La gravitation, née de la brisure des dipôles en monopôles (suite)
Le
billet précédent a résumé le processus qui a amené le Big Bang.
Selon le modèle
Oscar, l'immense Condensat de Bose Einstein (BEC) formé arrive à
saturation. Cette sphère de 150 000 années-lumière de rayon, est
totalement potentielle car tous ses
paramètres physiques [M, L, T] sont annulés
dans chaque dipôle. Quand le flux de synchronisation arrive à
saturation, les dipôles se chevauchent
ce qui annule les charges internes qui liaient les deux pôles de
chaque dipôle. Cela a pour effet de briser les dipôles en
monopôles qui subissent une réduction de
localité les situant à l'opposé
sur le BEC. Voir figure ci-après représentant un demi BEC :
Le
ratio ξ4
=
5,7×1044
est celui existant
entre l'immense rayon
du BEC et la très petite
épaisseur de
l'oscillateur dipolaire. Ce ratio est issue de la moyenne aléatoire
du lot de dipôles
synchronisés. Les monopôles électriques sont les paires
électron-positrons, nées de la « séparation » des
oscillateurs dipolaires en conservant ML = Cte
lors de la brutale réduction de localité
originelle. L'effet de la superposition est l'annulation des
charges électriques qui garantissaient l'intégrité des dipôles.
Ces derniers se séparent donc en monopôles où les paramètres
M,L,T, ne sont plus annulés ! Les monopôles magnétiques des
dipôles électriques, se transforment en dipôles magnétiques et
monopôles électriques. La réduction de
localité avec séparation permet
aux charges voisines de ne pas s'annihiler. Elles se condensent en
protons stables. Voir la loi Koide-Mareau.
Création
non locale → stabilité
La
violente mitose
fractale et la forte annihilation (symétrique) est ce que l'on
appelle le big bang.
Il faut insister sur le fait qu'il n'est nul besoin de spéculer sur une asymétrie de l'annihilation primordiale pour expliquer l'apparente asymétrie des positrons. Trahir cette symétrie, c'est renoncer aux lois profondes de la physique. C'est ce que font les tenants du modèle standard !
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