Typologie d'une galaxie ordinaire
Le
modèle standard a classifié les galaxies selon leur morphologie,
leur structure et leur activité. La majorité (61 %) est de
type spirale. Depuis plusieurs décennies, on a constaté que la
dynamique des galaxies ne s'expliquait qu'en prenant en compte une
masse noire d'environ 5 fois la masse lumineuse. Cette dernière,
répartie dans un large halo, induit une vitesse de rotation assez
constante en fonction du rayon. Cela ne serait pas le cas sans cette
matière noire (D.M). Comme le modèle standard n'explique pas la
D.M, le physicien MILGROM a proposé la théorie M.O.N.D qui
considère que la gravitation à l'échelle de la galaxie est
différente de celle dont on connaît les effets courants. Cependant,
on vient de voir récemment que la dynamique
de certaines galaxies, se comporte sans recourir ni à la D.M ni
à la théorie M.O.N.D. Par ailleurs ce type de galaxie n'a pas de
trou noir central, ni de bulbe. Le modèle standard ignore pourquoi
la plupart des galaxies, ont un trou noir. Comment est-il
apparu alors que les étoiles du centre tournent à une très
grande vitesse ? Par ailleurs, il n'explique pas pourquoi ces trous
noirs centraux émettent des jets collimatés de matière. D'où
sort-elle ? Enfin, concernant l'immense halo qui entoure les
galaxies, le modèle standard fait un amalgame entre contenant et
contenu. Il considère que le halo est fait de matière noire alors
que ce sont des BECs enchevêtrés qui ne font que contenir
de la matière noire. Le modèle OSCAR quant à lui, s'intéresse aux
causes et pas seulement aux effets. Rien ne peut se comprendre si on
ne définit pas précisément ce qu'est le Big Bang. Tout se joue à
partir du BEC fossile et de sa mitose
fractale. La délocalisation
de sa matière sur la surface du BEC, implique que les galaxies
éjectées se croisent et entre en collision. Cela revient à
relocaliser des éléments
séparés qui devaient s'annihiler. Mais l'annihilation ne sera pas
de type binaire mais analogique
en fonction de l'angle des origines.
la « brique » élémentaire de la matière, devient
« gravats informe ». C'est la matière noire qui ne peut
plus s'agréger en proton et hydrogène. Dans la figure
du dernier billet on voit que la production de de matière noire
se répartit statistiquement entre un nuage fuyant et une
concentration au coeur de la galaxie résultante.
1.
L'amorce du trou noir vu par le modèle
OSCAR : la figure ci-après montre qu'une galaxie
typique, se divise en 4 parties : a) le coeur en matière
noire ; b) le trou noir agrégé ; c) la partie visible ;
c) le halo qui est une concentration de BEC-étoiles. Cette matière
noire est hyper concentrée car rien ne l'empêche de se réduire à
sa plus simple expression. Le spectre des « gravats »
s'étend de >0 à <1 électron. La moyenne vaut 1/2 électron.
Le « gravats » se comprime jusqu'à sa taille
corpusculaire ! Elle vaut la longueur de Compton divisée par
ξ soit
: ƛo
= ƛe
/
ξ =
10–24 m . Ainsi
un volume de rayon : ƛDM
= ƛe
ξ
= 5 ×10–2
m (5 cm) peut contenir : ξ6
« gravats » soit exactement α²
fois la masse d'une étoile primordiale. Cela équivaut à 6
millions de masses solaires ! Cette forte densité (neutre) est
bien supérieure à celle des étoiles à neutron. Cela explique la
cause de la formation du
trou noir central. En effet, sans cette amorce,
on ne peut expliquer sa formation.
2.
Les jets de matière : ils
proviennent du trou
noir du centre de la galaxie. Le modèle standard considère que
ces jets pourraient provenir de l'accélération de la matière à la
tangente du trou noir. Il est vrai que ce phénomène n'est pas
impossible. Mais une grande partie sort réellement du trou noir.
Comment ? Tout simplement parce qu'ils s'agit des dipôles éjectés
par saturation du tissu d'espace-temps. Le trou noir représente un
grand nombre de BEC-étoiles empilés. Ainsi le point zéro commun
est saturé ! Il se comporte comme le BEC fossile, en
délocalisant les dipôles faisant ainsi des monopôles
séparés. L'énergie cinétique des monopôles est ξ
fois celle de masse d'un électron. C'est la raison pour laquelle
elle peut vaincre largement la gravitation du trou noir ! Les
« rayons cosmiques » les plus énergétiques ont
justement cette limite égale à ξ
fois celle d'un électron ! C'est la limite relativiste indiquée
par le modèle OSCAR.
3.
La migration de matière noire dans le halo :
la figure montre que les jets de matière peuvent ensuite se croiser
et entrer en collision. Cette relocalisation produit la matière
noire exactement comme celle produite par les collision de galaxies.
Cette D.M migre vers les limites du halo de BECs. Ce flux représente
typiquement, 5 fois la masse lumineuse.
Il y a quarante années , on ne voyait que la partie visible de la galaxie. Puis successivement, on a vu le halo et le trou noir central. Aujourd'hui le modèle OSCAR indique que ce trou noir est amorcé par de la matière noire hyper concentrée. La matière noire est partout : au cœur des galaxies ; dans le halo ; dans l'espace inter galactique et dans des galaxies noires. Elle vaut 5 fois la masse dans la galaxie typique et 70 fois la masse totale, hors des galaxies visibles.
RépondreSupprimerBonsoir Mr Mareau,
RépondreSupprimerdésolé de revenir sur une question que je trouve importante: vous confirmez que l'annihilation de la matière (noire et ordinaire) dépend de l'origine des angles sur le BEC fossile, et non pas de l'angle réel lors de la collision?
