Ondes gravtationnelles et réduction du paquet d'ondes
Nous allons comparer l'incomplétude de la théorie de Newton et celle de Schrödinger. La première bien qu'exacte, a été complétée par la relativité générale. Elle a notamment indiqué que l'interaction de la gravitation est soumise à la vitesse de la lumière. La seconde est également exacte mais seul le modèle OSCAR lui apporte le complément attendu.
Dans les deux cas, on a implicitement une interaction entre deux corps qui est de type instantané ! En gros, l'équation de Schrödinger traite de l'onde/corpuscule. On connait l'impulsion mais pas la position de l'onde (L) mais dès que l'on procède à une mesure, la particule (M) se réduit en un seul point.... instantanément (?). Ce phénomène s'étend également à l'état de spin. En effet, on a expérimentalement constaté que deux particules très éloignées semblaient correspondre instantanément, concernant leur état de spin.
Alors puisque l'équation de Schrödinger dit implicitement cela, certains mathématiciens ont vu là une explication (sic). Mais les physiciens savent bien qu'un paramètre physique infini n'existe pas !! Donc, à cet égard, l'équation de Schrödinger est aussi incomplète que celle de Newton. Donc en résumé, on a : un message qui va plus vite que la lumière mais moins vite qu'une vitesse infinie. Cela montre bien que :
a) que l'espace-temps subquantique est structuré par des oscillateurs tachyons dont la vitesse est bien plus grande que celle de la lumière.
b) que ce sont eux qui régulent la vitesse de la lumière au niveau quantique
c) que le spin est une caractéristique de ces oscillateur-tachyons.
d) que la dualité onde/corpuscule est à l'image du déphasage M → L qui justifie l'ontologie physique de l'univers, sans le recours à l'ontologie religieuse.
L'observatoire VIRGO en Italie a détecté des ondes gravitationnelles provenant de la fusion de deux trous noirs lointains. Situé près de Pise, Virgo est un interféromètre comprenant deux bras de 3 km de long dans une configuration perpendiculaire. La lumière laser est réfléchie à plusieurs reprises entre les miroirs suspendus aux extrémités de chaque bras puis combiné à un détecteur. Une onde gravitationnelle est une ondulation dans l'espace-temps et lorsqu'elle traverse un interféromètre, elle change les distances entre les miroirs.
Dans les deux cas, on a implicitement une interaction entre deux corps qui est de type instantané ! En gros, l'équation de Schrödinger traite de l'onde/corpuscule. On connait l'impulsion mais pas la position de l'onde (L) mais dès que l'on procède à une mesure, la particule (M) se réduit en un seul point.... instantanément (?). Ce phénomène s'étend également à l'état de spin. En effet, on a expérimentalement constaté que deux particules très éloignées semblaient correspondre instantanément, concernant leur état de spin.
Alors puisque l'équation de Schrödinger dit implicitement cela, certains mathématiciens ont vu là une explication (sic). Mais les physiciens savent bien qu'un paramètre physique infini n'existe pas !! Donc, à cet égard, l'équation de Schrödinger est aussi incomplète que celle de Newton. Donc en résumé, on a : un message qui va plus vite que la lumière mais moins vite qu'une vitesse infinie. Cela montre bien que :
a) que l'espace-temps subquantique est structuré par des oscillateurs tachyons dont la vitesse est bien plus grande que celle de la lumière.
b) que ce sont eux qui régulent la vitesse de la lumière au niveau quantique
c) que le spin est une caractéristique de ces oscillateur-tachyons.
d) que la dualité onde/corpuscule est à l'image du déphasage M → L qui justifie l'ontologie physique de l'univers, sans le recours à l'ontologie religieuse.
L'observatoire VIRGO en Italie a détecté des ondes gravitationnelles provenant de la fusion de deux trous noirs lointains. Situé près de Pise, Virgo est un interféromètre comprenant deux bras de 3 km de long dans une configuration perpendiculaire. La lumière laser est réfléchie à plusieurs reprises entre les miroirs suspendus aux extrémités de chaque bras puis combiné à un détecteur. Une onde gravitationnelle est une ondulation dans l'espace-temps et lorsqu'elle traverse un interféromètre, elle change les distances entre les miroirs.
Que veut dire exactement cette expérience ? Elle confirme qu'il s'agit bien d'une onde et qu'elle se propage à la vitesse de la lumière et non pas instantanément. Mais comment se déforme l'espace-temps ? L'approche d'Einstein – exacte mais de nature descriptive – ne l'explique pas du tout ! Certains vous montrerons des courbes de surfaces faites de "mailles" d'espace-temps. Encore une fois cette approche mathématique n'apporte pas d'explication quant à la structure physique de l'espace-temps.
