La genèse du temps, Higgs et la symétrie CPT

Je recommande de regarder cette vidéo où Étienne Klein nous parle du temps. Il nous décrit avec beaucoup de pédagogie, le modèle standard des particules basé sur une branche des mathématiques,  les fameux groupes de symétrie. Par exemple U(1) ={e} de module 1 est celui qui régit l'électromagnétisme.  Ces groupes de symétrie s'appliquent également aux deux autres forces, dîtes "faible et forte".  Cette théorie dite de jauge, implique que les interactions entre particules, passent par des bosons virtuels ou bosons vecteurs, qui émanent du "vide" quantique. 

Cependant cette approche implique que les particules n'aient pas de masse propre. Cette dernière leur viendrait du couplage avec le "vide" qui est sous forme d'un "champ scalaire" appelé champ de Higgs.  Alors selon cette théorie de type descriptive et non explicative, le champ de Higgs doit forcément avoir un boson vecteur.  

Donc un grand accélérateur de particules le LHC a permis de réaliser des milliards de collisions de protons à des énergies différentes en espérant trouver une résonance aux alentours de 100 à 150 GeV.  Or cette résonance a bien été trouvée à ~125.17 GeV avec le succès que l'on connait.

Cependant, cette approche mathématique n'explique pas d'où vient la masse. Elle repousse l'explication à un champ dont elle ne donne pas la cause de sa genèse. Si les mathématiques savent décrire la physique, elles ne savent pas l'expliquer. La grande erreur actuelle tient dans ce grave amalgame.  

- Sceptique : alors que dit le modèle OSCAR à propos de champ scalaire de Higgs ?

- Ce champ existe bien sous une forme scalaire mais sa capacité à induire de l'inertie (M) par couplage aux particules, n'est pas aussi simple que ce que dit le modèle standard (MS). Mais avant d'en dire plus il faut déjà prendre conscience que le MS n'explique pas la genèse de ce champ.  Il y a un monde entre décrire une certaine cohérence et expliquer une genèse.  

- Sceptique : alors qu'elle la cause de ce champ scalaire ?

- Il y a déjà la terminologie employée : a) il n'y a pas "l'univers" mais deux états d'univers, le second démarrant avec le Big Bang ; b) l'état permanent est en effet sous forme d'un champ stochastique (chaotique) d'une infinité de bosons duaux dont M, L, T valent zéro ; c) cet état à entropie informationnelle maximale (sans écoulement du temps) possède une probabilité non nulle, de présenter des grumeaux de synchronisation sous forme de BECs.

- Sceptique : on sait que parmi ces BECs un seul arrive à saturation, et entre en mitose-expansion, le BIG-BANG. Cela génère une délocalisation des bosons duaux périphériques, délocalisation qui révèle ainsi la matière sous forme d'électron-positrons, avec leur masse propre,  leur temps propre, leur espace propre. Mais que devient la grande majorité des bosons duaux non séparés ? 

- Cette dichotomie est celle de la matière et de l'espace-temps. L'espace-temps est formé de couches de boson-zéros qui forment un tissu formé d'intervalles élémentaires (Compton de l'électron) et donc de volumes élémentaires. Ces oscillateurs-bosons ont des amplitudes non locales !

- Sceptique : et donc au moment de la délocalisation c'est bien le champ de bosons qui a donné la masse des particules ?

- Je vais le formuler autrement : la masse des particules (en fait ML) était déjà existante dans le référentiel confiné de chaque branche des bosons. En revanche, selon la loi ML = Cte, la diminution de l'intervalle L (à Compton) a augmenté  M. Là il n'y a pas eu de transfert mais juste une délocalisation.

- Sceptique : mais on sait que les particules comme les électrons, sont habillées par couplage avec le champ d'espace-temps ? 

- Oui et là il y bien transfert de masse par couplage mais limité ! L'habillage d'un électron est de l'ordre de 0,31 %.         

- Sceptique : mais pourquoi ce transfert et pourquoi cette limite ?

