L'éternité paradoxale de l'univers (suite 2)
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Sceptique : j'ai compris : on ne peut avoir ni Mo = 0
(absolu) ni M > 0 (injustifiable même en mode de variation
aléatoire). Mais cela nous mène où ?
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Cela nous mène tout droit à l'obligation d'osciller !
La notion d'oscillation inertielle est omniprésente. L'oscillation,
est le seul moyen de (paradoxalement) chercher le zéro tout en
l'évitant ! On ne peut pas parler d'un réseau de
points élémentaires ! Il n'y a pas de connexions mais que des
éléments aléatoires qui fluctuent. Dans le confinement
de chacune des « vaguelettes » véritables particules
élémentaires aléatoires, une origine Mo quelconque, aussi petite
qu'elle puisse être, cherchera toujours à atteindre l'impossible
zéro. Le zéro absolu est un puissant attracteur mais impossible à
atteindre !
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Sceptique : pas d'accord car l'oscillateur aura forcément un
M moyen > 0 et qui l'aurait mis ?
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Bonne remarque ! Mais la nature a contourné le problème car
elle est intrinsèquement symétrique.
Elle s'exprime donc ici par une dualité
fondamentale sous la forme d'oscillateurs
dipolaires. Chaque
point (aléatoire) est formé de 2 couples ML opposés qui oscillent
en opposition. Donc, aux bornes de cet oscillateur, les M, L
s'annulent parfaitement dans un zéro non plus absolu mais relatif.
On a : M L+ + M L– = 0. L'universalité
de la dualité s'applique d'abord aux zéros !
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Sceptique : je croyais que la notion d'inertie M était un
scalaire et donc sans signe algébrique !
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C'est tout à fait exact mais dans le cadre de l'entité
indivisible ; ML = Cte, c'est le caractère L (spatial) qui
assume le caractère algébrique ! Les deux longueurs sont
opposées.
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Sceptique : oui mais dans le référentiel « 1 pôle »,
une inertie (variable) existe quand même ?
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Oui mais le référentiel « 1 pôle » ne peut pas exister
seul. Imaginons une vague qui ne ferait que monter ! Une vague
monte et descend alternativement et l'on ne peut la scinder !
Ainsi le référentiel « 1 pôle » est à jamais
confiné ! Par analogie, le
déconfinement des quarks d'un noyau, les condamnent à disparaître.
Il deviennent instables ! Dans un pôle confiné, l'inertie peut
prendre toute valeurs d'origine, arbitrairement très proches du zéro
(absolu). Cependant, il existe toujours un nombre infini d'états
intermédiaires possibles avec le zéro absolu. Cela veut dire que
chaque cycle de M passe par un origine (appelée point zéro) qui lui
donne une possibilité infinie d'avoir différentes valeurs
originelles. Contrairement à ce qu'à dit Einstein , la nature joue
bien aux dés ! Si Mo est très petit alors son cycle à venir
aura une très grande amplitude ! Cela laisse entendre un
déphasage entre ces deux entités liées. Mais pour toutes valeur de
la magnitude M à chaque nouveau cycle, elle sera annulée par son
alter ego, aux « bornes » du dipôle. Ainsi le paradoxe
fondamental est contourné par la symétrie duale, exprimée dans
chaque oscillation sous sa forme dipolaire.
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Sceptique : mais cela ne me dit pas ce qui oscille vraiment,
quelle est la substance ?
- La
« substance » néant est caractérisée par son
indétermination inertielle. En fait chaque « point indéterminé
» du néant, possède un paradoxe sous la forme d'une incertitude
(non liée à la constante ħ)
quant à son inertie M. Elle doit forcément osciller dans une
dimension (ou 3 dimensions compactées). L'espace 3D, en réseau,
n'existe pas encore. Son apparition sera justifiée plus tard, dans
le détail car il n'est pas question de spéculer sur quoi que ce
soit. Donc ce qui oscille est apparenté à des fluctuations
stochastiques du néant. Dans la « mer-néant », il n'y
a pas de place pour des zones stables et statiques. Ce statique est
interdit car il implique des valeurs constantes, injustifiables par
nature ! Les clés sont : paradoxe inertiel, dualité des
zéros, symétrie oscillante.
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Sceptique : donc je dois admettre que l'univers possède un
état éternel sous forme d'une infinité d'oscillateurs dipolaires
sans constante et non exprimés. Il existe un dual au zéro absolu
qui est ce zéro algébrique ou relatif. Mais si le zéro absolu
était trouvé par hasard dans un des oscillateurs, que se
passerait-t-il ?
- Il
déboucherait sur une amplitude infinie donc il est à jamais
injustifiable et impossible. La non oscillation condamne toute
évolution. D'ailleurs l'oscillation s'arrêterait et on pourrait se
demander qui a mis en place cet espace (1D) infini ? En
revanche, le fait que M L = Cte permet de montrer que cette condition
permet l'application physique de l'impulsion
de DIRAC. C'est le « moteur » de l'oscillation
(qui ne coûte rien). Les deux paramètres de DIRAC (x, y) sont
fondamentalement M, L. Son approche de nature mathématique a en
fait, cette origine physique (comme toutes choses par ailleurs).
A
suivre (2)
J'écris mon troisième livre en direct ! Bien sûr il sera amendé et corrigé au fil du temps. Ah le temps !
RépondreSupprimerBonjour Mr MAREAU.
SupprimerContinuez à écrire directement votre troisième livre, nous attendons la suite ... (en espérant que vous allez bien) !
Bonne journée.
Oui je vais bien, j'étais juste absent 3 semaines et me voilà de retour !
SupprimerEncore un peu de patience .....
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