Pour OSCAR, la gravitation est un gradient de l'interaction électrique due à le séparation (délocalisation) primordiale. Elle est 10^42 fois plus faible que l'interaction électrique classique. Ce n'est pas une hypothèse puisque c'est corrélé par des relations connues. Comment se manifeste cette interaction ? Pour répondre à cette question, il faut regarder l'espace-temps comme une structure physique, faite d'oscillateurs synchronisés et symétriques formant des BECs enchevêtrés.
Dans ce contexte physique, la symétrie des oscillateurs est toujours perturbée (voir particules virtuelles). La gravitation est une cause généralisée de perturbation qui déforme globalement la symétrie et créé effectivement une courbure liée à la densité d'énergie de la matière. Si cette interaction varie alors cette courbure varie également. Cela apparait d'une manière infime dans les grands bras de Virgo. Il faut féliciter ces expérimentateurs pour leurs capacités à trouver les bonnes astuces pour améliorer la précision à des valeurs inouïes.
Revenons à la réduction du paquet d'onde. En gros, on ne sait pas où se trouve une particule tant que l'on ne la pas mesurée. Alors là c'est la bouteille à encre !!! Je cite un extrait d'un article de Jean-Paul Baquiast
.
"....D'autres physiciens, dont Albert Einstein, ont proposé l'existence de variables cachées. Des expériences avaient été proposées, notamment par John Bell pour montrer comment on pourrait vérifier la possibilité ou l'impossibilité d'existence de telles variables; À la fin du XXe siècle, Alain Aspect réalisa ces expériences, ce qui aboutit à infirmer l'existence de ces variables cachées (locales)....". Le mot local a disparu de la (fausse) argumentation.
Cette analyse reflète bien les interrogations actuelles et les erreurs courantes. Beaucoup s'appuient sur la non existence des variables cachées pour rejeter une tissu subquantique de tachyons. Sauf qu'il s'agit là de variables cachées locales alors que les tachyons sont de type "non locaux" par rapport à l'échelle quantique. Le mot local qui représente la clé, est carrément éludée !
Ensuite l'article dit à propos des diverses interprétations :
"L'interprétation la plus répandue est celle dite de l'École de Copenhague. Pour ses partisans, les postulats de la physique, en l'espèce ceux de la mécanique quantique, n'ont aucun sens métaphysique : ils ne décrivent pas l'univers. Ils sont purement formels et opératoires. Ils se limitent à proposer des opérations lesquelles, que la réponse soit positive ou ne le soit pas, ne permettront pas d'en déduire une réalité sous-jacente. Il s'agit d'une impossibilité radicale, liée à l'absence de lien physique entre les postulats et la réalité, et non d'une « simple » ignorance qui pourrait être comblée à l'intérieur du cadre de la mécanique quantique actuelle. La mécanique quantique est parfaitement valide dès maintenant, dans la mesure où elle est appliquée aux nombreux cas pratiques dans lesquels elle sert d'outil indispensable, mais il ne faut par chercher à savoir si elle se réfère à un monde objectif sous-jacent;. « Calcule et tais-toi » comme il a été dit".
On notera :
1/ en troisième ligne on traite l'univers de métaphysique ! Alors qu'il n'y a rien de plus physique que l'univers ! Cela indique clairement que l'on continue de croire à l'ontologie religieuse.
2/ les postulats de la mécanique quantique ne permettent pas de déduire une réalité sous-jacente. Nous sommes d'accord mais il devrait rajouter que rien ne dit que ces postulats soient complets. Je dirais même qu'ils sont nettement incomplets !
3/ mais il ne faut par chercher à savoir si elle se réfère à un monde objectif sous-jacent ! Mais pourquoi donc ? Mieux vaut éluder ?
Alors dans ce brouillard métaphysique (oui si l'univers est bien physique, ces élucubrations sont bien à côté de la physique), les avis divergent tellement que l'on a préféré dire que la mesure était capable de réunir instantanément les informations par exemple des spins intriqués. Certains l'appellent le lien fantôme. Non messieurs, pas de fantôme, pas de vitesse infinie mais juste des oscillateurs subquantiques qui sont détenteurs du spin. Donc supraluminique oui, infini, non !
"....D'autres physiciens, dont Albert Einstein, ont proposé l'existence de variables cachées. Des expériences avaient été proposées, notamment par John Bell pour montrer comment on pourrait vérifier la possibilité ou l'impossibilité d'existence de telles variables; À la fin du XXe siècle, Alain Aspect réalisa ces expériences, ce qui aboutit à infirmer l'existence de ces variables cachées (locales)....". Le mot local a disparu de la (fausse) argumentation.