- La simple présence d'un électron vient perturber la belle symétrie d'un boson-oscillant-dual tissant le champ scalaire. Comme ML = Cte, un petit  affaissement de  L est compensé par un transfert de M. La symétrie est sauvée !

- Sceptique : que se passe-t-il si la perturbation casse totalement la symétrie d'un boson dual ? 

- C'est le cas de l'interaction faible qui pose problème au modèle standard car elle viole la symétrie CP et donc T ! 

- Sceptique : et que dit le modèle Oscar au sujet de ces violations ? 

- l'interaction faible montre qu'une particule est couplée avec un ou plusieurs bosons subquantiques. Elle modifie la symétrie locale en séparant un boson subquantique non local.  Le ratio d'énergie transmissible {non local / local} =  k ξ.  Le ratio d'amplitude (L) est de ξ^3. Le coefficient k vient juste distinguer les bosons vecteurs de types : W, Z, H. 

- Sceptique : en somme toute particule quantique possède une image miroir au niveau subquantique. En somme, la symétrie CPT n'est vraie qu'à l'échelle non locale ?

- Oui et la violation de symétrie constatée localement, vient ajouter une pierre dans l'édifice Oscar. Pour ce sujet comme pour tous les sujets en physique fondamentale, il faut tenir compte de la dualité de localité. Globalement, l'univers est strictement symétrique ! La parité matière / antimatière l'est également si l'on comprend que les paires électron-positons originelles séparées, se comportent (localement) comme des bosons.  La plupart des tenants du modèle standard ont du mal à accepter la généralisation de la dualité et encore moins, celle concernant la localité. C'est la raison pour laquelle le modèle standard traîne plus de 53 énigmes qui ne cherche même plus à recenser correctement !        

- Sceptique : le modèle OSCAR aurait dû prévoir la valeur du boson de Higgs,  avant la mesure assez exacte de juillet 2012 ? 

- C'est le cas ! J'ai prévu 125.56 GeV pour le boson de Higgs dans mon livre "L'univers miroir" publié le 6 mai 2012. Cette valeur avait été publiée sur mon site, au moins 2 ans avant. Aujourd'hui j'ai affuté le coefficient qui donne 125.17 GeV, valeur située dans la moyenne des mesures, améliorées depuis. Avant juillet, le LHC  supposait une mesure aux alentours de cette valeur sans la préciser à la hauteur de celle de juillet 2012.

 - Sceptique : donc selon OSCAR, la genèse de la masse est expliquée, et surtout les masses mesurées des particules, sont autonomes au taux d'habillage près ?

- Exact ! Il y a 5 façons de prélever de la masse au champ subquantique ou de Higgs : a) au départ (mitose) par le phénomène de délocalisation ; b) par l'habillage au repos ; c) par l'habillage en mouvement (relativité restreinte) ; d) par changement d'état (ex : neutron → proton avec violation locale de symétrie CPT) ; e) par collision. Le taux maximum est toujours  limité à : k √ξ fois l'énergie de l'électron !

- Sceptique : et la cause du temps dans tout çà ?
    
- Étienne KLEIN nous dit avec raison, qu'il est lié à la masse. De ce fait il existe une dualité pour le temps qui est local et non local. Mais Einstein a fait une erreur qui est reprise par (presque) tous les physiciens ! On dit que la gravitation courbe l'espace-temps et que cela est prouvé par les corrections faites sur les satellites du GPS. C'est vrai mais l'erreur réside dans le fait que cette courbure (bien réelle)  n'est pas la cause mais juste l'effet de ML = Cte ! Comme souvent, on confond effet et cause !

- Sceptique : alors quelle est cette fameuse cause ?  

- Elle réconcilie les trois forces des particules avec la gravitation ! Le MS dit que les forces s'échangent par des bosons. Oui mais il fait l'erreur de multiplier les types de bosons (les gluons ne sont que des formes d'habillage virtuels). Le seul type de boson échangeur de force est le boson subquantique non local. Et grâce à ML = Cte, ces forces modifient le L de ces bosons, ce qui génère une courbure de l'espace-temps ! La gravitation n'échappe pas à cette règle.

