La mitose, un « BIG BANG » justifié



Proposé par FRIEDMANN en 1922, puis par  le chanoine catholique LEMAÎTRE, en 1927, le Big Bang apparaît plutôt comme un Fiat Lux avec sa connotation  mystique et religieuse. En première analyse, puisque l'on vérifie que l'univers est en expansion, il doit avoir une origine très concentrée et donc très chaude.

En première analyse dites vous ? Oui il existe une loi – bien vérifiée localement – qui parle d'indétermination. C'est le principe de Heisenberg.  Il existe une limite physique  entre la précision de la position spatiale x et l'impulsion p. On trouve également une limite minimale physique entre un écart de temps Δt et l'énergie E d'une particule. Pour bien comprendre cela il nous faut appeler un acteur qui s'appelle la constante de Planck, ħ et surtout sa signification en terme de dimensions, M L T.
En fait ħ est le reflet de la constante ML qui caractérise uniquement les paramètres de l'électron. En effet : ħ = M L c, avec c la vitesse de la lumière. Mais comme la vitesse est le résultat d'un espace divisé par un temps, nous pouvons écrire : ħ = M L × L/T = ML²/T, toujours avec les seuls paramètres de l'électron (1)! Maintenant regardons l'énergie E = m . En termes dimensionnels, cela s'écrit : M × (L/T)² ou M L²/T². On voit qu'en multipliant E par T, on obtient la dimension de ħ. L'inégalité de HEISENBERG s'écrit donc :
Δt ΔE ħ

Plus le temps est court, plus l'énergie est forte ! Donc en première analyse, on peut penser que si T tend vers zéro alors E tend vers l'infini car ħ est constant (il vient de l'électron). On peut faire la même analyse en considérant une position spatiale x tendant vers zéro et induisant une impulsion p tendant vers l'infini. Alors certains, prétendent que qu'une telle singularité a pu créer l'univers par le BIG BANG. D'autres admettent (plus raisonnablement) que la constante ħ ne pouvait pré-exister et qu'il s'agissait alors que d'une valeur aléatoire. Le problème est que – aléatoire ou pas – on ne peut justifier la pré-existence d'un temps ou d'une énergie même très faible ! 

C'est en cela que le BIG BANG est une farce. Il y a trois comportements courants :

a) ceux qui ne cherchent pas de justification et disent que le faire est......métaphysique (sic). Les créationnistes seront ravis !
b) ceux qui le « justifient » avec : Δt ΔE ħ mais alors c'est ħ qui est apparu magiquement ?
c) ceux qui le justifient avec Δt ΔE x avec x variable et aléatoire, mais ici l'énergie apparaît toujours magiquement même si elle ne fait pas appel à une constante !

Pour le cas (a), je ne citerai pas de nom mais des hommes réputés « physiciens », me l'on dit textuellement. Ils n'ont pas pris conscience de l'énormité de leur propos car ce qui est métaphysique est : 1) de penser (immodestement) : « si je n'ai pas la solution alors personne ne l'aura » ; 2) de procéder à une affirmation sans preuve !

Mais ce constat suffit-il pour donner raison à ceux qui croient (sic) à un univers stationnaire i.e, sans expansion ? Eux non plus, sont incapables de justifier l'idée de pré-existence de paramètres physiques, hors d'une action divine (métaphysique). De plus, leurs critiques du modèle standard (MS), s'étendent à l'expansion qui est pourtant mesurée par plusieurs voies concordantes. Il en est de même pour son accélération (locale). Il faut reconnaître aux adeptes du MS, de ne pas toujours redouter (2) de faire des observations qui contredisent leur théorie.

