Neutron → proton et force forte
Le
modèle standard a modélisé le proton comme un être mathématique
résultant de l'itération entre les effets et théorie à portée
locale. Nous avons vu que
les bases théoriques de FERMI
– limitées aux créations locales
de paires électron-positrons – représentaient une
grave fausse route de la théorie quantique. Son
erreur consiste à considérer comme absolue,
la dichotomie fermion-boson. Il ne l'a pas pensée à l'aune de la
dualité de localité. Sa
loi n'est vraie que dans la localité restreinte
du laboratoire. Cette localité restreinte ne représente pas
l'univers physique tel qu'il est. Dans la localité étendue
de la création originelle, les paires électron-positrons voisines,
se comportent comme des bosons. Ces paires se condensent spontanément
en neutrons et protons. De cette règle simple, découle
automatiquement l'explication claire de la matière noire.
Encore
aujourd'hui certains physiciens croient naïvement pouvoir
reconstituer la localité
étendue
de l'univers dans la localité restreinte du laboratoire....
En revanche, le travail des physiciens-expérimentateurs, nous permet de disposer de mesures physiques très intéressantes et notamment sur le proton. On dispose de sa masse : mP = 1836,15 électrons habillés (1) et de son rayon (voir tableau). Le rayon du proton est proportionnel à celui du rayon de l'électron qui est en fait l'intervalle élémentaire de l'espace-temps, soit : ƛe = 3,86×10–13 m. Le proton est également rattaché à la période élémentaire et universelle de l'électron soit : te = 1,288×10–21 s. Le proton – particule composite – dépend de ces trois valeurs physiques universelles.
On
note que la vitesse quantique de la lumière est donnée par : c
= ƛe
/ te. La
vitesse subquantique, ξ3
fois plus grande, ne
concerne que le lien (2) du spin dans les particules intriquées. En
effet cette
même période vient des
dipôles qui forment le rayon
du BEC soit : 1,42×1021
m.
La
dualité onde/corpuscule : cette dualité – reconnue mais
non expliquée par le modèle standard – est également
universelle. Elle signe la dualité
quantique/subquantique. Chaque élément quantique est en
interaction avec un oscillateur dipolaire de tissu subquantique de
l'espace-temps. La partie « onde » est étendue
par le tissu subquantique dans tout le BEC. Elle se relocalise dans
le temps universel, te pour
toute perturbation quantique. Cette dualité est également valable
dans le proton car on se souvient de la règle fondamentale :
ƛe
×
te
= Constante.
Ainsi le modèle OSCAR montre que le proton est divisé en 4 groupes
de couches neutres de masse M = 1836,15 / 4. Le proton est tenu de
respecter la règle : M × rP =
Constante. Le modèle OSCAR confirme la mesure du rayon par : rP
= 4 ƛe
/ 1836,15. Son rayon est
bien inversement proportionnel à M ! (voir formules dans
dessin ci-après).
L'atome
d'hydrogène : il est composé d'un noyau (le proton) et
d'un électron périphérique. Cet électron n'est pas ponctuel mais
étendu en une couche sphérique. Le modèle standard parle de
probabilité de présence alors que nous parlons d'onde physique et
sphérique ! cet électron, auparavant confiné dans le noyau
(neutron), est maintenant orbital. Cependant il possède une règle
fondamentale de symétrie avec le positron confiné dans le noyau.
Cela lui confère un rayon nominal, indiqué en haut et à droite du
dessin ci-dessous.
Les
quarks : le modèle standard les considère comme des particules
constitutives alors qu'ils ne sont qu'induits ! Toujours par la
fameuse dualité onde/corpuscule (qui est un effet de la dualité de
localité), nous montrons que l'induction des quarks est juste la
matérialisation de l'asymétrie spatiale entre l'électron
périphérique et le positron confiné. En haut et à droite du
dessin nous voyons que la masse des quarks, m(2u+d) résulte
du ratio entre l'intervalle au carré et le produit des rayons (atome
× noyau). C'est encore un effet de la règle de base des dipôles :
M L = Constante ! La « soupe de quarks » du modèle
standard est une supercherie car on
vérifie qu'ils deviennent instables hors de leur confinement. Ils
sont donc bien induits et non constitutifs.
Le
modèle standard mélange allégrement les particules instables
avec
la seule et unique qui soit élémentaire et stable, l'électron.
