Le fond diffus, enfin expliqué
Si
le fond diffus cosmologique est parfaitement mesuré à 2,73
K, les tenants du modèle standard, n'en expliquent pas
l'origine. Ce modèle fixe l'origine au mystérieux Big Bang faisant
lui-même l'objet de nombreuses énigmes et contradictions. Dans le
modèle mathématique de Friedmann, il y a bien une équation qui
fixe l'âge de l'univers mais la précision de cet âge ne revient
qu'à l'opération de mesure. On mesure le décalage vers le rouge de
fréquences d'atomes, bien connues. Plus ce décalage est grand, plus
la vitesse d'éloignement est grande. Connaissant la vitesse des
photons, on en déduit l'âge de l'univers et le rayon de Hubble.
Mais le modèle standard évoque un scénario spéculatif où la
température d'origine est telle que les électrons ne sont pas
encore liés aux noyaux. De ce fait, ils absorberaient tous les
photons ! Il faudrait attendre 380 000 ans pour « libérer
les photons ». Ainsi la surface embrassée est appelée
« surface de dernière diffusion ». Dans cette
spéculation, l'origine du Big Bang, est la longueur de Planck (1)
fixée à : 10–33 m. Ainsi on
en déduit la température de Planck qui est 1022
fois celle de l'électron. Puis on s'aperçoit avec stupeur que le
fond diffus est causalement lié dans son ensemble ! Qu'à cela
ne tienne, on rajoute une couche de spéculation, en inventant une
opportune inflation de vitesse !
De ce modèle rafistolé, on indique que les premières particules
sont les quarks, les électrons, les photons.... mais sans
aucune justification quant à
leur provenance ! Elles apparaissent magiquement....
d'une énergie divine ? Beaucoup de physiciens ont vu que ce
modèle est de plus en plus branlant au fur et à mesure de
l'amélioration des observations. Certains ont préféré « se
passer du Big Bang ». Comme il est trop difficile à
appréhender, alors on élude l'aspect « origine ». Ces
« frondeurs »
considèrent que les galaxies se forment seules par rapport à une
mystérieuse matière inerte primitive. Bien sûr, là non plus,
rien n'est justifié... sauf le fait que les galaxies ont
effectivement ce pouvoir de briser les dipôles pour en faire de la
matière. Le hic est que cela ne concerne qu'une très faible
partie de la matière ! En fait, cette production continue,
arrive à peine à compenser les pertes liées à l'augmentation
d'entropie de l'univers. En gros, les premiers spéculent en
rajoutant des « jambes de bois » et les seconds éludent
l'aspect « origine ».
1. Origine
de l'avant Big Bang par Dirac-Oscar :
la violente mitose fractale du BEC fossile est conséquente à la
saturation et superposition des cordes
dipolaires oscillantes. Ces dipôles ont une origine stochastique,
liée à l'impossibilité à chaque pôle,
d'atteindre le zéro absolu ! C'est la genèse
physique et canonique, de
l'impulsion
de Dirac. Le spectre potentiel des origines inertielles à
l'approche du zéro absolu, est infini. Le zéro
absolu est interdit en physique ! De ce fait plus
l'inertie M d'un pôle approche
du zéro, plus l'amplitude L à
venir, sera grande. Cette loi est très largement la
plus universelle de la physique : ML
= Cte. Ainsi les pôles s'annulent dans chaque dipôle qui
forment les zéros
relatifs !
L'état primitif et permanent de l'univers, fait de cordes
oscillantes 1D non connexes, brassent dans une entropie
informationnelle maximale. Ce brassage intense, dans un temps qui ne
s'écoule pas, finit par synchroniser
des dipôles pour former un BEC. Le flux de synchronisation est
arrêté par la superposition des cordes. Cela brise les seuls
dipôles périphériques (2) qui
séparent à grande distance, les monopôles. Le ML
de ces monopôles correspondent exactement au
ML de l'électron et du positron. Des dizaines de
relations physiques connues mais mal
exploitées, ne disent que cela. Ainsi tout est largement
justifié et permet de lever les 53 énigmes recensées. Vous
avez dit recensées ? Oui même ce travail est éludé par les
tenants du modèle standard. Quand on commence à mettre la poussière
sous le tapis, on ne sait plus s'arrêter.
2. L'origine
justifiée, du fond diffus : la mitose fractale du
BEC fossile est précédée par une immense annihilation d'une partie
des monopôles, lors de la séparation des dipôles. Ces monopôles
étant des paires électron-positrons, la température d'origine est
donc connue soit: 5,9×109
K. On connaît le rayon du BEC : RBEC =
150 mille années lumière. Par définition la mitose, motivée par
la baisse de densité, produit des BEC de taille identique à celle
du BEC fossile. Par ailleurs, le modèle OSCAR montre que que la
mitose fractale génère un spectre
d'expansion allant de 0 à 5 c avec une moyenne à 2,5
c ! Il montre que notre position est liée à la
vitesse : v = 0,51 c. Ainsi les photons émis à 5,9×109
K, ce sont amortis en 1/r² jusqu'à atteindre les 2,73 K
mesurés. Il suffit de multiplier le rayon du BEC (divisé par c)
par la racine carrée de ces températures pour confirmer l'âge de
l'univers mesuré. (voir relation en haut du dessin ci-après).
