Les 5+1 traces de l'oscillateur subquantique

1. Le modèle standard (MS) – à défaut de comprendre la cause des particules de l'univers, elles ont été classées selon des critères réels mais arbitraires. Plutôt que de chercher la cause du spin des particules, les tenants du MS les ont classées selon ce critère. Dans ce classement, ils ont fait l'amalgame entre les particules éphémères et non élémentaires, avec la paire électron-positron – unique composant élémentaire stable – issue de la réduction de localité initiale. Quand dans les années 1980 on a découvert que l'univers possédait une localité étendue (1), cela a créé un grand malaise – toujours vif – chez les tenants de cette théorie. A force d'éluder le réel en le remplaçant par des êtres mathématiques, les énigmes se sont rajoutées aux énigmes. Il y en a tellement, que les mêmes adeptes ne cherchent même plus à les recenser. Pire, ils les ignorent ! Avec cette démarche non physique, les tenants du MS, en arrivent à considérer un univers naissant doté magiquement, d'une multitude de particules dont ils ignorent la genèse. Ils confondent allégrement le principe fondateur de dualité de localité. Ils prennent pour argent comptant les résultats des expériences locales, sans vérifier qu'ils restent vrais dans une localité étendue. La rigueur mathématique ne garantit en aucun cas la rigueur physique. L'univers n'est pas mathématique mais bien physique. Cette manie d'abstraction permanente, empêche de recouper un grand nombre de signes physiques qui montrent tous clairement, la présence d'une structure physique de l'espace-temps. A cela on préfère végéter dans la vague appellation « champ » accompagnée de son boson pour « expliquer » les interactions avec l'espace-temps.

2. Les positrons sont confinés : la matière est faite d'atomes d'hydrogène, fusionnés. Le même atome d'hydrogène est composé d'un noyau lourd et d'un électron orbital. Ce noyau est le proton, composé de paires électron-positrons. Une majorité des adeptes du modèle Standard, rejette cette idée car créées localement, ces paires (classées fermions) refusent de s'associer comme des bosons. Oui mais les tenants du MS ont un très très gros problème avec la localité. Alors coincés dans des analyses vieilles de plus de cent ans, ils préfèrent voir le proton comme un être mathématique.... Tant pis si on explique pas sa masse.....(entre autres) ! Il est vrai qu'un autre problème se pose : pourquoi les positrons seraient cachés ou confinés ? Que ce soit un muon, un proton ou toutes autres particules composites, il existe de fait, une asymétrie structurelle. Le proton sphérique échange avec le niveau quantique par sa surface extérieure 2D, alors que l'échange avec le niveau subquantique, se fait dans une dimension 1D. Cela crée donc une asymétrie qui se traduit par une polarisation entre le niveau quantique et le niveau subquantique. Donc toutes les particules composites sont faites de paires empilées neutres + un positron ou un électron célibataire. Si un neutron éjecte toujours un électron (gardant confiné son positron), c'est parce que le niveau subquantique est plutôt polarisé négativement. Le niveau quantique étant plutôt neutre. Cette polarisation de nature aléatoire, s'est généralisée dès le départ.



(1) rejetant toute prudence, les tenants du MS ont parlé de « non localité de l'univers », ce qui sous-tend une vitesse infinie du lien « fantôme » entre les particules intriquées. Malgré la pertinence du lien cité, il manque encore de rigueur en disant : « quelque soit la distance ». Si effectivement on a testé à de très grandes distances, cela n'autorise pas de parler de toutes les distances possibles jusqu'à l'infini. Cette attirance vers l'absolu vient de loin .....

A suivre

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