Kissing & Gold numbers de la mitose originelle
Il
faut être très clair sur le terme « originel » car il
s'agit en fait d'une transition. Le BEC fossile sphérique, change
d'état (mitose) à cause de son déséquilibre dont la cause est :
sur
son aire, l'intervalle élémentaire est saturé car il
est égal
à l'épaisseur des corde-bosons. Il est
ξ
= 1,54×1011, fois plus petit
que l'intervalle radiale (entre couches). La seule solution pour
les
surfaces élémentaires (ξ²
fois trop serrées), pour retrouver l'équilibre
(isotropie), est la mitose en ξ²
BEC-fils !
Au
terme de la mitose, ξ²
BEC-fils se
positionnent autour du BEC fossile vide. En cela ils doivent
respecter la règle du kissing numbers (1) qui spécifie que le
« baiser » de sphères égales, autour de l'origine, soit
donné par le nombre 12.
Au terme de la mitose en 32 couches, le rayon est de 4.8 millions
d'années lumière. Le modèle montre que les BEC-fils accélèrent
la formation des étoiles qui brillent dans les 2 premiers millions
d'années, comme observé et non expliqué par le modèle standard.
d'années lumière. Le modèle montre que les BEC-fils accélèrent
la formation des étoiles qui brillent dans les 2 premiers millions
d'années, comme observé et non expliqué par le modèle standard.
Le dessin montre les premiers 12 BECs formant une sphère dès la première couche. Or on calcule que pour une progression des aires successives, de ratio 5, on obtient : n = 32 couches pour réunir au moins ξ² BEC-fils. Par définition la mitose élémentaire est une multiplication par deux et on constate :
25
= 32 ; log(ξ² ; 5)
= 32,016
Il
est clair que le logarithme de ξ²
(fusse en base 5)
ne peut pas donner exactement 32 car il est d'essence aléatoire. En fait l'empilement se fait en mode enchevêtré où chaque couche est plus nombreuse qu'en mode d'empilement individuel. Donc l'accord se fait avec une progression de
type enchevêtré nécessitant une progression du rayon avec le taux √5.
On note qu'il est lié
au nombre d'or (gold
number) :
φ
= (1 + √5)
/ 2 = 1,618033, selon :
√5
= 2 φ
–1.
On note également la suite de Fibonacci (1, 1, 2, 3, 5, 8,
13, 21, 34, 55, 89) dont chaque nombre est la somme des deux
précédents. Plus on progresse, plus le ratio de deux nombres
successifs, se rapproche du nombre d'or. Déjà 89/55 = 1,61818 !
Ce nombre d'or se retrouve partout dans la nature,
y compris dans les galaxies. Le nombre 5 est présent également dans le calcul OSCAR des 3 bosons de jauge (voir lignes 8, 9, 10 du tableau).
Cela
vient renforcer le modèle
OSCAR qui par d'autres
arguments, montre que l'expansion est en couches de vitesse de 0
à 5 c. Il est remarquable
de noter que chacune des couches, progresse en moyenne avec le facteur 5/32 = 0.15625.
C'est cela qui fait transiter le mode hologramme 2D, dans le mode 3D. Mais ces données sont juste des moyennes. En réalité le Kissing number (12) est une première étape, à vitesse co, qui représente un hologramme de 12 paquets serrés (2) de BECs. Ensuite, depuis ces derniers, sont éjectés à vitesse c, une portion de 1/6 des 30 prochaines couches. In fine, il y a 5 étapes (représentant chacune 6 groupes de plus en plus grands). Mais comme ces éjections à vitesse c, sont isotropes, seule une petite partie est purement radiale vers l'extérieur. Cela veut dire qu'il y pléthore de collisions (3).
Ainsi avec le taux d'expansion moyen de 2,5 c, on comprend pourquoi les couches en retard, accélèrent. On a tort de dire « l'expansion accélère » car les couches en avance, ralentissement symétriquement aux couches en retard. Mieux, dans le référentiel de la localité étendue, le taux moyen d'expansion, diminue comme il se doit, sous l'action de la gravitation. Cet espace-temps en couches de vitesses, induit une sorte d'isotropie observationnelle pour tous les lieux. Inutile de faire appel au très spéculatif modèle de Minkowski, d'essence mathématique, pour obtenir une corrélation avec l'observation. Il part d'équations en éludant toute structure physique bien plus complexe que ce modèle d'univers-jouet, d'une grande naïveté.