Ainsi la spéculation portant sur la surface de dernière diffusion,
disparaît car les électron-positrons forment les proton-neutrons,
dès le début de l'expansion !
3. Le
BEC fossile est visible ! : on observe avec stupeur
un unique et immense « trou » dans l'univers en direction
de l'éridan. les mesures montrent que ce trou de 1,8
milliards d'années lumière, est situé à environ 7 milliards
d'années lumière. Là encore on se doit d'éluder ce problème.
Vous savez comment ? On a décidé de l'appeler le « point »
froid. Voilà une définition du verbe « éluder » :
appeler « point » une structure de près de 2 G.y.l !
Cette observation vient encore une fois de plus, confirmer le modèle
Oscar qui attend le BEC-fossile, à cette distance. La formule (en
haut à gauche du dessin) inclut une vitesse d'expansion locale, à
v = 0,51 c . De plus les bords du BEC fossile accélèrent....
comme il se doit !
4. L'accélération
de l'expansion (locale) est expliquée : c'est un grand mystère
pour le modèle standard ! C'est tellement époustouflant que
certains préfèrent nier (éluder) les observations ! Pourtant
cette accélération
est attendue par le modèle Oscar. Il y a là
encore un problème de localité !
A l'échelle cosmologique, notre horizon nous permet de voir des
photons à une distance double de la coordonnée du BEC fossile !
C'est le rayon de Hubble. Cependant, comme les photons de ces
galaxies ont voyagé, la distance réelle est plus grande. En clair,
tout notre horizon cosmologique est en accélération ! N'est-ce
pas normal si la moyenne d'expansion est à 2,5 c ? En fait, les
lois de la gravitation ne sont donc pas violées car la moyenne
ralentit bien comme il se doit. En revanche, les couches en avance
ralentissent énormément pour compenser l'accélération des couches
en retard dont nous faisons partie ! Si le principe est clair,
comment expliquer qu'environ 66 % de l'énergie est de type
« sombre » c'est-à dire non expliquée ? Ainsi 33 %
serait la somme des masses visibles et noires. En bas à droite du
dessin, on montre que l'énergie d'expansion n'a rien à voir avec :
m c². C'est
précisément : m v² / 2.
Si l'on compare les deux, on peut éliminer m.
Ainsi on voit que :
1/2
(2,5 c²) = 2
c²
Donc
la part matière vaut 1/3 du total soit 33,3 %. L'explication du
principe est confirmé par les mesures car : 66,6 % = 2 ×
33,3 % = 2/3 du total. Cette forme simplifiée est proche de la
mesure par
le satellite Planck, soit 68 % et 32 %. En revanche, le
modèle Oscar, ramène la part visible à ~1 % de la part
« matière » et non à 5 % !
(1)
cette longueur est celle qu'aurait du avoir le rayon du proton si la
mitose n'avait pas eu lieu. Elle n'existe donc pas. A court
d'argument on a utilisé cette longueur qui est la seule longueur
disponible quand on a rien de concret pour expliquer la cause du Big
Bang. Mais le modèle Oscar montre que la mitose concerne le BEC
(Condensat de Bose Einstein) dont les dimensions sont parfaitement
connues (150 mille années lumière).
(2)
les charges superposées en périphérie, annulent les liens radiaux
dipolaires. Mais tous les dipôles (majoritaires) du volume du BEC,
restent en l'état et forment le tissu d'espace-temps dans lesquels
les monopôles (matière) viennent se concentrer sous l'effet de la
gravitation.
En
résumé :
01)
la singularité de l'immense « trou cosmique », plaide
pour sa position centrale et originelle
02)
ce trou est le BEC fossile en forte accélération, comme
attendue par le modèle Oscar
03)
la croissance du rayon : r
= 0,9 G.y.l en T
=13,8 G.y, donne une moyenne : v(r)
= 0,065
c
04)
il est confirmé que la température initiale est relative à
l'annihilation d'électrons
05)
l'accélération de l'expansion, est expliquée par la mitose
fractale en 5 éjections à v = c
06)
la magnitude de l'accélération (locale) est compatible à la
mesure
07)
la gravitation joue bien son rôle mais sur la moyenne d'expansion
à : v = 2,5 c
08)
le gradient d'expansion en couches, induit l'isotropie de
l'éloignement des galaxies
09)
le modèle mathématique de Friedmann est largement en contradiction
avec l'observation
10)
le fait que le fond diffus soit dipolaire confirme l'origine
centrale
11)
l'écart de température de 10 %, est positif du côté du
centre
12)
une seule paire de particules originelles suffit (exit les familles
de quarks injustifiées)
13)
l'existence de la paire électron-positron est justifiée en amont
14)
il n'est pas besoin d'évoquer la spéculative température de
Planck, pour l'origine
15)
la distance R = 7,1 G.y.l est
liée à notre vitesse moyenne d'expansion par : v(R) = 0,51 c.
