La religion, un héritage de la genèse de l'univers
La
quête de l'absolu, à la base de toutes les religions, n'est pas une
invention humaine mais bien un véritable héritage
physique de l'univers. Le modèle
OSCAR montre pourquoi il existe un état d'univers dont
l'éternité est conditionnée par un déterminisme fondamental.
-
Mathieu : « Quel est ce déterminisme ? ».
-
Moi :
« l'incertitude de Heisenberg est un des nombreux
signes qui montrent
que
le zéro
absolu physique
est strictement impossible à atteindre. Pour bien comprendre la
genèse,
il faut évoquer une infinité d'oscillateurs dipolaires dans
lesquels les paramètres physiques variables et opposées, s'annulent
pour réaliser le zéro
physique relatif
qui lui, est autorisé ».
-
Mathieu : « par qui serait-il autorisé et comment peut-on
parler d'une infinité d'oscillateurs ? ».
- « Le zéro relatif
n'implique pas de zéro absolu et d'infini physique. On
a vu que chacun des deux pôles d'un oscillateur, est
caractérisé par la présence – non nulle – de l'entité {M L >
0}. L'incontournable règle est la suivante : à chaque
transition d'un cycle à l'autre, si M tend vers zéro alors L tendra
vers l'infini ce qui est impossible ! On montre qu'il existe une
infinité de possibilités d'origine de M, toutes différentes du
zéro absolu . Si l'infini et le zéro
absolu est interdit en physique, le zéro
relatif est permis. Il vient que la somme d'une
infinité de zéro relatifs, vaut strictement zéro ! ».
- « D'accord mais
qu'est-ce qui fait osciller ces oscillateurs ? ».
- « Ce qui fait osciller c'est
cette recherche permanente et impossible,
du zéro absolu. Pour ceux qui seraient intéressés,
voir la fameuse fonction
de Dirac qui nous dit que l'approche du zéro absolu, se traduit
par une probabilité d'existence
de 1. Cette vidéo
montre que plus on réduit la largeur d'une aire, plus sa hauteur
(son pic) est grand. C'est une manière de démontrer que le zéro
absolu ne peut exister en physique. Sa manière de résister est de
générer une infinité de possibilités d'origines.
Mathématiquement on évoque classiquement une largeur et une hauteur
et donc une aire. Mais dans la genèse de l'univers, la largeur est
l'inertie {M} et le pic est sa réponse en terme d'amplitude spatiale {L}. C'est la raison
pour laquelle on retrouve {M×L} = constante (1)
dans un cycle de l'oscillateur fossile et donc dans l'électron qui
en a hérité ».
- Mathieu : « Donc
chaque pôle continue d'osciller car à chaque cycle, son approche du
zéro absolu lui régénère une nouvelle valeur d'origine. Mais
comment la symétrie du dipôle est-elle garantie pour assurer un
effacement relatif des paramètres physiques ? »
- Moi : « On a vu
comment la base {M L} génère la charge électrique Q qui assure le
lien entre les deux pôles du dipôle. La même base génère la
période T, adaptée à chaque cycle. »
-
« Ainsi la quête de l'absolu ne peut se représenter que sous
la forme d'une infinité d'oscillateurs dipolaires où les paramètres
physiques s'annulent pour former des zéros relatifs ? ».
-
« Oui et cela explique la genèse de ce premier état d'univers
et surtout sa propension à exister
éternellement. Cette fonction de Dirac, possède une
cause physique qui génère un déterminisme d'existence. La
constante de Dirac est très utile dans la transformée de
Fourier qui permet d'identifier un spectre pour la sommation
d'une infinité de fréquences ! Cette même transformée de
Fourier permet de retrouver le principe d'incertitude. En revenant à
cette propension d'exister, il faut voir l'intérêt crucial du
brassage intense qui en découle !
-
« Pourquoi ce dernier point est-il important ? »
- «
parce qu'une infinité d'oscillations (donc de brassages) correspond
à un désordre informationnel maximum ! Or on démontre par
plusieurs voies, qu'un état d'entropie maximale, ne peut que
diminuer. Cette diminution passe par des
fusions-synchronisations-refroidissements. La suite est largement
expliquée dans le modèle OSCAR qui montre notamment que ces
oscillateurs du zéro relatif, sont des bosons ».
-
« Mais à ce stade où est la fameuse dualité de localité ?
».
- «
D'ores et déjà, on trouve une dualité
entre l'intérieur de chacun des pôles et l'extérieur où règne le
néant à entropie maximale. L'idée de la peau qui caractérise le
vivant est déjà là. Il y a un intérieur
confiné (un pôle) rattaché à son alter ego
(l'autre pôle) par la force électrique via le flou du point zéro ou
du point médian. C'est par là que se font les
fusions-synchronisations ».
Conclusions :
La genèse de l'univers est justifiée par la quête de l'absolu !
Les religions sont donc bien liées à la genèse de l'univers. Bien
sûr les notions humaines de « bien et de mal » sont plus
complexes que celles liées à la genèse de l'univers.
L'organisation sociétale appelle ces notions pour mieux vivre
ensemble, en diminuant l'entropie informationnelle. Ces notions
pourront être comparées à celles liées à la dualité entre le
flux de synchronisation et son flux contraire dans la
construction/destruction du BEC fossile.
(1)
En simplifiant, la fonction de Dirac peut s'écrire : σ(t)
= ∫ σ(t)
dt = 1 dans laquelle,
l'intégrale s'étend
sur l'infini et possède
toujours une probabilité d'existence
de 1. Appliquée à une
largeur finie sur l’abscisse, le produit par sa réplique sur
l'ordonnée, donnera toujours une surface unitaire. Dans cette
écriture mathématique, on utilise toujours soit
une valeur sans dimension comme la probabilité ou soit une
seule dimension physique (T ou L ou autre). Mais dans le cas de
l'oscillateur dipolaire, la dimension L est le reflet de la dimension
M. Cela se vérifie dans
l'électron et le proton.
Ce n'est pas intuitif mais à cet échelle, ce produit {M L} est
constant. Ainsi la fonction de Dirac trouve une cause physique
fondamentale dans la forme suivante : σ(m)
= ∫ σ(m) dl = 1.
Cette fonction dit trois
choses essentielles :
a) la constante du produit ML ; b) l'impossible atteinte du zéro
absolu et
donc de l'infini physique, ce
qui oblige l'existence !
A cette échelle quantique
et subquantique, la
fonction est trans
dimensionnelle !
Cela veut dire que la
notion quantique d'inertie M est toujours associée
à son amplitude
L qui est son reflet
indissociable. C'est
également la raison pour laquelle on peut tirer Q et T de {ML}.
C'est un truisme de prendre conscience que tout nous vient de l'univers ! La mitose, la synchronisation, le cycle entropique, la dualité de localité, etc...
RépondreSupprimerEt pourtant .... Voici un grand mathématicien; Monsieur HILBERT, qui nous soumet en 1900, une liste des 23 problèmes à résoudre : Parmi eux, le 6eme, concerne "l'axiomatisation mathématique de la physique !".
La naïveté des mathématiciens est sans borne ! Monsieur Hilbert, ne mêlez pas la physique de l'univers (à la base de tout) à vos jeux mathématiques aussi intéressant qu'ils puissent l'être !
J'oubliais, voici une liste de 53 énigmes (pour le modèle standard) concernant non pas les jeux mathématiques mais la physique de l'univers ! Ces 53 énigmes sont toutes résolues par le modèle OSCAR.
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