Les rayons cosmiques confirment le modèle OSCAR. Les voyages supraluminiques sont possibles !
On
sait que les mystérieux rayons cosmiques, très énergétiques
viennent principalement du centre de notre galaxie. La plupart de ces
« rayons » sont sous forme de protons relativistes. La
limite maximale atteint une énergie de 1,5×1020
eV,
inexpliquée par le modèle standard. Cette énergie dépasse la
limite GSK,
liée à l'interaction avec le fond diffus cosmologique. L'énergie
d'un proton au repos est de 9×108 eV.
Nous allons nous intéresser aux seuls éléments les plus
énergétiques et à leur limite. Que se passe-t-il au centre de
notre galaxie ? Selon le modèle OSCAR, une galaxie est un
enchevêtrement serré de BECs ayant chacun pour centre, une étoile.
Mais dans le cœur, règne un immense trou noir qui correspond à des
milliers de BECs superposés !
Cela
veut dire que se reproduit ici, la superposition d'oscillateurs
dipolaires survenue dans le BEC fossile. Ce dernier a éjecté les
électron-positrons et protons avec la même impulsion que les BECs formant
l'espace-temps. Leurs vitesses relatives étaient quasi nulles car
l'ensemble était éjecté à la même vitesse c. Mais dans le
cas galactique, les protons sont éjectés à vitesse c dans les BECs
environnants à vitesse nulle ! Dans ce lien,
nous montrons que le coefficient limite de Lorentz
(effet relativiste) est donné par : ξ
= 1,55×1011
la masse d'un électron ! Contrairement aux projections
mathématiques qui le validaient naïvement jusqu'à l'infini. Ainsi
un proton de 9,38×108
eV sera en limite
relativiste à : 1,45×1020
eV . Avec un hélium, on peut atteindre 6×1020
eV et avec un électron, la valeur de : 7,9×1016
eV .
Soit
la formule de Lorentz (qui admet à tort la notion d'infini en physique) dont le taux γ vaut l'infini quand v
= c :
Avec Christian MAGNAN du Collège de France, nous montrons que le zéro et l'infini, n'existent pas en physique. Cela va dans le sens de
la formule Oscar modifiée, qui elle, tient compte des limites physiques. Le taux γo
reste à valeur : ξ = 1,55×1011
quand v
≥
c ! Cela
veut dire que cela ouvre la voie aux voyages supraluminiques :
Avec
γo limité à ξ
plutôt qu'à l'infini ! Donc au cœur du trou noir de la
galaxie, les oscillateurs dipolaires subquantiques, peuvent
s'échapper de son emprise car leur impulsion est ξ
fois celle d'un photon. Leur séparation en 2 monopôles (+/–) les
transforme en paires électron-positrons qui peuvent rester en
l'état (on en observe effectivement) ou s'associer en proton (Ep)
devenant relativiste avec une énergie maximale de : E = Ep γo.
Résumons-nous :
- si
effectivement les tenants
du MS ne comprennent pas le dépassement de la limite GSK, ils ne
comprennent pas non plus la cause de l'émergence de ces particules ;
-
les mesures maximales confirment celles avancées par le modèle
OSCAR ;
-
encore une fois, on note que les valeurs infinies sont incompatibles
avec la physique ;
- la
vitesse c n'est donc plus une limite au delà du seuil ξ. Cependant aucun paramètre physique ne saurait atteindre l'infini !
Ci-après
une image retraçant les différentes interaction de rayons
cosmiques. Il y est dit à tort que les protons relativistes
circulent à presque la vitesse de la lumière ! Non ils
circulent à la vitesse de la lumière en limite
physique de l'effet relativiste. Si on pouvait encore les
accélérer, alors plus rien n'empêcherait de dépasser la vitesse
de la lumière !
Même les romans de science fiction ont des vaisseaux dont la vitesse est limitée à un peu moins que c. Ils ont souvent exploité l'idée (fausse) "de trou de vers" pour voyager plus vite. Mais sous réserve de disposer d'une capacité d'accélération constante, on doit pouvoir vérifier qu'après la limite xi, plus rien ne s'oppose aux voyages supraluminiques.
RépondreSupprimerIl faut insister sur les conséquences de l'amalgame courant qui est fait en le zéro absolu mathématique et le statut dual du zéro physique. Il est parfait et relatif dans l'oscillateur dipolaire ou forcément flou dans l'oscillateur monopolaire. Avec MAGNAN du Collège de France, nous dénonçons cet amalgame courant. Il permet le coefficient de Lorentz d'être infini alors que c'est impossible en physique ! Le pire est que la genèse de la matière est justement basé sur l'échec permanent d'atteindre le zéro absolu. Alors en confondant les deux, on passe à côté de tout, d'où la crise profonde de la physique !
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