la substance de l'intervalle élémentaire et la « coquille » du BEC (2)
1. La
quantification des
intervalles
dans le BEC . Le
centre commun du BEC
fossile,
émet et
reçoit des
couches de pôles oscillants à intervalles réguliers
de
temps,
Δto.
Comme la vitesse subquantique des pôles vaut :
co
= c
ξ3,
le Δto
est proportionnellement plus petit que te,
le cycle du dipôles
dans le BEC et
également, la période de l'électron.
De
ce fait, l'intervalle radial est : ƛe
=
co
to
=
c te !
En
posant ML
= Cte = Ω,
on
a la
forme subquantique et
simplifiée de
l'équation de Schrödinger,
i.e,
hors de
sa forme différentielle et sans le
paramètre probabiliste |
ψ(t)
:
H
= Ω
(ƛe
/ to
ξ3)
/ Δt
Avec
to
ξ3
=
te
, la
période du cycle commun, dipôle et électron.
La
constante
c
est gouvernée par la célérité des dipôles car :
c
=
ƛe
/ te.
Cela
veut dire
qu'un
photon passe d'un espace élémentaire à l'autre, dans le rythme (ou
la période) des oscillateurs dipôles qui
sont
régulés par
le centre commun du BEC.
2. Le
champ magnétique repoussant :
le billet
précédent montre que ce champ est dépendant du déplacement de
la charge électrique, e.
Le dessin ci-après montre qu'une
distribution alterné
et incluant les
deux sens de déplacements des charges, amène
les
dipôles voisins à
se
repousser.
Le
champ tourne à droite pour une charge – et donc à gauche, pour
une charge +. Le
dessin montre que le flux magnétique engendré par le mouvement des
charges e
se repoussent dans toutes les directions autour d'un pôle quelconque
(ici
un +).
Le code couleur est : rouge pour les + et bleu pour les – .
Cette distribution garantit des intervalles constants en induisant
une trajectoire hélicoïdale pour compenser les « trous »
relatifs
à l'agrandissement des couches en 2D. C'est la source du spin que
les particules traduisent au niveau quantique.
3. Le
point de rebroussement et la « coquille » de matière :
Les oscillateurs ont un point de rebroussement au rayon optimal du
BEC. A cet endroit, l'absence de vitesse annule
l'effet magnétique et les charges contraires pourraient
donc avoir tendance à s'attirer. Mais tant que la superposition n'a
pas lieu, l'action électrostatique transverse ne fonctionnent pas.
Mais dès la saturation (début de superposition), l'effet
électrostatique devient actif, transversalement. La force
électrostatique induit une accélération qui permet – dans le
très court instant du point de rebroussement – une superposition
totale qui annule les charges contraires.
Cela brise le lien radiale des dipôles à localité étendue qui se
séparent en deux monopoles éloignés.
Ces monopôles sont des paires électron-positrons et leur localité
restreinte, répond à ML = Cte. La masse M a grandit alors que
l'amplitude L a diminuée dans les mêmes proportions. Dans le même
temps, la mitose de facteur ξ en
1D, rétablit l'intervalle tangentiel entre pôles à la
longueur de Compton (1). Ainsi se
distingue nettement :
a)
le volume du BEC qui reste en mode dipolaire neutre et formera
l'espace-temps via les BEC-fils issus de la mitose.
b)
l'aire holographique où les monopoles et donc la matière, apparaît
par séparation des dipôles.
Ensuite
la mitose mélange la matière dans les espaces BEC-fils, en
expansion.
(1)
Cette longueur de Compton est inscrite dans les pré-requis du BEC.
C'est l'intervalle radial (entre couches) donné par : co
Δto
=
c
te
=
ƛe
, vu
plus avant.
La
mitose rétablit donc l'isotropie des intervalles élémentaires en
agrandissant l'intervalle élémentaire tangentiel.
Avant
saturation, l'absence de vitesse au point de rebroussement, annule
l'effet magnétique au bénéfice de l'effet électrostatique. les
forces électrostatiques transverses n'existent pas et rien ne se
passe. Puis à saturation, les charges contraires s'attirent pour
former des baryons neutres.
Le prochain billet démontre l'universalité de ML en chiffrant B = 1/L
RépondreSupprimer