Alors peut-on justifier en détail, l'existence même de l'univers ? La réponse est positive. Il suffit d'aménager correctement la réponse (c) ci-dessous, parmi les réponses courantes avancées :

a) il y a une singularité par un oscillateur unique ou un nombre déterminé (par qui ?) d'oscillateurs aléatoires. Ceux la disent que tout démarre par : Δt ΔE ħ mais sans justifier la constante ħ !
b) il y a une infinité d'oscillateurs mais leurs paramètres M,L,T doivent être strictement à zéro. Une infinité de zéros donne bien zéro : 0 × 0. Mais cela apparaît comme un paradoxe car pour osciller, il faut justifier la préexistence de paramètres physiques.
c) la seule solution consiste à aménager (b) avec des boson-oscillateurs de type dipolaire où chaque pôle oscille en symétrie de l'autre et donc s'annule dans le référentiel dipolaire. C'est l'oscillateur dipolaire 1D OSCAR qui est le boson du zéro physique dipolaire.

Mais il reste à justifier la cause de l'oscillation et donc la pré-existence de M,L,T. Cette cause est relative à l'ontologie d'un moment d'inertie (1D) soit M L, typiquement variable, qui ne peut atteindre le zéro absolu. L'explication tient dans ce paradoxe : M et L sont indissociables et le reflet déphasé, l'un de l'autre. Aux limites, si M atteignait le zéro absolu, la réponse spatiale déphasée L, aurait une amplitude infinie. Cela n'est pas possible car le zéro absolu est réputé non évolutif. De plus un paramètre physique infini est injustifiable

Dans le référentiel d'un pôle, le "moteur" est animé par la recherche 
désespérée du zéro absolu. Le nier c'est tomber dans le piège du zéro absolu
 qui par ailleurs est à jamais immuable. 
Dans le référentiel du dipôle, les paramètres physiques opposés, 
s'annulent. C'est l'ontologie du zéro physique (dual).   

Le modèle OSCAR montre que chaque boson dipolaire possède une période : T = f(ML) et un champ électrique : Q² = f(ML), propres à chaque cycle (3). Les deux pôles de la corde-boson, ont pour origine son centre, appelé « point zéro ». A chaque cycle, il existe une infinité de possibilités aléatoires pour l'origine Mo. Ceci est la cause de l'impulsion de DIRAC.

Ainsi il existe un état (stochastique) d'univers permanent, on s'agitent une infinité de corde-boson-0-dipolaires, statistiquement non connexes. Dans le référentiel confiné d'un pôle, le « moteur » de l'oscillation est justifié par la recherche éperdue de l'impossible zéro absolu. Dans le référentiel ouvert du dipôle, seul le strict zéro physique M L T apparaît. Il vient que le temps ne s'écoule pas. Ainsi, statistiquement, la probabilité de fusions de « points zéro », n'est pas nulle. Pour un nombre aléatoire de N bosons, il existe donc la possibilité de former un condensat de Bose-Einstein tout aussi virtuel ou de type « informationnel ». La transition se précise en ces termes :

N localités étendues individuelles 1D → 1 localité étendue collective 3D

Le modèle montre en détail qu'il existe un flux de synchronisation que amène à terme, le BEC à saturation. Celle-ci révèle une anisotropie des intervalles élémentaires du BEC. Cela déclenche deux transitions simultanées :

réduction de localité → séparation des dipôles en 2 N monopôles sur l'aire 2D du BEC

Les monopôles n'annulant plus M L T, passent en mode « référentiel collectif ». Ils sont l'origine holographique de la matière. Puis : 

mitose 3D en n BEC-fils→ expansion de l'espace-temps

L'espace-temps entraîne la matière qui se concentre dans chaque BEC-fils. La bulle-univers en expansion est plongée dans la matrice permanente de l'infinité de bosons stochastiques du zéro. Cependant, le temps collectif qui s'écoule durant le période de la bulle-univers, limite drastiquement les possibilités de fusion. Selon des lois physiques explicitées, l'augmentation de son entropie l'amène à se dissoudre à terme, dans l'état stochastique permanent. 

Conclusion : une seule voie résiste à toutes les contraintes physiques pour justifier la préexistence de paramètres M L T ; c'est celle offerte par la dualité de localité.   




