'atome hydrogène. Dans cet intervalle, l'électron est « présent
partout à la fois ». Comme tous les intervalles, il est en
interaction avec le tissu de dipôles subquantiques. C'est la cause
de l'expression par la densité de probabilité le théorie de
Schrödinger.
3. L'exclusion
de Pauli : contrairement aux aimants classiques, les
électrons n'ont pas la liberté d'orientation dans un champ
magnétique. Seules deux directions sont possibles : soit dans
la direction (haut = up) soit dans la direction opposée (bas = down)
du champ magnétique. Il vient qu'une orbitale ne peut être occupée
que par deux électrons de spins contraires. C'est un total mystère
pour le modèle standard. Le modèle Oscar explique cela par le fait
que la source du spin vient toujours des dipôles. Ils sont
contraints de spiraler dans le BEC pour garantir une densité
constante. Ainsi une orbitale se comporte comme un dipôle
subquantique à l'égard du spin. Les deux amplitudes opposées de
l'électron oscillant, sont d'une part au niveau quantique et d'autre
part, au niveau subquantique. Dans ce dernier niveau, il s'agit de
l'expression d'un des pôles du dipôle.
Conclusion :
le volume de l'atome d'hydrogène est un volume élémentaire
élargit. En fait c'est le reflet subquantique qui induit
l'omniprésence de l'électron, par l'élargissement de son volume.
La règle quantique courante dit que le rayon de Compton se réduise
en fonction de la masse. Cela revient à poser : ML = Cte. Mais
il y a une subtilité : ce n'est pas la masse du proton mais
celle d'un de ces 4 groupes, qui agit. Mais cette réduction est
compensée par une extension de l'intervalle élémentaire, qui
matérialise le rayon de l'atome. Le fait que la masse totale des
quarks, participe à cette symétrie, confirme une fois encore que
les quarks sont induits et non constitutifs.
La règle ce Compton dit qu'une grande masse réduit l'espace ne fait que respecter ML = Cte et ce, au niveau quantique. Mais cela ne concerne que le noyau où est concentrée la masse. Pour compenser, le niveau sub agrandit l'intervalle pour l'espace des électrons périphériques. La formule montre que l'atome composite possède deux densités bien différentes.
RépondreSupprimerNb : l'électron libre est "partout à la fois" dans l'intervalle élémentaire (Compton) . L'électron orbitale est "partout à la fois" dans le rayon de l'atome pour la première couche. Le crayon d'atome est le Compton élargit.
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