Impulsion de Dirac et : E = M c² ; M L = Cte

La célèbre formule d'Einstein, E = m c², est valable pour toute masse m et concerne l'énergie interne de la particule. En revanche la base universelle de la masse M, est celle de l'électron et la base de l'amplitude L, son rayon. Mais le produit constant [M L] est également constant pour toutes les particules. De ce même produit on obtient le carré de la charge électrique Q² élémentaire et universelle, Q² = f(ML). Il faut noter ce point très important : la fusion de 2 unités arbitraires (M et L) permet de réduire deux arbitraires à un seul ! Cela veut dire qu'avec le temps universel élémentaire T, il ne reste plus qu'une simple dualité d'unités arbitraires. Or, on démontre que le temps élémentaire T, est fonction de ML car il y a auto-adaptation des unités arbitraires, dans l'opération de mesure. Ainsi on a : T = f(ML). Dans l'oscillateur électron, la période T dépend du produit ML.



Comme c = L/T, on peut ré-écrire la formule d'Einstein comme ceci : E = m L²/T². Dans le cas où m = M, on peut écrire la forme canonique de la formule d'Einstein : E = M L² / T². Cela veut dire E = M c² = f(ML) ! Mais l'électron est l'héritier d'un demi dipôle subquantique. Séparé il est devenu un monopôle où plus rien ne s'annule ! Son origine, le dipôle comme élément neutre de l'espace-temps, est l'héritier du dipôle stochastique qui matérialise l'infinité des zéros relatifs. On se souvient qu'à chaque cycle de ces dipôles erratiques, naissait un nouveau produit ML = Cte à cause de l'impossibilité pour M d'atteindre le zéro absolu et donc pour L d'atteindre l'infini ! Nous avons démontré que l'existence même de ces dipôles est justifiée par l'espérance (impossible) du zéro absolu. C'est le « moteur » de l'oscillation et la garantie d'une existence éternelle.... (Voir en fin du billet, la forme canonique de l'impulsion de DIRAC).



L'importance universelle de la constante ML a été masquée par l'apparition « magique » de la constante de Planck, h. Mais il est démontré que h = f(ML) et que la dichotomie de FERMI n'est valable que localement. Dans le cadre de nos expériences locales, E = m c² a largement démontré son efficacité. Cependant, dans le cadre de la localité étendue, le modèle OSCAR démontre que ce qui est important ce n'est pas l'énergie [M L² / T²] (1) mais l'impulsion [M L / T] qui contient M L. Le caractère universel du temps s'étend à la dualité {quantique / subquantique}. Ainsi les dipôles ont un M réduit (Mo) et un L étendu (Lo) de telle sorte que le produit : Mo Lo = Cte. Cela implique une très grande vitesse subquantique : co >> c. Dans le terme énergétique, L² ne peut compenser M !



A la question : qu'est-ce qui oscille dans l'électron ? La réponse est la même que pour un pôle de l'oscillateur dipolaire, c'est un moment d'inertie 1D – M L – dont l'existence vient de l'impossibilité d'atteindre le zéro ce qui entraînerait un L infini. La forme physique canonique de l'impulsion de DIRAC (2) est la suivante : L = 1/ M. Si M = 0 alors L atteint l'infini ! Ainsi une infinité de dipôles est contrainte d'exister tout en annulant les paramètres des deux pôles opposés. Ce sont les oscillateurs dipolaires du zéro relatif. (voir ci après l'impulsion de DIRAC).



(1) il y là une subtilité car dans un pôle du dipôle, l'énergie Mo co², est ξ3 fois plus grande que le M c² de l'électron mais son extraction au niveau quantique, est limitée au ratio ξ.
 

(2) l'appellation première « impulsion de DIRAC » s'est « modernisée » par le terme « fonction de DIRAC ». Mais physiquement, il s'agit bien d'une impulsion : M L / T où ML est constant et T = f(ML).



La traduction de la formule ci-dessous est la suivante : comme ℒ est fonction de 1/m, plus m s'approche du zéro absolu, plus ℒ grandit ! La somme (l'intégrale) de toutes ces valeurs d'origines > 0, est infinie. Attention, la somme d'un potentiel d'origines peut-être infinie mais pas un paramètre physique. Une amplitude infinie et donc stable, est physiquement injustifiable d'autant qu'elle n'oscillerait plus.


Commentaires

  1. Une petite analogie pour le moment d'inertie 1D constant, M L. Soit un pêcheur dont la force des bras est limitée à une certaine Force. Il saura pêcher un poisson de 10 kg au bout d'une canne a pêche d'un mètre ! Mais si elle mesure 10 m alors il se limitera à un poisson de 1kg (1). Sa limite constante est bien M L ! Aux limites on voit l'incohérence de vouloir pêcher un poisson sans masse avec une canne infiniment longue....

    Dans ce billet on justifie l'existence éternelle d'oscillateurs dipolaires. Cette éternité est la garantie que les brassages finiront par fusionner un BEC jusqu'à saturation, ce qui créera les monopôles électron-positrons.

    (1) ici on confond volontairement l'inertie M et le poids M g.

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  2. Le monde existe par défaut car une amplitude spatiale infinie aurait justement deux caractères à jamais injustifiables : a) être une constante (magique ?) ; b) être infinie.

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  3. Bonjour Mr MAREAU.

    Je pense qu'on devrait appeler la constante ML : "constante de Mareau". Vraiment.

    Bien à vous et bon dimanche.

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  4. Merci pour votre soutien.

    Mais comment faire abandonner la constante de Planck h, qui règne dans la théorie quantique ?

    Il y a plusieurs signification de : m ℒ = Cte. La première est la probabilité d'existence = 1. C'est la clé de la genèse de l'univers. La seconde indique qu'il y a un potentiel infini d'origine mo, à chaque cycle car le zéro physique est interdit (1). En troisième lieu, c'est l'aspect "constante" que l'on retrouve aujourd'hui partout, y compris dans le proton. Enfin en quatrième lieu, c'est la base du puissant principe de dualité de localité où M représente la localité restreinte et L, la localité étendue. Celle-ci se décline entre le niveau quantique et le niveau subquantique.

    (1) çà pose un problème pour ceux, parmi les tenants du modèle standard, qui font l'amalgame entre le zéro absolu et le zéro relatif. Revoir MAGNAN qui dénonce cet amalgame qui bloque la physique.

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