L'avant Big Bang décrypté dans l'électron

Le modèle standard traite parfaitement les effets de la gravitation, mais n'en connaît pas la cause, pas plus qu'il ne connaît celle qui ont produit le Big Bang. En revanche, le modèle Oscar, indique clairement les causes physiques de ces deux événements. Tout repose sur la dualité appliquée à l'univers. Cette dernière est basée sur la dualité du zéro. Le modèle standard ne fait pas la distinction entre les deux types de zéro. a) le zéro absolu des mathématiques ; b) le zéro relatif ou algébrique, relatif à un dipôle. Heureusement que certains physiciens comme MAGNAN ont compris qu'il ne peut y avoir d'infini en physique. Cette grave erreur en génère d'autres dans le modèle standard. Les mathématiciens font systématiquement l'amalgame entre ces deux types de zéro. Par exemple le lorentzien qui fixe l'accroissement de masse d'une particule relativiste ne comporte pas de limité ! Il admet qu'il puisse exister une masse infinie ! C'est une très grave erreur que beaucoup de physiciens commettent. L'univers n'existe que grâce à cette dualité du zéro. L'univers n'a pas besoin d'énergie initiale pour exister, y compris celle qui résulte de l'incertitude de Heisenberg. Cette loi s'applique dans la phase bulle-univers dans laquelle nous vivons mais n'est pas justifiée dans la phase précédant le big bang.

1.  Une matrice éternelle basée sur la dualité du zéro. Il existe une matrice éternelle stochastique faite d'une infinité d'oscillateurs dipolaires que sont les bosons du strict zéro relatif. C'est parce que ces dipôles sont des Bosons Zéros Relatifs (B.Z.R) que l'infini est possible. Une somme infinie de B.Z.R donne bien zéro paramètres physiques en tout ! Tout autre résultat est injustifiable ! Ce zéro relatif se distingue nettement du zéro absolu car il permet de préciser la notion d'infini en physique. Aucun apport d'énergie n'est nécessaire car chaque pôle des dipôles fonctionne selon la forme canonique de l'impulsion de Dirac dans un contexte strictement adiabatique. Chaque B.Z.R est strictement isolé des autres. La clé de l'oscillation dans chaque pôles est l'espérance du zéro absolu. Il existe une dualité entre deux notions interdites : l'origine (même ténue) d'une inertie et sa valeur au zéro absolu qui impliquerait un longueur infinie. L'existence tient au paradoxe de cette dualité où le produit ML est constant. A chaque cycle, l'origine Mo tend vers le zéro absolu et trouve un potentiel infini d'origines différentes car le zéro absolu est inatteignable. La réponse à cette origine trouvée parmi un potentiel infini, est une longueur L d'autant plus grande que l'origine Mo sera proche du zéro absolu. Une éventuelle inertie nulle, exprimée dans une longueur infinie ne pourrait plus osciller. Il n'y aurait donc plus de variation et tout serait stérile à jamais.

2.  Le référentiel dipolaire du Boson Zéro Relatif (B.Z.R). Le zéro relatif (algébrique) est garanti par la charge électrique induite par les deux ML opposés. L'intégrité du référentiel « dipôle » est assurée par les deux charges électriques opposées. Elles garantissent le zéro relatif en maintenant la stricte symétrie entre les deux pôles. Tous les paramètres physiques sont annulés, y compris le temps.

3.  Le brassage stochastique entre B.Z.R. Ces dipôles sont réputés former un espace « non connexe ». Ce type d'espace est difficile à imaginer car il ne permet à rien de circuler. Par définition chaque B.Z.R est invisible. Cependant le brassage intense des B.Z.R apporte un bémol au caractère absolu de la non connexité. Avec un probabilité extrêmement faible, le brassage peut amener des B.Z.R à fusionner. La condition est que les deux belligérants soient en phase au point central des origines que nous appellerons par abus de langage, le « point zéro ». Mais comme le temps ne s'écoule pas, il existe un potentiel infini de configurations possibles, issues du brassage. Statistiquement, une grande partie des fusions réussies, se détruisent par le brassage. Mais compte tenu du non écoulement du temps, les bosons finissent forcément par constituer un BEC. Ce BEC continue de se nourrir jusqu'à ce qu'il arrive à saturation. La cause du Big est cette saturation.