Voir ce lien
où,
parlant
de l'élémentarité, l'électron est cité comme un exemple parmi
d'autre alors
qu'il
est le seul dans ce cas (avec son alter
ego le positron).
L'instabilité
du neutron : la paire célibataire confinée au sein
du neutron, n'est pas aussi neutre que l'on pourrait le croire. Il
existe une asymétrie topologique entre l'interaction quantique 2D et
l'interaction subquantique 1D. La polarisation induite (entre
matière et espace-temps) se résout parfaitement dans l'atome
d'hydrogène par le ratio des rayons (atome / noyau) comme vu plus
avant. Ce n'est pas le cas dans le neutron où trois forces
contraires s'affrontent : a) la polarisation qui tend à éjecter
l'électron en orbite ; b) la force électrique qui tend à
fusionner les deux charges contraires ; c) la barrière de
potentiel en limite des couches neutres qui s'oppose à l'éjection.
Cela induit une oscillation qui
revient à un pompage du niveau subquantique. Son
amplitude est proportionnelle à celle liée au ratio : rayon
atome hydrogène / rayon noyau ! Voir le dessin ci-dessous où
l'on trouve :
α²
π/2 = rH
/ rP
[1]
Cela
veut dire qu'à l'intérieur du neutron, il y a une tendance à
réaliser le même ratio que dans l'atome d'hydrogène entre électron
et positron mais dirigé vers l'intérieur confiné ! Par
ailleurs le ratio de masse {quantique/subquantique}vaut ξ3.
La
durée brute de l'oscillation est ξ3
fois
le temps élémentaire, te.
Mais
ce temps est réduit par le rayon
de jauge :
rJ
= rP
/ α²
lié
à la relation [1].
Ainsi,
partant du temps élémentaire
universel,
on confirme la mesure de la durée de vie du neutron
libre par :
tN
= π
te
ξ3/
3 (4 α²)²
τP
[2]
avec
τP,
le taux d'habillage (1841/ 1836,15), la relation donne – c'est
inédit – la durée de vie du neutron : 880,31243
s, compatible avec la mesure : 880,30
(±1,1) s. L'éjection de la masse de l'électron résulte du
pompage par ξ3
oscillations d'un pôle subquantique dont la
masse est ξ3
fois plus faible que celle de l'électron (3).
Dans la relation [2] on retrouve la symétrie de la relation [1] où
rH = α²
rP et donc rJ = rH
/ α4.
Mais cet équilibre dans le confinement, ne compense pas la
polarisation [quantique/subquantique]. C'est la raison pour laquelle
le pompage en ξ3
cycles, permet « l'éjection » de
l'électron. En fait cette « éjection » est en réalité
un saut de type « tunnel » car la barrière des couches
neutres est infranchissable. Il s'agit plutôt d'une télé-déportation
propre à l'effet tunnel. Dans d'autres cas, la réaction β±
se réalise par une éjection classique qui intervient alors dans un
temps beaucoup plus court.
La
force forte : ce qui caractérise cette force, c'est
son allure asymptotique. Quand on cherche à casser un proton, la
force forte apparaît et augmente avec
la distance. Le modèle standard appelle cela la « liberté
asymptotique » car la force disparaît quand la distance tend
vers zéro ! Elle augmente avec la distance contrairement aux
autres forces ! Cela est cohérent avec un démasquage
progressif des couches empilées où les charges électriques
ré-apparaissent progressivement ! C'est typiquement le
comportement d'une force électrique que l'on démasque
graduellement. Inutile d'évoquer des quarks et la très spéculative
glu....
La
force faible : c'est celle qui par exemple
correspond à un neutron se transformant en proton. Cela se traduit
par l'émission d'un électron, d'un neutrino, d'un boson W et
d'un boson Z. L'interprétation OSCAR est la suivante : quand le
neutron éjecte l'électron célibataire, il se produit un
réarrangement quantique dans le neutron ; a) les couches
neutres se déplacent légèrement (boson Z) ; b) il se produit
un équilibre de la symétrie {quantique/subquantique} qui se traduit
par l'extraction subquantique du boson W ; c) le neutrino (dit
électronique) est juste l'effet du rendu d'habillage moins intense
dans le proton car mieux équilibré. Le changement des quarks (ddu
→ uud) est un effet induit
et surtout pas une cause. La cause vient de la polarisation
originelle et topologique entre les niveaux {quantique/subquantique}.
