La puissante notion de dualité de localité
Le
modèle standard, en ignorant totalement cette notion de dualité de
localité, s'est mis dans des contradictions inextricables. La
dualité de localité est à la base du modèle
OSCAR. Elle se décline en plusieurs notions physiques
incontournables que le modèle standard n'a cesse de violer.
Voici quatre graves amalgames commis par les tenants du modèle
standard :
L'amalgame
sur la symétrie :
la symétrie est liée à l'équilibre et l'harmonie dans l'univers.
Elle laisse entendre que globalement, il existe un zéro
relatif et
que localement, l'existence puisse se manifester provisoirement. La
symétrie est la première règle en physique et son emploi apporte
toujours des solutions ! Las, les tenants du modèle standard –
à bout d'argument – se persuadent que l'univers n'est pas tout à
fait (sic) symétrique ! Ils considèrent qu'un « magicien,
artisan de la genèse » a permis d'effacer tous les positrons
en ne laissant apparaître que les électrons.... Des expériences
locales
montrent que certaines particules éphémères, se comportent avec
une certaine asymétrie. Alors on plonge dans le piège de confondre
la notion de localité
restreinte
et la notion de localité
étendue !
Jean
BRICMONT nous a montré combien le mot « localité »
jetait le trouble chez les tenants du modèle standard. C'est porter
beaucoup trop d'intérêt à des particules éphémères et très
secondaires. D'autres expériences
locales
menées par FERMI, disent que les paires électron-positrons ne
sauraient se condenser pour former la matière à travers du proton.
Plus de 99,999999 % des paires électron-positrons sont créées
dans la localité
étendue,
par réduction de localité et non
dans un laboratoire
! Une simple expérience de pensée montre que ces paires
originelles
sont des quasi-bosons et peuvent de condenser contrairement à
ce qu'à dit FERMI. Ce que nous créons localement est totalement
dérisoire et ne reflète en rien la réalité de la localité
étendue ! Il y a là une sorte de prétention aveugle à
vouloir refaire l'univers dans son laboratoire !
Il
est impossible de faire une réduction de localité dans une localité
restreinte !
L'amalgame
avec le
zéro
absolu :
C'est une abstraction chère aux mathématiciens. C'est l'attracteur
impossible
à atteindre
qui est à la base du premier état de la genèse de l'univers. Cela
est confirmé par la fameuse fonction
de Dirac. Face à ce zéro absolu le principe de dualité nous
propose le zéro
relatif.
Il y a là encore la notion de dualité de localité. Deux localités
contraires sont liées et s'annulent parfaitement. Là encore, on
retrouve un amalgame courant fait entre le zéro relatif et le zéro
absolu. Avec MAGNAN
du collège de France, je le dénonce à chacun de mes billets. Cet
amalgame est directement lié au trouble généré par la notion mal
comprise de localité.
L'amalgame sur l'infini des
nombres et des paramètres physiques : Les nombres, le
dénombrement, ou le comptage des zéros relatifs physiques, peuvent
être infinis. En revanche, des paramètres physiques comme l'espace
L, la masse M ou le temps T, ne peuvent en aucun cas être
d'intensité infinie. Et pourtant les tenants du modèle standard
nous disent naïvement que l'univers (quel état d'univers ?)
pourrait s'étendre jusqu'à l'infini ! Non les mots ont un
sens : l'univers, dans son état permanent, possède un nombre
infini d'oscillateur-dipolaire-zéro-relatifs ! Dans son état
« bulle-univers » l'univers est strictement symétrique
et ses paramètres physiques ont une intensité finie !
L'amalgame entre particules
induites ou constitutives : quand on a découvert
les quarks (des points durs au cœur des collisions), on a estimé
que leur masse était environ égale à 1 % de la masse du
proton. On aurait tant voulu expliquer la masse du proton en dehors
de l'idée de paires neutres d'électron-positrons. Il aurait été
sage de se poser la question : sont-ils constitutifs ou
induits ? Mais il fallait à tout prix trouver des particules
élémentaires. A cause de l'aveuglement de FERMI on s'est enfoncé
dans l'erreur même si plus tard on a vu que les quarks devenaient
instables hors de leur confinement. Cela est un signe clair pour
l'option "quarks induits". De plus, rajouter six particules
originelles, par magie, sans justification aucune, n'est pas sérieux.
Voici la fable à retenir : l'univers, avec sa truelle, fait
tenir des quarks avec de la glu (sic). Il est temps de sortir de ces
amalgames et de regarder la vérité en face !
Politiquement nous avons tous compris l'intérêt de la dualité de localité en faisant bien la différence entre les circuits courts pour produits de l'agriculture et de l'élevage et l'économie mondiale des produits manufacturés. Les lois de la localité étendue ne sont pas les mêmes que celles de la localité restreinte !
RépondreSupprimerLa dualité de localité est partout car c'est le trait principal de l'univers ! Mais les tenants du modèle standard n'ont toujours pas compris cela dans le domaine qui est le leur !