A suivre, saturation du BEC, brisure des dipôles et gravitation.

Commentaires

  1. Cet oscillateur est dual à divers titres : a) le zéro absolu (non atteignable) d'un pôle est le dual du zéro relatif du référentiel dipolaire ; b) les deux branches du dipôle électrique ; c) l'amplitude L est le dual de l'inertie M ; d) la masse-espace ; e) le temps.
    En revanche le dipôle électrique est un monopôle magnétique.

    RépondreSupprimer
  2. Mr Mareau,
    1. un oscillateur stochastique non synchronisé a t-il une orientation 1 D fixe/figée pour ses cycles?
    2. chacune des amplitudes spatiales consécutives est-elle la même à chaque cycle?
    3. le point zéro est-il physiquement à la "même place" pour chaque cycle?

    Si les trois réponses sont non, alors le "stochastisme" est absolu et la probabilité de synchronisation est quasi égale à zéro, mais le nombre de brassage étant infini, le temps global ne s'écoulant pas, cela arrivera !
    Si une des réponses est oui, c'est que le chaos n'est pas total et qu'il existe au moins une règle.

    Si la réponse à 3. est non, cela pose problème pour la définition d'un oscillateur. Cela voudrait dire qu'il n'y d'oscillation nulle part mais uniquement des bosons duaux naissant spontanément (par impossibilité du zéro absolu), aléatoirement, le temps d'un cycle, avant de disparaitre.

    Cela voudrait dire également que la notion d'oscillation ne pourrait intervenir que quand un noyau de points zéros ce serait constitué d'une manière stable. Sa taille grandissant, son pouvoir de captation de nouveaux bosons ADN serait de plus en plus important, conduisant inéluctablement à la saturation.

    RépondreSupprimer
  3. 1/ non car à chaque nouveau cycle, il repart dans un axe aléatoire car au point zéro il n'y a pas de moment.
    2/ non car il y a un choix infini d'impulsion entre toutes origines arbitrairement proches du zéro absolu.
    3/ non car le zéro relatif, dans le référentiel dipolaire, est réel. Une agitation maximale est donc promise au zéro mais ...... pas très longtemps.

    Votre conclusion me parait la bonne !

    En revanche, je ne vois pas de problème pour le "non" de la trois car les oscillateurs bosons dipolaires ne disparaitraient que s'il trouvaient le zéro absolu ! Or cela est impossible en physique. Le zéro absolu appelle une longueur infinie qui serait "payée" par qui ? De plus cet infini ne peut plus osciller et il entre dans la catégorie des constantes. Les deux interdits qui font que l'oscillation est éternelle : M> 0 ; M= 0. Puis pour un Mo (origine) → 0, il existe une infinité de solutions.

    Non la notion d'oscillation stochastique pré-existe aux premières synchronisations. En revanche, vous avez raison, la croissance de densité du BEC en devenir, accélère l'accrétion. La densité appelle la densité comme l'argent appelle l'argent. Plus sérieusement, c'est le ratio densité sur surface qui donne le sens du flux. Car ce dernier est réversible quand la bulle univers en croissance perd de la densité et augmente sa surface d'échange. Cette condition de réversibilité non remplie, suffirait pour casser ce modèle.

    Ravi de discuter avec vous, de questions très subtiles et qui ont toutes leur légitimité.

    RépondreSupprimer
  4. encore merci pour votre réponse.
    En effet, la notion d'oscillateur stochastique me pose problème, car probablement trop influencé par le monde macro. Pour osciller, il faut une origine déterminée (=l'appui), une amplitude limite avant retour et un axe (ou plan ou volume) d'oscillation (sans parler des forces en jeu). Pour l'oscillateur stochastique, rien de cela n'existe !
    Qu'est ce qui rattache un cycle a un autre cycle alors? rien ! c'est pour cela que c'est difficile de concevoir des oscillateurs qui tiennent dans le "temps" en rattachant plusieurs cycles successifs. C'est comme si l'oscillateur n'existait que le temps d'un cycle, ne léguant aucun moment, aucun zéro physique, aucune amplitude à un cycle suivant.