16)
R, r, T étant connus, on peut confirmer
v(R) par : 0,51 c= 0,065 c × R / r.
Comme souvent en physique, les mathématiciens confondent la cause avec l'effet. C'est le cas pour le modèle d'univers de Friedmann. La relativité générale est un EFFET lié à la CAUSE structurelle de la mitose des BEC-matières en expansion. Si la gravitation permet l'accrétion en étoiles (1), elle ne structure pas l'univers dans son ensemble. Elle est juste une CONSÉQUENCE de la séparation des monopôles sur l'aire holographique du BEC fossile.
RépondreSupprimer(1) si c'est vrai sur le principe, il faut cependant le concours des BECs pour "mouler" les étoiles primordiales et également accélérer leur formation. Il est vrai qu'au début du siècle dernier, Friedmann n'avait pas à disposition toutes les observations modernes qui contredisent son modèle. Ce qui est grave, c'est le conservatisme de certains physiciens d'aujourd'hui qui éludent les observations modernes qui ne vont pas dans leur sens ! Ils fragilisent ce qui est bon dans le modèle standard et ce faisant, laissent la place à d'autres spéculateurs qui s'empressent de nier le Big Bang.
Bonjour Dominique. Vous avez décidément réponse à tout, l'équation de l'âge de l'univers m'en bouche un coin, tout comme évidemment celle de la température du fond diffus. Vous ne laissez rien au hasard, comme si les équations étaient fittées pour que les chiffres collent :-)
SupprimerBonjour Nolats, Oh, je n'ai pas réponse à tout mais en étudiant attentivement un maximum d'observations à toutes les échelles, on peut faire des itérations avec les lois CONNUES. Le problème est qu'aujourd'hui il n'y a plus que des spécialistes pointus. Je connais bien ce problème où le spectre des chercheurs est de plus en plus serré et les ponts entre spécialités sont rares. J'ai eu dans ma vie à traiter ce genre d'autisme chez des ingénieurs par trop spécialisés. C'est le revers de la médaille de l'hyper spécialisation, presque plus personne ne s'occupe de la vue d'ensemble. Je répète que les tenants du modèle standard ne font pas le travail du recensement des toutes les énigmes du modèle. Mon recensement en compte 53. Tout enquêteur doit commencer par ce travail. Cela permet de poser les bonnes questions.
RépondreSupprimerIl est bien vérifié qu'une question bien posée contient en elle-même une bonne partie de la réponse. Ici la question doit embrasser toutes les énigmes car leur consolidation, porte en elle, une partie des réponses.
on en revient à l histoire de la vue globale cde l elephant!
RépondreSupprimerOui ce conte met bien en avant la dualité de localité qui m'est tant chère !
RépondreSupprimerBonjour Dominique. L'intuition ordinaire pousse à considérer qu'à partir de quelque chose comme un nuage primordial, les différents mouvements, interactions et collisions conduisent à des irrégularités, de telle sorte que ce qui en résulte comporte une large part d'aléas, notamment des étoiles et galaxies en nombre non déterministe, de taille très variables et de distribution inhomogène à "moyenne échelle", et une proportion de déchets (DM et tutti quanti) non prédictible. C'est pourquoi les verrues apportés au modèle standard ne choquent pas plus le vulgum pecus que les savants, résignés au constat que plus ça va, plus la solution fuit vers davantage de complexité (même les tentatives de théories simplifiées à base de quarks ou cordes se complexifient exponentiellement au fil du temps).
RépondreSupprimerD'où la surprise de lire dans le modèle Oscar des équations déterministes sur des grandeurs que l'on pouvait penser comme étant la résultante conjoncturelle d'un certain foutoir cosmique.
Ne soyez pas surpris car les équations déterministes Oscar, ne concernent que les galaxies et étoiles primordiales qui sont préformées sur l'aire holographique du BEC fossile. Les évolutions à suivre, sont effectivement très brouillées mais il reste quand même le schéma étoile galaxie.
RépondreSupprimerBonsoir Mr Mareau, l'équation déterministe qui "règle" tout le reste est ML=Cte. Exprimée comme cela, je trouve que cela donne trop d'importance au formalisme mathématique face aux phénomènes physiques (impossibilité du zéro ou de l'infini, indissociabilité de M et de L, l'un étant le reflet de l'autre, dualité, localité étendue, etc).
RépondreSupprimerC'est comme si les maths exprimaient bien le "comment" bien souvent plus strictement et froidement que la réalité physique du "pourquoi".
Je n'ai rien contre les math tant qu'elles expriment des considérations d'ordre physique. En fait c'est souvent la saine chronologie Physicien → Mathématicien qui n'est pas respectée.
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