- Sceptique : donc la grande énigme qui sépare la gravitation des 3 autres forces est résolue ?

- Oui sauf que les 3 autres forces sont en réalité la même que celle de la gravitation. Il ne s'agit que d'une et unique force, la force électromagnétique. 

- Sceptique : mais d'où vient-elle ?

- Elle vient des oscillateur-boson-duaux originels qui doivent absolument relier leurs deux branches pour que la somme affiche bien un strict zéro (physique). On a vu que la définition même de la la charge électrique élémentaire s'écrit : e² = f(ML). Donc l'oscillateur dual possède deux charges opposées qui s'attirent en fonction de ML. Le paradoxe fondamental est que si M → 0 alors L tend vers l'infini. Donc pour obtenir un point de rebroussement (diminuer L), il faut bien une force qui lie les deux brins de l'oscillateur. La charge électrique élémentaire est le gardien du zéro !

- Sceptique : mais pourquoi cette différenciation en 4 forces ?

- C'est juste une question de topologie ! Il y a : a) la force électromagnétique simple ; b) la force faible liée au changement d'état des particules ; c) la force forte qui est le résultat des superpositions des couches dans les particules composites. Dès que l'on démasque la force (en 1/r²) est de suite maximale* ; d) la force gravitationnelle qui n'est que l'effet de la séparation originelle des charges électriques.     
               
           
* le modèle mathématique et abstrait du proton y voit l'action de "gluons" qui ne sont que des effets virtuels d'habillage. Ce modèle spéculatif ayant abandonné la possibilité de présence de paires électron-positrons à cause de FERMI ! Il est vrai qu'à l'époque, il ne pouvait pas connaître la dualité de localité. Cette dualité permet aux créations non locales initiales, de se comporter comme des bosons. Il est difficile de faire évoluer ceux qui  ont appris par cœur sans chercher à comprendre !         

 
La vue mathématique et abstraite du modèle standard génère plus d'énigmes que de solutions. Elle passe à côté de la clé essentielle qu'est la dualité de localité. 
     

Commentaires

  1. Je répète que si le sacro-saint protocole standard qui consiste à faire des hypothèses et de les vérifier expérimentalement, apparaît comme étant sage, est en fait, totalement bancal.

    Il néglige de vérifier, via le mode "expérience de pensée", sa validité à l'échelle non locale. Les expériences récentes sur la non localité de l'intrication, sont souvent éludées car elles montrent clairement les défauts du modèle standard. Alors on parle de violation ....

    Ce qui est violé c'est la bonne foi du contribuable qui finance les cours de certains professeurs qui ayant "appris par cœur", font tout pour ne pas se remettre en cause en éludant sciemment les résultats des expériences d'Alain ASPECT sur la non localité.

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  2. Bonjour Mr MAREAU.

    C'est à propos de vos équations : "T + T' = 0" et "ML+ + ML- = 0"

    Je me rends compte que je n'arrive pas à poser les choses de cette façon.

    Pour ce qui concerne T : j'ai regardé la vidéo d'Etienne KLEIN. J'en avais déjà vu d'autres de lui sur le même sujet. J'avais également lu son livre : "Les tactiques de Chronos".
    Et quand il dit que "dans les équations de la physique, T ne dépend pas du temps", je suis entièrement d'accord : T mesure une durée, une durée à l'intérieur du processus physique décrit par l'équation. Donc une variable. L'équation est, en quelque sorte, une carte qui représente un territoire du réel, et T est un symbôle pour désigner les durées.
    Donc, quand on dit, comme vous le faites, que "T + T' = 0", je n'y vois qu'une simple opération mathématique où un paramètre en annule un autre. Pourquoi pas ? Après tout, on peut, par définition, modifier ou annuler une variable.
    Sauf que, pour moi, lorsqu'on en revient au monde réel, T désigne un phénomène physique que je considère comme bien réel : le temps. Et ce temps a une "flêche".
    Sans trop entrer, ici, dans les détails, j'attribue cette "flêche" à la nature intime même de la matière où tout est processus, où rien n'est figé "hors du temps". Où de l'énergie circule et s'échange constamment. Donc, nécessairement avec implication du temps.