    Le néant serait donc la somme infinie permanente (au sens éternel, mais sans que le temps n'existe !) de zéros relatifs spatialement non connexes. La somme des énergies de chaque dipôle (qui s'annulent en permanence avec son opposé) est potentiellement infinie...

    On rejoint la notion de singularité du modèle standard, sauf que l'énergie primordiale de l'univers naissant n'est ni infinie, ni spatialement réduite à un point comme le montre votre modèle.

    RépondreSupprimer
  5. En parallèle du commentaire précédent, vous dites qu'il y a oscillation entre deux interdits M>0 et M=0. Cela suppose t-il qu'il faut également l'appliquer à L et dire qu'il y a oscillation entre 2 interdits L>0 et L=0? Ne serait ce pas même : oscillation car impossibilité de stabiliser entre ML>0 et ML=0 ?
    Dans notre bulle univers, M est disséminé un peu partout entre DM et matière, alors que L s'est globalisé et ne fait qu'un.
    Mais je sens que vous allez dire que la matière est "unifiée" par la gravitation et que l'espace unique n'existe que grâce aux perturbations engendrées par la matière, via les centres des BECs.
    A terme, quand la matière ce sera physiquement unifiée (comprendre annihilée), l'espace 3D + temps global ne seront plus.
    Vu comme cela, la matière (l'inertie) est la clé du temps et de l'espace !

    RépondreSupprimer
  6. Bonjour LC.

    Me permettez-vous de joindre mes interrogations aux vôtres ?

    En effet, ces aspects de la théorie des OSCARs que vous soulevez, me laissent également perplexe et je trouve que vous exprimez bien plus clairement que je ne saurais le faire ce qui pose question.
    J'avais mis, jusqu'ici, mon embarras sur le compte de mes lacunes qui sont immenses en physique ! Mais je partage le fond de votre interrogation.
    Il reste à Dominique MAREAU à relever le défi de clarifier le mieux possible ces points pas immédiatement évidents, de sa théorie.
    Je ne doute pas qu'il saura le faire ...
    (Mais mon problème : saurais-je comprendre ?...)

    Bonne journée.

    RépondreSupprimer
  7. A LC et Jihems,

    Je reprends la phrase, où LC dit :

    "Qu'est ce qui rattache un cycle a un autre cycle alors? rien ! c'est pour cela que c'est difficile de concevoir des oscillateurs qui tiennent dans le "temps" en rattachant plusieurs cycles successifs. C'est comme si l'oscillateur n'existait que le temps d'un cycle, ne léguant aucun moment, aucun zéro physique, aucune amplitude à un cycle suivant".

    Oui la notion d'oscillation est bien remise en question à chaque cycle. Il n'y a pas un objet "oscillateur éternel" mais chaque fois le dilemme du paradoxe : M >0 et M = 0 qui fait une éternité basée sur le potentiel infini de variétés. Donc pas d'objet éternel, pas de "mémoire" du cycle précédent, mais juste un départ nouveau et vierge, à chaque fin de cycle.

    En parlant de l'origine de l'inertie M il faut toujours voir son miroir L comme une conséquence. La notion d'inertie porte en elle une symétrie L et T que l'on pourrait appeler l'agitation. Il n'y a qu'à voir le mouvement brownien des particules d'air. La température (c'est de l'énergie) agite ces molécules d'air, en fonction de leur légèreté. On a vu que f² =f(1/ML) . Donc plus M et L sont grands plus la fréquence d'agitation est petite. Mais cette fréquence ne peut-être infinie et donc ML doit forcément exister (dans un spectre de potentiel infini). En gros comme la notion d'infini ne peut s'appliquer aux paramètres physiques, elle est compensée par les nombres qui eux ont le droit non pas de se contenter de tutoyer l'absolu, mais de l'atteindre.

    Une corde de guitare massique, longue et peu tendue (faible F) fera un son grave donc de fréquence (f = 1/T) faible. L'équation est simple : f = (F/ML)^0,5. On peut dire aussi que la période d'un cycle : T = (ML/F)^0,5.

    La différence avec la guitare est que L n'est pas une conséquence de M mais ajustée par le fabriquant.

    Bonne journée à vous deux.