Cette analyse reflète bien les interrogations actuelles et les erreurs courantes. Beaucoup s'appuient sur la non existence des variables cachées pour rejeter une tissu subquantique de tachyons. Sauf qu'il s'agit là de variables cachées locales alors que les tachyons sont de type "non locaux" par rapport à l'échelle quantique. Le mot local qui représente la clé, est carrément éludée !
Ensuite l'article dit à propos des diverses interprétations :
"L'interprétation la plus répandue est celle dite de l'École de Copenhague. Pour ses partisans, les postulats de la physique, en l'espèce ceux de la mécanique quantique, n'ont aucun sens métaphysique : ils ne décrivent pas l'univers. Ils sont purement formels et opératoires. Ils se limitent à proposer des opérations lesquelles, que la réponse soit positive ou ne le soit pas, ne permettront pas d'en déduire une réalité sous-jacente. Il s'agit d'une impossibilité radicale, liée à l'absence de lien physique entre les postulats et la réalité, et non d'une « simple » ignorance qui pourrait être comblée à l'intérieur du cadre de la mécanique quantique actuelle. La mécanique quantique est parfaitement valide dès maintenant, dans la mesure où elle est appliquée aux nombreux cas pratiques dans lesquels elle sert d'outil indispensable, mais il ne faut par chercher à savoir si elle se réfère à un monde objectif sous-jacent;. « Calcule et tais-toi » comme il a été dit".
On notera :
1/ en troisième ligne on traite l'univers de métaphysique ! Alors qu'il n'y a rien de plus physique que l'univers ! Cela indique clairement que l'on continue de croire à l'ontologie religieuse.
2/ les postulats de la mécanique quantique ne permettent pas de déduire une réalité sous-jacente. Nous sommes d'accord mais il devrait rajouter que rien ne dit que ces postulats soient complets. Je dirais même qu'ils sont nettement incomplets !
3/ mais il ne faut par chercher à savoir si elle se réfère à un monde objectif sous-jacent ! Mais pourquoi donc ? Mieux vaut éluder ?
Alors dans ce brouillard métaphysique (oui si l'univers est bien physique, ces élucubrations sont bien à côté de la physique), les avis divergent tellement que l'on a préféré dire que la mesure était capable de réunir instantanément les informations par exemple des spins intriqués. Certains l'appellent le lien fantôme. Non messieurs, pas de fantôme, pas de vitesse infinie mais juste des oscillateurs subquantiques qui sont détenteurs du spin. Donc supraluminique oui, infini, non !
Bonsoir Mr MAREAU.
RépondreSupprimerJ'ai un problème avec votre phrase : "Pour OSCAR, la gravitation est un gradient de l'interaction électrique due à le séparation (délocalisation) primordiale."
Je ne suis pas sûr de la comprendre : la gravitation est, fondamentalement, une interaction électrique ?
P.S. J'ai des difficultés avec le système de sécurisation du blog ...
RépondreSupprimer(jihems)
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerPeut-être qu'en s'abonnant votre pseudo réapparaitra ?
RépondreSupprimerConcernant le gradient c'est un résumé pour lequel j'aurais du mettre un lien explicatif. le voici : http://www.cosmologie-oscar.com/index.php?page=reflexion#n2
En gros il dit que la demi circonférence du BEC (1D) sépare les pôles de chaque oscillateur. Or le nombre de paires sur cette linge 1D est xi^4 = 10^44, chiffre retrouvé par d'autres voies. Donc le ratio électrique/grave sur paire électron-positron est pile xi^4 ! Cela veut dire que la force électrique entre pôles séparés est divisée par autant d'éléments présents sur la demi circonférence. C'est ce que dit la formule du lien.
De plus, chaque oscillateur avait une charge toujours attractive entre les deux pôles car il doivent rester liés pour ne pas filer vers l'infini..... Donc la séparation radiale retrouve un gradient tangentiel (total divisé par le nombre) de la force attractive originelle. C'est donc la gravitation qui fera que tous les oscillateurs séparés, retrouvent leur alter ego, à terme.
Pardon j'ai mis linge pour ligne !
RépondreSupprimerS'abonner à quoi ? (Je ne suis pas un grand habitué des blogs ...)
RépondreSupprimerJe ne suis pas très fort la dessus non plus. Peut-être en s'identifiant/connectant sur Google ? Vous devez être inscrit puisqu'au début vous étiez reconnu avec votre pseudo...
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