    Dès lors, expliquer un phénomène physique réel ne peut se faire, à mes yeux, sans tenir compte de cette évidence. Et si T désigne une durée, dans une équation mathématique, ce paramètre peut être annulé, mais pas dans le réel. Dans le réel, les durées s'ajoutent imparablement.
    A mes yeux, T + T' = 0 est donc une impossibilité physique dans la réalité ...
    (Je vois, d'ailleurs, une petite contradiction dans le discours d'Etienne KLEIN, lors de la vidéo : il présente l'apparition du "moteur du temps" comme lié à l'apparition du champ de Higgs, mais il présente cette apparition comme "postérieure au Big Bang", donc postérieure ... dans un temps, qui n'aurait pas encore de moteur, selon lui !)

    Maintenant, pour ce qui concerne ML : je n'arrive pas à saisir comment deux masses équivalentes qui oscillent dans des directions opposées s'annulent. Pour moi, elles s'équilibrent simplement. Mais cela fait quand même 2M qui oscillent de concert, en fonction d'une amplitude qui varie ...

    Un constat : je n'ai décidément pas l'esprit physicien ! ... (Vous n'êtes donc pas obligé d'y répondre)

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  3. Bonjour,,

    Quand vous dîtes : "..... Et si T désigne une durée, dans une équation mathématique, ce paramètre peut être annulé, mais pas dans le réel. Dans le réel, les durées s'ajoutent imparablement.

    Comme le dit Étienne KLEIN il faut de méfier de ce qu'est le "réel".

    Tous les modèles (dont Oscar) admettent qu'il existe une espace-temps contenant la matière. Tous les modèles parlent du couplage entre les deux. Mais le standard détermine un "champ de Higgs" sans donner la CAUSE de son existence comme le fait Oscar dans le détail.

    Cette cause tient dans la neutralité de bosons duaux oscillants (donc à deux pôles). Or comme vous le dîtes les 2 pôles ne peuvent que s'ajouter ! C'est là qu'intervient l'indiscernabilité de ML. La partie M est un scalaire (sans signe) mais la partie L est typiquement algébrique. Donc le couple ML possède un signe. l'ajout d'un signe – et d'un signe + donne bien zéro. Comme T = f(ML) il a deux signes contraires et le temps ne s'écoule pas.

    Outre le détail du cheminement logique, il vous faut admettre qu'on ne peut évoquer une énergie primordiale magique (injustifiable en dehors du mystique). Donc le résultat attendu est bien zéro.

    Les paramètres physiques M, L sont à jamais obligés de vibrer dans un pôle pour rechercher l'impossible zéro. Donc cette existence 'errante" doit être annulée dans le dipôle, sous peine d'être confronté à l'injustifiable.

    Comme pour une enquête policière, il y a un mobile (la cause) et un cheminement logique qui donne les moyens d'atteindre le mobile. On peut discuter du cheminement mais pas du mobile qui est de partir de rien. Sinon on fait dans la théologie et non dans la science.

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  4. Je rajoute que le cheminement logique est émaillé d'équations physiques qui sont en relation avec ce que l'on mesure aujourd'hui. De plus elles lèvent plus de 53 énigmes. Donc il ne s'agit pas d'élucubrations stériles mais d'explications de phénomènes connus. Bien sûr je ne prétends pas avoir mis à jour tous les détails....

    Je prépare un prochain billet dans lequel je vais montrer que la fameuse symétrie C, P, T (charge, parité, temps) du modèle standard correspond (ramené en 1D) exactement au dipôle subquantique oscillant. Ainsi le temps s'annule bien en sommant les deux pôles. Je vais également montré pourquoi la symétrie CP est violée (localement) dans l'interaction faible et pourquoi elle ne l'est pas dans l'interaction forte.

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    1. Merci pour ces réponses. "L'espace-temps" reste sans doute une énigme pour moi ...

      Bonne fin de journée.

