La cause du Big Bang ou mitose (suite 9)
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Sceptique : donc les
électrons libres tendent à compenser la polarisation du vide qui
serait plus positif si les neutrons restaient stables. En fait dans
un monde imaginaire ne
comprenant que des
neutrons, l'espace-temps serait
légèrement plus positif
que neutre. Ce serait une
neutralité relative et non absolue. En
libérant l'électron, le neutron compense l'asymétrie
naturelle crée par deux couches concentriques.
il existe cependant des
cas où des positons sont émis à
partir de certains atomes
!
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Exact et de plus, cela
explique pourquoi le neutron n'est
pas stable !
Cependant il faut bien
préciser ce
que veut dire « émission » . Deux cas sont possibles :
a) un électron est véritablement émis et quitte le confinement du
noyau de l'atome ; b) une paire électron-positron est créée
au sein du noyau qui garde l'électron et laisse sortir le positron
(voir
tomographie). Mais
dans ce cas il s'agit d'une création
locale et le
positron est vérifié
comme typiquement
instable !
Voilà le piège dans
lequel sont tombés les adeptes du MS ! Il convient de regarder
en face, les actions
physiques qu'implique
la notion de localité.
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Sceptique : revenons
à la surface du BEC primordial. C'est
donc l'annihilation qui provoque des trous qui agrandissent les
intervalles élémentaires qui deviennent le rayon de Compton des
électron ?
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Pas tout à fait ! Par
définition, les
intervalles sont égaux aux longueurs élémentaires centrées sur
les pôles séparés. En quelque sorte le nouveau « point
zéro » de l'électron est localement
un pôle (1D)
de dipôle. Il oscille radialement entre ce petit rayon qui
est ξ
fois plus
petit que son rayon de Compton.
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Sceptique : mais
alors comment apparaissent les protons, noyaux de l'hydrogène, base
de toute la matière ? Pourquoi cette masse précise de 1836,15
électrons ?
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C'est le fameux problème
de la hiérarchie des masses qui reste une des
53 énigmes
traînées par le modèle
standard. Pour comprendre cela il nous faut d'abord détailler
pourquoi et comment survient la
mitose
fractale.
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Sceptique : elle aussi ne concerne que la couche externe, celle
de la matière ?
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Non la mitose concerne toutes les autres
couches du BEC ! La cause
vient de l'isotropie de la densité. La saturation des intervalles
tangentielles, ne concerne que la périphérie de toutes les couches.
En revanche, l'intervalle radial (entre couches) lui est déjà
inscrit dans une limite bien précise. Cette limite est la fréquence
d'entrée et sortie des couches du « point zéro ». Il
existe un intervalle de genre temps, irréductible.
- Sceptique : comment
vérifier cet intervalle du genre espace ?
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Par le ratio
coulomb/gravitation (vu plus avant) nous vérifions
que l'intervalle
tangentiel avant mitose est le rayon du BEC divisé par ξ4.
Or
nous savons que l'espace élémentaire est le Compton de l'électron
qui lui est ξ3
fois
plus
petit que le rayon du BEC. Cela veut dire que
le BEC comporte ξ3
couches espacées du rayon de Compton. Comme on a vu que le temps
propre du BEC est le même que celui de l'électron, cela veut dire
la vitesse des dipôles du BEC est ξ3
fois plus
grande que c. Donc pour rendre isotrope les intervalles il faut que
la mitose agrandisse
l'intervalle 1D d'un
facteur ξ.
C'est le
rayon de Compton de l'électron que nous connaissons. Revenons à la
fameuse règle : ML = Cte. Le dipôle
oscillant qui avait le rayon du BEC, a
est devenu le rayon de
Compton. Avec la cohérence généralisée vue
en ξ,
on en déduit que les
pôles (formant réseau d'espace-temps) ont une masse ξ3
moindre que celle de
l'électron. Donc la constante nous impose que l'amplitude de
l'oscillateur (rayon du BEC) est donc ξ3
plus forte que
celle de l'électron (Compton). La même cohérence nous dit que le
temps propre du BEC (espace neutre) est strictement égale au temps
propre de l'électron !
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Sceptique : ainsi la
vitesse interne (confinée)
des dipôles, est ξ3
plus grande que celle de
la lumière ?
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Oui mais elle ne transporte que le spin et l'habillage des électrons
et autres particules.
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Sceptique : là encore je demande des preuves.
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Vous avez raisons d'exiger
« des »
preuves car j'estime qu'il
en faut
plusieurs pour se convaincre.
Par exemple, on sait que deux
particules intriquées restent causalement reliées au-delà de la
vitesse de la lumière. Certains
physiciens nous parlent à tort de vitesse infinie ! Toujours
cet amalgame avec le zéro mathématique. La
vitesse est très grande mais surtout pas infinie !
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Sceptique : donc pas
de vitesse infinie mais une vitesse très grande concernant le
lien causal porté par le réseau d'espace-temps.
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Oui et nous verrons que le temps propre universel : te
= 10–21
secondes est la clé
de la cause de la
vitesse de la lumière. Il suffit de diviser le rayon de Compton λe
par ce temps élémentaire soit : c
= λe
/ te
= 300 000 km/s.
Suite
10
Je rappelle que xi = ξ = 1,54×10^11 et que ce ratio est hérité de la moyenne aléatoire de la synchronisation !
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