    RépondreSupprimer
  8. Et bien merci pour la confirmation qu'un oscillateur stochastique n'existe que le temps d'un cycle. Cela me va très bien et je n'osais dire que je ne voyais que cette solution.
    Une de mes questions initiales "1. un oscillateur stochastique non synchronisé a t-il une orientation 1 D fixe/figée pour ses cycles?", portait en elle ce blocage, car un oscillateur primordial n'a pas des cycles, mais un cycle. Donc désolé pour ces questions qui tournaient autour du pot !

    L'étape suivante est maintenant celle de la maitrise du processus de synchronisation qui conduit à former un BEC et à sa saturation. En effet, comment, si l'oscillateur n'existe que le temps d'un cycle, arriver à "construire" une structure dans laquelle Xi^11 oscillateurs sont en phase?

    2 pistes:

    1. un très improbable hasard aboutit à créer une structure stable (c'est à dire qui oscille indéfiniment) de n oscillateurs (exemple: naissance simultanée au même point zéro de n oscillateurs, ou bien une combinaison de brassages fait qu'un oscillateur devient stable). Tout nouveau oscillateur qui nait dans ce point zéro stable sera forcément synchronisé avec ceux qui s'y trouvent déjà et le processus se poursuit jusqu'à saturation. La question serait alors: quelles sont les conditions pour aboutir à une structure stable (oscillation entrenue de n oscillateurs via le même point zéro)?

    2. une combinaison quasi impossible dans laquelle Xi^11 oscillateurs naissent en même temps au même point zéro (ce serait plutôt Xi^8 oscillateurs naissent en même temps toutes les 10^-54s, 10^33 fois de suite): c'est vraiment quasi impossible !

    C'est pour cela que je privilégie la piste 1. avec toutes les réserves que cela comporte.

    Qu'en pensez vous Mr Mareau et Jihems?

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Bonjour LC.

      Je vous suis ... ! ;-)

      Je dois reconnaître que, pour ma part, j'en suis encore à comment me représenter un oscillateur 1D dans un espace "sans espace" et qui oscille dans un temps "sans temps" !...
      Et qui, en plus, induit un champ magnétique perpendiculaire à son déplacement - ce qui le ferait ressembler plutôt à une sorte de spaghetti, dans mon imaginaire ! (Mais dans quel espace ?)... Même si je peux accepter le principe de son "moteur" : l'impossible tension vers le zéro physique.

      Bonne journée.

      Supprimer
  9. ces étapes sont primordiales pour le modèle OSCAR, car tout le reste en découle et d'une manière particulièrement crédible (et de façon inégalée). C'est pour cela qu'il faut approfondir cet oscillateur stochastique sous toutes ses coutures !

    RépondreSupprimer
  10. Jihems, pour tenter une réponse je dirais que comme partout dans le modèle oscar il faut raisonner dualité. Les oscillateurs sont nulle part (ce sont des zéros) et partout à la fois (il y en a une infinité). Mais cette formule n'est pas adéquate car elle porte la notion de lieu. Or, il n'y pas de lieu global, mais une somme de zéros étendus non connexes (individuels) : c'est la définition du néant non statique pour oscar (car le néant absolu n'est pas possible physiquement). Pour le temps, c'est exactement pareil. Dans l'oscillateur, il y a le temps du cycle, variable d'un oscillateur à l'autre. Mais au bout du cycle, la "fluctuation" disparait, remplacée par une autre, ou des autres, aux paramètres tout aussi aléatoires et spontanés: c'est le chaos total.
    D'ailleurs ce n'est pas le chaos, car cela suppose un ensemble global ou tout ce qui est à l'intérieur fait ce qu'il veut.
    La, il n'y pas de global, donc pas de chaos. C'est l'entropie maximale, terme non adéquat non plus, car il suppose également un système.
    Le temps global n'existant pas, le néant n'est ni éternel, ni absolu.
    L'espace global n'existant pas, il n'est ni infini, ni réduit à une singularité.

    Cela rejoint les deux impossibilités M>0 et M=0, il faut osciller entre les deux, en ne coutant rien, d'où l'oscillateur dual oscar, parfaitement symétrique, vectoriellement nul en permanence, et scalairement équilibré, et dans lequel M et L sont indissociables.