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    2. j'ai écrit : "je vais également montré" ...... au lieu de montrer !!! mille excuses !

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  5. Bonsoir à tous les deux,
    pour moi le temps n'a de sens que dans la période du cycle univers, c'est à dire jusqu'au retour à l'état stochastique des oscillateurs duaux. Tant qu'il y a quelque chose à faire (retour à zéro), il y a le temps, à sens unique, jusqu'à la réalisation de la fin du cycle.

    Cependant, Mr Mareau, je propose une question: dans un oscillateur dual, le temps ne s'écoule pas. L'univers est un oscillateur entièrement composé d'oscillateurs duaux. On ne voit que le temps qui avance dans le monde quantique. Par souci de symétrie, où se cacherait le temps qui annule celui qui avance? (dans la gravitation? dans le subquantique? dans les photons et neutrinos?...)

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  6. C'est une très bonne question ! Raisonnons comme la loi des oscillateurs classiques, à savoir que T = f(M^0,5).

    A l'instant mitose-expansion la consolidation des masses est totale. Le crédit "masse" donne un crédit "temps". Il y a ensuite des séries d'annihilations analogiques (croisements erratiques des masses selon les angles initiaux) qui forment la matière noire. La masse diminue et le temps également. Autrement dit, le potentiel d'annihilation des masses induit un potentiel d'annihilation du temps. Le tout tend vers zéro.

    Les masses mélangées "ici" s'annuleront avec les masses mélangées "en face". Pourtant en face, il existe autant d'anti masses qu'ici. C'est la même chose pour le temps.

    Rien ne distingue les masses mélangées d'en face de celles d'ici. C'est la même chose pour le temps.

    Autre façon de voir : les masses neutres du proton s'additionnent arithmétiquement alors qu'elles sont des mélanges de positrons et d'électrons. De la même façon les temps élémentaires s'additionnent arithmétiquement. Pourtant dans leur statut précédent (dipôle subquantique) les masses (en fait ML) s'additionnaient algébriquement (donc annulation).

    Ce qui a changé ? La délocalisation.

    Dans le statut dipolaire, malgré la grande amplitude, il y avait localisation élargie et tout s'annulait à haute fréquence. Ensuite, localement ou entre voisins, les pôles alias fermions sont devenus bosons et tout s'annule aussi mais ....... à très basse fréquence.

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  7. Merci Mr Mareau,

    quelques idées/questions en réponse:

    pourrait-on alors conclure que l'anti-matière (en quantité égale de la matière) est le "vecteur" de l'anti-temps? A moins que ce ne soit l'inverse, c'est à dire que c'est l'anti temps qui donne le coté "anti" à la matière?
    Le temps total d'un cycle univers est alors probablement la somme des anti-temps de chaque demi oscillateur dual délocalisé composant l'anti-matière de l'univers, affublé du signe opposé.

    Du coup pour la matière noire, l'annihilation n'est pas totale car les vecteurs temps ne sont pas opposés. La matière est en gravât, car en état temporel non harmonique avec le Te électron et donc le reste de l'univers. La matière est là, mais non visible car temporellement invisible.

    Pour les trous noirs, du coup, au delà des phénomènes de masse engendrant un horizon des événements, il y a peut être également un problème temporel qui fait que rien ne peut sortir en raison d'une déconnexion temporelle par rapport au te univers. La seule façon d'en sortir est la reconnexion temporelle en son centre (saturation séparation) dont les effets sont les rayons gamma polaires a extrêmement haute énergie.

    Evidemment, je ne suis persuadé de rien, ce ne sont juste que des idées !

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  8. Bonjour LC,

    On a T=f(M L Q)^(1/3) donc induit. Localement, les ML (électron-positrons) s'additionnent et donc les temps élémentaires également. Ces mêmes temps élémentaires s'annuleront au fur et à mesure de l'annihilation des masses T = f(M^0.5). L'annihilation de la DM est partielle en fonction des angles. Là encore revoir ici : http://www.cosmologie-oscar.com/index.php#45.

    En résumé T est induit par ML et suit exactement le même chemin.

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