Différence fondamentale entre une création à localité restreinte et une création originelle par  réduction de localité entrainant une séparation spatiale qui révèle durablement MLT. 





(1) le fait d'avoir mis en avant la constante de Planck avec son caractère universel, adapté à toutes les particules, cache sa source électron. C'est parce que l'électron compose toutes les particules, que sa conséquence h,  est universelle. Il y a là comme souvent un grave amalgame entre la cause et effet.   

(2) il y a des exceptions comme le fameux « point froid » de l'éridan que l'on cherche sciemment à éluder.

(3) On sait que la charge élémentaire est issue des seuls paramètres ML de l'électron. Le modèle montre qu'il en est de même pour le temps propre de l'électron. Celui-ci est hérité d'un pôle séparé du boson dipolaire synchronisé. Ainsi le dipôle visible électron-positron à localité restreinte, vient de la séparation du boson dipolaire à localité étendue. Conformément à ML = Constante, le ratio de masse est égal au ratio d'amplitude spatiale.    




 

Commentaires

  1. Re-bonjour Mr MAREAU !

    Je vais vous donner une petite idée des difficultés de compréhension auxquelles je suis confronté à la lecture de votre texte :
    (N'oubliez pas que je fais partie des "nuls" ...)

    Pour moi, il y a bien pré-existence de paramètres physiques, comme vous le dites vous-même : "cela apparaît comme un paradoxe car pour osciller, il faut justifier la préexistence de paramètres physiques."
    C'est en effet là un premier point où je cale ...
    Autre difficulté : qui dit "oscillation", dit "temps", même 1D. Or " le temps ne s'écoule pas" : comment est-ce possible, une oscillation dans un temps qui ne s'écoule pas (hors formule) ?

    Vous répondez sans doute à ces objections, mais, voilà, j'ai du mal à vous suivre ...

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  2. Cher Jihems, la clé est d'intégrer la notion fondamentale de référentiel.

    Dans le référentiel "un pôle", les paramètres M L T s'expriment parfaitement ! Mais dans le référentiel "dipolaire" les paramètres M L T contraires, s'annulent.

    On retrouve le même raisonnement dans la bulle-univers :

    Dans chacune des localités restreintes, les monopôles (matière = dipôles brisés ) les paramètres M L T s'expriment. Mais à l'échelle de la localité étendue, la somme multipolaire s'annule.

    Dans le premier cas, le lien causal entre les deux pôles, passe par la charge : Q² = f(ML).
    et la période est courte T = f(ML).

    Dans le second cas, le lien causal entre les deux pôles, passe par la gravitation : G et la période est longue : TU = f(MU LU).

    Dans les deux états, la somme des paramètres physiques est nulle mais le délai "d'existence" est plus long. C'est la différence entre la réaction individuelle et la réaction collective.

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  3. En faisant copier-collé, j'ai fait une erreur. Il fallait lire :

    Dans le second cas, le lien causal MULTIPOLAIRE, passe par la gravitation : G et la période est longue : TU = f(MU LU).

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  4. Bonjour, Mr MAREAU.

    Je vais essayer de vous suivre dans votre raisonnement. Je vais même y aller pas à pas (peut-être qu'ainsi, mon esprit obtu va s'entr'ouvrir ...)

    Vous dites : "Dans le référentiel "un pôle", les paramètres M L T s'expriment parfaitement".
    Cela veut-il dire que le référentiel "un pôle" existe préalablement ? Hors temps et espace ?
    Est-ce là la "pré-existence de paramètres physiques" obligatoire ? Si oui, qu'est-ce qui la justifie ?

    Merci de votre patience !

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  5. Ce qui justifie la pré-existence c'est l'impossibilité du zéro inertie qui impliquerait une amplitude infinie. Il faut lire Magnan du collège de France qui montre que l'infini est impossible en physique :

    http://www.lacosmo.com/infini.html#section3

    Dans le référentiel d'un pôle, le "moteur" est donc animé par cette recherche désespérée et impossible du zéro absolu. Le nier c'est tomber dans le piège du zéro absolu qui par ailleurs est à jamais, immuable.