Ainsi avec le taux d'expansion moyen de 2,5 c, on comprend pourquoi les couches en retard, accélèrent. On a tort de dire « l'expansion accélère » car les couches en avance, ralentissement symétriquement aux couches en retard. Mieux, dans le référentiel de la localité étendue, le taux moyen d'expansion, diminue comme il se doit, sous l'action de la gravitation. Cet espace-temps en couches de vitesses, induit une sorte d'isotropie observationnelle pour tous les lieux. Inutile de faire appel au très spéculatif modèle de Minkowski, d'essence mathématique, pour obtenir une corrélation avec l'observation. Il part d'équations en éludant toute structure physique bien plus complexe que ce modèle d'univers-jouet, d'une grande naïveté.
Par
ailleurs cette accélération (locale à l'échelle cosmique) est
induite par la tendance à rejoindre la vitesse moyenne d'expansion
de 2,5 c. On a donc d'une part la dynamique : M (2,5 c)² / 2 et
d'autre part, l'énergie de masse M c². On voit bien que le ratio :
2,5² / 2 = 3,125 est proche de celui (mystérieux) de l'énergie
sombre sur l'énergie de masse ! Le modèle standard a le
mérite de soulever les énigmes mais ne les résout pas.
Le
modèle standard estime la masse de l'univers par le nombre de 1080
atomes d'hydrogène visibles. Le modèle OSCAR donne une valeur
originelle, 94 fois plus importante. Pour que les deux nombres
correspondent, il faut que le taux de matière noire (par les
collisions de galaxies), soit de 94. Ce taux est 15 fois plus fort
que celui du modèle standard. Selon OSCAR il est surtout hors des
galaxies, dans les BEC-noirs qui participent à l'expansion.
(1) Sur une sphère A de rayon unitaire montre que l'aire 4 π peut accepter 4 cercles d'aire a = π à condition qu'ils suivent la courbure. Ce ne peut-être le cas pour la circonférence équatoriale d'une sphère périphérique A1 enchâssée dans A. Ainsi sur le rayon de la sphère A, on ne peut loger que 3 cercles tangents. Donc pour un empilage de rayon global 2 fois plus grand (kissing numbers) , on aura forcément : 3 × 2² = 12 "baisers".
(2) Le modèle OSCAR montre que les grandes structures de l'univers sont fixées à ce moment :
a) l'univers observable (Ro = 45 G.y.l) ne permet que de voir 5 grands murs sur 12. Or il se trouve que selon OSCAR, le rayon de l'univers est de : R(t) = 61 G.y.l. ce qui fait un ratio volumique de 2,4. Or on vérifie que : 5 × 2,4 = 12 grandes structures (murs) comme l'indique le modèle.
b) les filaments de galaxies sont espacées en moyenne, par des intervalles de 300 M.y.l. Or le ratio en ces espaces et l'épaisseur moyenne des filaments, coïncide avec le taux d'annihilation de facteur 1D = 137,035999 !
c) le billet précédent montre la cause de la structure galaxie.
(3) Le modèle montre pourquoi ces collisions de galaxies dégénèrent les particules élémentaires de matière visible pour devenir la matière noire.
a) l'univers observable (Ro = 45 G.y.l) ne permet que de voir 5 grands murs sur 12. Or il se trouve que selon OSCAR, le rayon de l'univers est de : R(t) = 61 G.y.l. ce qui fait un ratio volumique de 2,4. Or on vérifie que : 5 × 2,4 = 12 grandes structures (murs) comme l'indique le modèle.
b) les filaments de galaxies sont espacées en moyenne, par des intervalles de 300 M.y.l. Or le ratio en ces espaces et l'épaisseur moyenne des filaments, coïncide avec le taux d'annihilation de facteur 1D = 137,035999 !
c) le billet précédent montre la cause de la structure galaxie.
(3) Le modèle montre pourquoi ces collisions de galaxies dégénèrent les particules élémentaires de matière visible pour devenir la matière noire.
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RépondreSupprimerLes médecins se demandent quelle est l'origine de la mitose des cellules. Comme toutes choses, la cause est toujours contenue dans le BEC originel dont nous sommes tous issus.
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