L'enchainement rapide des collisions du début ont du modifier en profondeur les angles relatifs !
Y a t-il une physique spécifique de la matière noire, qui permettrait par exemple de concentrer beaucoup plus la matière noire que la matière ordinaire?
Si une masse énorme de matière noire est concentrée dans 5 cm, cela n'implique t-il pas un L immense (bien plus que 150 000 années lumière de rayon)?
Oui cher LC, il s'agit bien de l'angle relatif des origines sur le BEC-fossile. La matière formant ces galaxies a été délocalisée (ou séparée) et c'est pour cela qu'elles existent. Puis la relocalisation par collision annihile en fonction des angles des positions relatives sur le BEC. Si l'angle est de 180° alors l'annihilation est totale. Si l'angle "a" est intermédiaire alors l'annihilation est fonction de "a".
RépondreSupprimerEn revanche, vous avez raison, l'angle dynamique local de la collision, influe sur la répartition entre le nuage fuyant et la partie concentrée.
La forte gravitation concentre les protons et neutrons mais cela déclenche la fusion et donc la radiation qui résiste à la condensation. Si la gravitation vient à l'emporter alors les électrons périphériques pénètrent les protons qui deviennent donc des neutrons. C'est l'étoile à neutrons, très dense. Mais cela n'est rien en regard des "gravats" des paires électron-positrons dégénérées. Ces derniers tendent à s'agréger comme un empilement neutre. Les "+ " et "–" (partiels mais symétriques) s'attirent violemment jusqu'à masquer les charges dans un modèle statique ultra comprimé. La taille particulaire est celle de la corde dipolaire (xi fois plus petite que le rayon de Compton de l'électron). Ainsi la "boule" de 5 cm contient au mieux, l'équivalent de 65 millions de la masses solaires. Mais rien n'empêche qu'elle soit plus grande. Il y a forcément des galaxies noires et ce n'est pas étonnant d'avoir autant de loupes gravitationnelles pour observer les étoiles lointaines.
L'empilement de DM, de type statique, n'a rien à voir avec un oscillateur contraint par la règle ML = Cte. De ce fait la DM viole la règle : ML = Cte.
Bien à vous
Bonjour Mr MAREAU.
RépondreSupprimerPeut-être avez-vous vu cet article ?
https://trustmyscience.com/astrophysiciens-detectent-72-explosions-lumineuses-rapides-origine-inconnue/
La théorie des OSCARs a-t-elle des éléments de lecture de tels phénomènes ?
Bien à vous.
Bonjour Jihems.
SupprimerIl y a plusieurs causes répertoriées par le modèle standard. Mais il est vrai que le modèle OSCAR indique que les collisions de galaxies, produisent de la matière noire. Le spectre de ce phénomène est large car il est concerné par un large spectre d'angles + un spectre de tailles des éléments dégénérés par l'annihilation analogique. Par exemple, le lien parle d'un température de 10 000 à 30 000 ° Celsius. Comparée la température de l'électron (5×10^9 K) qui serait le résultat d'une annihilation totale pour 180° d'angle relatif, on a ici un angle faible de l'ordre 1/10000. En gros les galaxies étaient éloignées de 10^21 m / 10000 = 10^17 m sur le BEC fossile. Elles étaient donc relativement voisines, d'où leur basse température d'annihilation.
Ensuite il y a la taille du halo lumineux : le lien parle de en gros de 50 milliards de km soit 5×10^13 m. Cela correspond à une région qui est environ 10^8 fois plus petite qu'une galaxie typique. On peut penser qu'il s'agit de nuages d'hydrogène en cours de contraction (encore à 1000 fois le diamètre d'une étoile). Ainsi le croisement (avec contact réel) de galaxies, ne touche qu'une petite partie des belligérants.
Donc on devrait observer dans l'avenir, un spectre large de tailles et de températures qui signent les photons relatifs à des annihilations partielles avec une contrepartie matière noire. Ces régions de galaxie peuvent également être des nébuleuses. Mais dans le cas cité, on part de nuages d'hydrogènes en cours de contraction puisque la lumière disparaît dans un second temps.
Bien à vous
Merci d'avoir répondu ! Je constate, une fois de plus, que pour la théorie OSCAR, la DM n'est en rien une supposition, mais un acteur bien réel des phénomènes ...
SupprimerBonne journée
Encore une fois merci pour vos compléments Mr Mareau.
RépondreSupprimer1. si un trou noir est particulèrement concentré en matière en son noyau, cela laisse supposer qu'il peut exister une zone encore "navigable" au delà de l'horizon des événements, de laquelle on ne peut revenir...
2. le caractère statique de la DM en ce noyau ultra dense est forcément limité afin d'éviter l'inertie infinie.
3. n'est ce pas par ce noyau que pourrait se faire l'évaporation des trous noirs? par disparition des dipôles qui ne peuvent plus osciller quand ils arrivent à la taille de la corde dipolaire?
4. cette sphère ultra dense est l'opposé du néant (somme infinie de zéros relatifs). Comment la définir: somme finie d'inerties non oscillantes?
Bonjour LC.
SupprimerOui il existe une zone proche des trous noirs où dans certains cas (assez rare) les étoiles peuvent rebondir ou tourner rapidement pendant un certain temps.
Oui la limite de concentration de DM est donnée par l'épaisseur moyenne de la corde dipolaire.
L'évaporation du trou noir n'a rien à voir avec l'évaporation (plutôt une violente extraction) des dipôles des BECs serrés du centre en les séparant en monopôles.
De toutes façon le destin des concentrations de DM est de finir par se rencontrer mutuellement et s'annihiler totalement. Selon Oscar nous ne sommes qu'à 5% de ce terme.
Bien à vous