    Ce concept met en avant : a) le non zéro absolu ; b) la symétrie et donc la dualité qui en découle. Tout est là !

    En tout cas merci à vous de m'inciter à trouver la bonne pédagogie.

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  6. S'il y a bien quelque chose que je vous dois, que je retiens à votre contact, c'est que la physique peut tendre autant qu'elle veut vers le zéro ou l'infini, se sera sans jamais les atteindre ! (Quoique certains parlent parfois d'un univers infini ...)
    Et donc, le choix que l'on a, si on veut éviter le zéro absolu en matière d'origine de l'univers, c'est soit un acte créateur, soit la pré-existence de paramètres physiques.
    Et, dans cette optique, OSCAR a du répondant ! ...

    Maintenant, pardonnez au quidam en matière de science que je suis de se poser parfois d'autres questions, comme, par ex., si, comme le prédit OSCAR, des tachyons sont à l'oeuvre, de quoi sont-ils faits ? D'une certaine forme de matière ou d'énergie "pure" ? Mais qui proviendrait de où, et de quoi ?
    Et si les débuts de l'univers, tout en n'étant pas issus d'un acte créateur, étaient encore autre chose, tout à fait différents de ce qu'on imagine, voire hors de portée de notre entendement d'humains ? ... Sauf à imaginer un univers "éternel".
    (Mais j'ai toujours un peu de mal avec la notion "d'éternité" appliquée ici, car elle me semble de nature à clore tout débat : "c'est comme ça et depuis toujours" ! ... c'est, en fait, à mes yeux, une sorte d'infini, qui n'explique rien !)

    Bonne fin de journée.

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  7. Cher Jihems, Concernant le tachyon, j'ai hésité longtemps entre trois solutions :

    1/ appeler "axion" un pôle du boson dipolaire (1)

    2/ donner un nouveau nom (mais c'est encore rajouter à une famille déjà trop grande)

    3/ prendre le nom tachyon car il est supraluminique.

    J'aurais peut-être du prendre le nom de taxion !

    Alors de quoi sont-ils faits ? ils sont fait à l'image de 2 cordes élastiques et inertielles, reliées par leur centre ou "point zéro". Mais à cette image naïve, je préfère parler de la notion d'oscillateur. Elle est vraiment universelle en physique quantique !

    Quand on dit que l'entité M L cherche désespérément le zéro inertie, cela s'entend dans le cadre strict de l'oscillateur dipolaire. C'est cette chose là qui pré-existe en une infinité d'exemplaires ! C'est la vraie forme du zéro physique. Il est multiple et sa raison d'être est : 'l'obligation variationnelle". C'est la seule solution pour se passer de constante pré-établie. Imaginez l'alternative avec un unique zéro absolu.... étendu comment ? évoluant comment ? Justifié comment sachant qu'en physique il est impossible ? Encore une fois le seul juge est le nombre d'énigmes levées.

    Ensuite la seule information du point de vue global, est dans la notion d'entropie informationnelle ! Elle est maximale ! Partant de là le brassage amène à la synchronisation→ BEC qui fait passer l'entropie à un minima ! C'est la dualité des deux états virtuels. Ensuite la saturation-mitose crée les monopôles avec M L T visibles en localité restreinte et potentiellement annulés, en localité étendue. Etc...


    (1) Voir quelques extraits de wiki : "....selon la théorie des axions il est suggéré que le Big Bang a créé une multitude d'axions. .....la masse est acquise suite à l'inflation cosmique. ... il est prédit que l'univers serait rempli de condensats de Bose-Einstein riches d'axions primordiaux à très basse température. Les axions pourraient ainsi expliquer la matière noire manquante. ..."

    Ce qui "clos le débat" serait de dire : "c'est comme çà mais sans argument. Est-ce le cas ici ?

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  8. Merci, Mr MAREAU, pour votre réponse.

