Galaxies sans matière noire

Le modèle standard considère avec raison, que la dynamique des galaxies ne peut s'expliquer qu'avec la présence majoritaire de matière noire étendue dans un grand halo. Mais le problème est qu'il ne l'explique pas ! Le modèle MOND essaie d'expliquer cela en posant l'hypothèse que la gravitation que l'on connaît, s'exprime différemment à cette échelle. Mais cela s'appelle une hypothèse ad hoc ou une spéculation. Récemment, des astrophysiciens découvrent voir ici plusieurs galaxies dépourvues de matière noire. Leur dynamique se passe de matière noire, contrairement à la grande majorité des galaxies. C'est une surprise totale car pour le modèle standard, les halos sont fait de matière noire. Cette observation est cohérente avec le modèle OSCAR qui indique clairement que le halo est un empilement de BECs qui peuvent – ou non – contenir de la matière noire. Il fait bien la différence entre le contenant et le contenu ! Mais ce n'est pas tout, le modèle OSCAR indique pourquoi et comment apparaît la matière noire dans la plupart des galaxies. Il indique aussi que la gravitation est effectivement duale (comme toutes choses par ailleurs) dans le BEC. Cependant elle n'a absolument rien à voir avec la dynamique de la galaxie comme le modèle MOND le suppose. D'ailleurs ces dernières observations viennent réfuter ce modèle.

1 . Le mécanisme de collisions de galaxies : toutes les galaxies viennent de l'aire du BEC-fossile, entré en mitose fractale. Selon leur positions angulaires relatives sur le BEC, la collisions va annihiler partiellement la matière visible. Si les galaxies se rencontrent de pleine face (angle de 180°), alors l'annihilation sera totale (ou binaire). Mais si par exemple, elles proviennent de positions écartées d'un angle de 45°, alors l'annihilation se fera selon le sinus de cet angle soit 0,5 ! L'annihilation « en partie » dégénère les masses élémentaires que sont les paires électron-positrons. Elles ne répondent plus à la loi de Compton et ne forment plus de proton-neutrons. Ce sont ces derniers qui émettent de la lumière (rayonnement de 21 cm). Lors des collisions, cette matière noire se divise en deux parts de tailles aléatoires. Une part s'échappe et une part reste concentrée dans les galaxies concernées. Mais selon les conditions dynamiques de la collision, la part destinée à la concentration dans la galaxie résultante, peut-être faible ou nulle. Cela est statistiquement faible et c'est pourquoi c'est peu observé. Quand la part concentrée est réelle, elle amorce un trou noir au centre de la galaxie résultante. La gravitation amène les BECs à s'empiler dans le bulbe et donc à renouer avec la saturation originelle. Cela se traduit une émission de paires électron-positrons (ces jets son effectivement observés). Ensuite une partie de cette matière se rencontre et produit de la matière noire semi-locale. Celle-ci possède un taux faible de liaison au BEC et donc migre dans le halo galactique. La plupart des galaxies fonctionnent comme cela, mais pas toutes !

2. Les galaxies sans matière noire : Les collisions sont telles que toute (ou presque) la matière quitte les protagonistes. Il n'y a donc pas d'amorce pour le trou noir central  dans la galaxie résultante ! Or on observe que ces galaxies n'ont pas de trou noir central. On observe également l'absence du renflement (bulbe) qui trahirait l'empilement de BECs. Donc pas d'émission de matière noire ! On observe avec surprise que la masse visible explique bien la dynamique de la galaxie. Encore une fois, le modèle OSCAR est en accord avec les observations qui gênent tant les autres modèles.