Le sens de cette polarisation est aléatoire car il aurait très
bien pu confiner les électrons et libérer les positrons. Cela
n'aurait rien changé car les signes des charges sont purement
conventionnels. Tout est relatif !
(1)
c'est 1841 si la jauge est l'électron nu, soit 1840 unités neutres
+ 1 unité chargée).
(2)
appelé « lien fantôme » dans le modèle standard. Dans
le modèle OSCAR, il n'y a ni fantôme, ni magie, ni absolu, ni glu,
ni « vide pas vide » ni soupe de quarks.
(3)
Selon ML = constante, si la masse est ξ3
fois plus faible alors son amplitude est plus
grande dans la même proportion. (Voir BEC
et halo galactique).
En résumé : L'équilibre de l'atome d'hydrogène vient du fait que la symétrie entre le rayon orbital de l'électron et le positron du noyau, compense exactement la polarisation quantique/subquantique. Pour en arriver là, il faut que l'électron puisse franchir la barrière des couches neutres du neutron. comme c'est impossible, la seule solution consiste à pomper (osciller) xi^3 fois la masse d'un pôle (xi^3 fois plus faible). C'est ce qui donne la durée de vie du neutron. Le modèle standard ne donne aucune explication à tout cela : a) calcul du rayon du proton ; b) ratio entre rayon orbital et noyau ; c) faux équilibre interne du neutron ; d) calcul de la durée de vie du neutron.
RépondreSupprimerBonjour Mr MAREAU.
RépondreSupprimerJe voudrais vous poser une question à propos de la constitution des protons selon OSCAR :
S'ils sont constitués d'électrons/positrons (920 paires neutralisées + 1 chargée), je me demande pourquoi, lors des collisions, il n'y a pas effet "sac de billes déchiré", avec éparpillement des constituants, donc de ces électrons/positrons ?
Au lieu de cela, j'ai cru comprendre qu'il ne restait que quelques "points durs" vite évanescents, que la théorie standard a baptisés "quarks" ...
(Vous y avez peut-être déjà répondu ailleurs, mais cela m'aura échappé.)
Si l'énergie de deux protons incidents atteint celle nécessaire à démasquer complètement et électriquement les couches neutres, alors cette énergie crée une paire proton antiproton. L'énergie électrique est donc égale à l'énergie de masse. Mais avant cette limite tout un bestiaire de particules éphémères est créé. Ce sont des résonances liées aux réactions du tissu subquantique. Là encore c'est la constante universelle ML qui agit.
RépondreSupprimerLa formule, m(2u+d), du dessin, indique que l'aire élémentaire est plus grande de 1% que l'aire : rayon atome × rayon noyau. Il y a là une distorsion spatiale L compensée par le M des quarks.
La clé est la suivante : toute perturbation quantique (ici des chocs) affecte ponctuellement la symétrie spatiale du tissu subquantique des dipôles (L). Comme ML = constante alors il y compensation par extraction d'un M ponctuel ou éphémère. Ce ML = constant, base de la genèse de la matière, est vraiment partout !
La mesure des quarks est plus subtile et moins violente car on mesure statistiquement les angles de déviation d'un électron incident. Le spectre des mesures indique la présence de "points durs" au sein du noyau.
Pour OSCAR, il sont induits dans le confinement dans le cadre de la dualité onde/corpuscule. Dans l'oscillation permanente interne, la symétrie spatiale est légèrement décalée (L) et un M permanent (les quarks) vient compenser mais dans le cadre strict du confinement. Hors du confinement, ils disparaissent très vite car il n'existent que pour cette compensation interne. En gros, la dualité onde/corpuscule dans le proton, n'est pas de type "OU" mais de type "ET" partiel.
Merci pour votre réponse. Mais (comme souvent) il me faudra un peu de temps pour essayer de l'assimiler ...
RépondreSupprimerBien à vous.
Je crois que la règle : ML = Cte est la plus fondamentale de la théorie subquantique et donc quantique. Elle est la clé du dipôle originel, elle explique les bosons, toutes les résonances du tissu subquantique et l'équilibre du proton. Elle au niveau de E = M c².
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