La cause de la gravitation
Le
modèle standard décrit
correctement les effets de la gravitation mais ne dit rien concernant
l'explication de sa cause.
Là encore cela vient de la non prise en compte du principe de
dualité de localité. Le modèle OSCAR
montre clairement qu'il s'agit d'un gradient de force électrique,
lié à la fameuse séparation des dipôles du BEC-hologramme
originel. Il faut déjà interpréter correctement
cette relation
simple et connue. Elle précise le ratio entre la force
électrique et la force gravitationnelle. Le problème est que les
tenants du modèle standard, comparent un proton (+) avec un électron
(–) dont la masse est 1836 fois plus faible ! C'est une
profonde erreur car la
parfaite symétrie s'obtient avec le positron (+) comparable à
l'électron (–). Donc une paire {électron-positron}, éloignée
d'une longueur unitaire (qui s'annule), s'attirent par la force
électrique de leur charge f(e²) et par la
force gravitationnelle f(m²). Dans le détail, la force
gravitationnelle (pour une longueur unitaire) est obtenue par :
G m² et la force électrique, par : e² / 4 π
εo.
Le lien
montre que le résultat de ce ratio est ξ4/
α
avec α =
137,0359, qui est le ratio d'annihilation qui a élargit
l'intervalle moyen des ξ4
monopôles pavant le demi périmètre du BEC-hologramme.
Sur
le BEC, éloigné à 1/2 périmètre, se trouve le monopôle opposé
du même dipôle. Entre
eux, il subsiste le champ électrique initial du dipôle, identique à
la charge de l'électron. Mais ramenée à chaque intervalle, cette
charge est divisée par le nombre de monopôles (électron ou
positron) qui les sépare : ξ4/
α. C'est
typiquement la cause de la force gravitationnelle. L'aspect
holographique transforme ce lien 1D en 2D. Ainsi le taux
d'annihilation passe de : α
à α².
Or ce taux permet de recouper parfaitement la masse des galaxies et
de l'univers, et des dizaines d'autres mesures.
Mais
d'où sort le ratio ξ4
d'avant
annihilation ? Le modèle OSCAR démontre que ce ratio vient de
la moyenne du lot de
dipôles synchronisés. Il s'agit du ratio entre la vaste
longueur du dipôle
(diamètre du BEC) et son épaisseur. Avant synchronisation, ce ratio
était variable et aléatoire. Mais la synchronisation a
érigé comme constante, la
moyenne du lot. Ainsi sur la couche externe du BEC (hologramme 2D) la
saturation équivaut à réduire les intervalles entre
dipôles, à zéro. Cela
revient à une superposition généralisée ou masquage
des charges électriques.
C'est ce masquage
qui sépare
les dipôles en monopôles. On
connaît le taux de mitose qui agrandit les surfaces élémentaires
(2D) du
ratio ξ2.
On en déduit une mitose de ratio d'intervalle (1D)
ξ.
Ainsi le rayon du BEC est
(ξ4
/ ξ)
= ξ3
fois l'intervalle
élémentaire qui correspond au rayon (Compton) de l'électron. Tout
cela est recoupé par des dizaines d'autres chemins
déductifs et par des
mesures effectives.
La
gravitation ne fait qu'attirer les masses car les monopôles en
oppositions sont ceux du dipôles (+ et –). Certains spéculent sur
une « gravitation négative » qui serait à la
source de l'accélération locale
de l'expansion. Vous avez dit locale ?
Oui le modèle OSCAR montre que l'expansion moyenne ralentit comme il
se doit. Mais les couches en avance ralentissement plus fort alors
que les couches en retard, accélèrent pour rattraper
la moyenne. La gravitation revient à une déformation
des surfaces élémentaires du tissu d'espace-temps. Ainsi elle agit
sur le tissu d'espace-temps. Mais en vertu du taux d'interaction
matière / espace-temps, elle agit également sur la matière. Si les
photons (sans masse) prennent une trajectoire courbe autour des
étoiles, c'est parce qu'ils suivent la déformation de
l'espace-temps. Cela est conforme à la théorie d'Einstein de la
relativité générale. Mais si cette dernière décrit parfaitement
les effets, elle ne dit rien sur les causes.
Et
que devient ML = Cte ?
Pour la gravitation est conservé : Q² = f(ML) = Cte
mais à l'échelle du BEC et non de celle de l'intervalle
élémentaire. Le ratio ξ4
d'origine est
conservé. La force gravitationnelle est d'origine électrique et
comme toute chose, dépend de ML = Cte.
Ci-après
un dessin d'artiste figurant le monde holographique.
Il faut bien noter les deux graves erreurs faites par les tenants du modèle standard :
RépondreSupprimera) ignorer le principe de dualité de localité,
b) ignorer la symétrie de la paire électron-positron.
Cela vient de cette manie des conservateurs de ne pas actualiser les données qui contredisent les "Dieux de Copenhague". Avant que Dirac découvre le positron, le seul critère de symétrie était la charge et donc le proton faisait l'affaire. Mais depuis la découverte du positron, on aurait du corriger le ratio en mettant en jeu la paire électron-positron. Du coup on sort un ratio 1836 fois plus faible qui ne se recoupe pas avec le reste de la physique.
Je rappelle ici l'autre erreur encore plus grave du modèle standard : faire l'amalgame entre le zéro absolu et le zéro physique (relatif). Dans la même veine, considérer les mesures locales comme étant absolues ! On raisonne encore comme au moyen âge !