    RépondreSupprimer
  11. Merci, LC, pour votre effort pédagogique (bienvenu) !

    Je reste, bien évidemment, intéressé par la compréhension du modèle des OSCARs, puisque je ne suis pas partisan d'un acte créateur ou d'un néant initial.
    Cependant, je suis sans doute handicapé par la façon dont je me représente l'espace et le temps ... Mais aussi par le fait que je n'ai pas trouvé de réponse à la question fondamentale : de quoi est faite la matière ?
    Car il me semble que c'est lorsque nous pourrons répondre valablement à cette question que nous pourrons aussi répondre aux conditions de son apparition ...
    Cela dit, et en attendant, j'aimerais bien m'approprier d'avantage le modèle des OSCARs, car il m'apparaît comme solidement construit et parvenant à donner une explication cohérente à bien des aspects de la physique de notre univers actuel.

    Encore merci donc (je vais relire avec attention vos explications) et bonne journée.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Cette discussion est super intéressante ! La piste n°1 de LC est évidemment la bonne. Mais il ne faut pas oublier l'idée que l'entropie a deux voies distinctes : a) la voie classique où sa dimension est physique (énergie) ; b) la voie informationnelle qui se passe de l'énergie. C'est l'entropie du désordre. Or le monde stochastique (la matrice universelle d'univers) est sans énergie aucune ! En revanche, ayant une infinité de coordonnées instables et aléatoires, on peut dire que l'entropie est maximale du point de vue du désordre. Ainsi, quand une partie se "refroidit" (la synchronisation est l'ordre retrouvé dans le BEC où les paramètres d'information sont minimaux). Elle acquière un potentiel énergétique virtuel (non exprimé). Puis quand la saturation-séparation arrive, alors chaque monopôle s'exprime. L'ensemble de la matière voit ainsi son entropie augmenter et va donc en direction de l'état stochastique.

      Heureusement je ne suis pas le seul à défendre l'idée qu'il y a un "pont" entre l'entropie informationnelle et l'entropie énergétique.

      Jihems soulève à nouveau la question : "de quoi est faite la matière ?". Je ne reviendrai pas sur l'atome d'hydrogène qui possède un noyau fait de couches neutres de paires électron-positrons et un positron confiné et célibataire. Je suppose que Jihems veut se représenter de quoi est fait physiquement, un électron ? Tout ce que je peux dire, c'est qu'il s'agit d'un oscillateur couplé aux dipôles du tissu d'espace-temps.

      Oui mais qu'est-ce qui oscille ? C'est une version modifiée d'un pôle du dipôle originel. Ce n'est plus la masse M et l'espace L mais la masse M et l'espace L². C'est ce que dit son "spin" qui est de dimension : M L²/T. Alors est-il complétement monopôle (électrique) ? Non car son "habillage" atteste qu'il est couplé avec un pôle d'un oscillateur dipolaire d'espace-temps. Ce pôle est donc en asymétrie avec son alter ego et c'est cela qui permet de lui extraire de l'impulsion M L/T qui l'habille. Mais le L² devient L car le dipôle est en 1D.

      Tout cela pour déjà dire que l'électron seul n'existe pas ! Il est couplé à l'espace-temps qui s'étale dans tout le BEC (150 000 années-lumière). La masse n'est pas un objet classique et de plus elle est indissociable de son reflet spatial. L'électron continue à chercher le zéro absolu MAIS il est dans le carcan du T imposé par les dipôles du BEC. Autrement dit, il a trouvé une origine constante de presque zéro ! Selon Oscar sa masse évolue entre une valeur max et ce presque zéro. En labo on ne connait que sa moyenne (1/2). Cher Jihems à défaut de dire à quoi ressemble ce ML² oscillant, on peut dire pourquoi il est là et où il va. Je pense sincèrement que c'est cela qui est important.

      Bien à vous deux !

      Supprimer
  12. A Mr MAREAU : merci également pour votre réponse.

    RépondreSupprimer

Enregistrer un commentaire

Posts les plus consultés de ce blog

L'atome Schrödinger-Oscar

La Bulle Univers est un trou noir

D'où vient la fameuse constante de structure fine = 1/137,03599.. ?