    Je suis d'accord avec vous : la pire des postures serait de dire : "c'est comme ça !", sans plus d'arguments.

    Mais, ces "élastiques', ces "axions", de quoi sont-ils faits ? Avez-vous une idée de ce qui peut constituer leur "substance" ? Ou, éventuellement, une hypothèse ?
    Je pense, par ex., à la vision de JJ MICALEF, pour qui tout vient, si j'ai bien compris, d'une "substance" électro-magnétique qu'il attribue à l'espace ...
    Pour vous, de quoi sont donc faits ces "axions" (qui sont, je le suppose, de même nature que les autres particules "émergentes" dans notre réalité : positrons, électrons).
    Qu'est-ce qui "oscille" ?

    ( Ou bien, est-ce que je n'ai rien compris en me posant ce genre de questions ?! )

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  9. Cher Jihems vous avez le droit de pousser la question à son paroxysme ! Ce n'est d'ailleurs pas fait pour me déplaire.

    En fait vous me demandez de quoi est fait M et L. Je ne pourrais rien dire de plus que ceci :

    a) la dualité onde-corpuscule, bien connue, prend sa naissance ici : L est l'onde de M, le corpuscule.

    b) notre imaginaire collectif "voit" bien L mais se demande de quoi est fait le corps M ? Une première réponse consiste utiliser la clé universelle : la dualité de localité soit, M est à localité restreinte alors que L est sa réplique déphasée, à localité étendue. D'ailleurs on sait que le photon possède à la fois un impact "ponctuel" et une présence étendue. Quand une paire électron-positron massique s'annihile, elle donne deux photons qui d'un coup ne sont plus massiques ! Leur masses s'annulent ! Ils forment un système transverse à 4 qui est composé : d'une paire {pôle1-électron} + une paire {pôle2-positron}. Les deux pôles du boson subquantique sont étendus alors l'émergence quantique est de nature corpusculaire. Le photon est la trace quantique de l'oscillateur-boson-dipolaire subquantique.

    c) aux limites de ma capacité à décrire, je dirais que M est une sphère à inertie variable (pas de constante d'où l'oscillation). Sa taille est variable dans l'oscillateur et l'oscillateur est lui-même variable avant synchronisation. Après synchronisation, sa taille moyenne est la longueur de Compton de l'électron divisée par xi (10^-24 m).

    d) Il faut bien comprendre que la sphère M ne possédant qu'un seul degré de liberté, peut-être considérée comme ... un point.... ayant une certaine épaisseur. Cela est vérifié sur l'hologramme du BEC originel arrivé à saturation. La cohérence exige qu'il suffise que les "points" se touchent pour considérer qu'ils soient dans un état de superposition. Donc aux limites de ma description, il y a un point dont le diamètre n'est pas zéro comme pour le point (abstrait) mathématique. D'ailleurs, cela se vérifie physiquement par la mini tâche d'encre qui matérialise un point sur le papier.
    On ne peut pas faire un point de taille nulle !

    Je ne peux rien dire de plus car l'ontologie du zéro-physique-dual-oscillant est encadré par ces lois physiques fondamentales :

    a) recherche impossible du zéro absolu par l'expression de la dualité de localité
    b) symétrie duale pour annuler les paramètres physiques
    c) absence de constante pré-établie.

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  10. Bonjour, Mr MAREAU.

    Grand merci pour votre réponse ! Elle est très importante pour moi, dans la mesure où la physique standard semble évacuer cette question et ce que peut en dire quelqu'un comme vous, qui a poussé la réflexion dans ce domaine à un point très avancé, me donne un précieux point de repère : je peux partir d'elle. J'ai une base - qui n'est pas de mon propre imaginaire - pour tenter de réfléchir et me représenter la matière - dont j'admire l'ingénieuse construction (quelle qu'en soit l'origine ...).

    Je crois que je n'aurais pas fini d'y revenir, car j'aimerais bien me l'approprier ...

    Merci encore et bonne fin de journée.

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