isotropie de l'horizon cosmologique
Le
modèle standard est basé sur l'espace-temps type FLRW, qui est
largement antérieur à la découverte de l'accélération de
l'expansion. Comment peut-on conserver un modèle qui n'explique pas
cette accélération ? Comment peut-on prendre au sérieux un modèle
qui admet la possibilité d'une courbe négative ? Dans sa
version « courbe plate » ce modèle prévoit un horizon
cosmologique égal à 3,3 fois le rayon de Hubble, soit : 45
Gyl. Cette version admet un arrêt de l'expansion après un temps
infini. C'est une grave erreur
car la notion
d'infini est incompatible avec les paramètres physiques.
L'isotropie
de l'univers concerne plusieurs paramètres physiques : a) la
température ; b) la forme ; c) la distance relative. Pour
vérifier l'isotropie de l'expansion, on exploite la distance d
(via les céphéides) et le décalage spectral z
donnant le taux d'expansion. Si la mesure de z
est précise on ne peut pas en dire autant de la distance d.
Elle dépend de la régularité supposée
de la période des céphéides.
Le modèle
Oscar explique l'accélération de l'expansion par ses couches de
vitesse, distribuées de 0 à 5 c. La
Bulle-Univers se dilate par glissement relatif des BECs enchevêtrés
qui la composent. A partir de notre position-vitesse (0,509 ct
arrondie à 0,5
ct pour
simplifier), nous pouvons aborder le problème de
l'horizon
en négligeant les différents gradients
d'accélération, selon les couches. Regardons dans les 4 directions
avec ce modèle simplifié, d'expansion en couches :
a)
la direction vers le centre : Le BEC fossile se situe à
environ 7 Gyl soit une distance
de 0,5 ct. l'horizon opposé
et « instantané » serait donc à distance double, soit
ct. Mais avec le décalage
temporel de la limite c, cette position
était celle de la couche c qui a
parcouru depuis, cette distance : Δd
= ct. Ainsi notre
horizon se trouve à 2 ct = 28 Gyl.
b) à
l'opposé du centre : l'horizon « instantané »
correspond à la couche 0,5 c + c = 1,5 c.
Avec le décalage lié à c, cette
couche a progressé jusqu'à 2,5 ct.
L'horizon est donc déterminé par la différence : 2,5
ct – 0,5 ct = 2 ct = 28 Gyl.
c)
dans les deux directions perpendiculaires, un
point situé à l'horizon 2 ct =
28 Gyl serait vu en
« instantané » avec un angle π
le situant à l'opposé. Ainsi il serait confondu avec les
photons venant de la position symétrique (a) au delà du centre.
Mais avec le décalage temporel lié à c, il n'est
vu qu'avec un angle de π
/ 2
sur un axe perpendiculaire.
Certains, parmi les tenants du modèle standard, considèrent que "l'univers" est sans courbure et donc avec une expansion s'arrêtant à l'infini ! Comme le dit Christian MAGNAN avec son théorème du Jardin, la courbure de l'espace-temps, ne peut se voir qu'au delà de l'horizon cosmologique. La Bulle-Univers est bien courbe et son amplitude maximale est bien limitée par la gravitation ! La encore il faut bien voir la dualité {hors horizon / dans horizon}.
L'isotropie des distances relatives est donc effective avec ce modèle malgré qu'il ne vérifie pas le très simpliste "principe cosmologique" qui ferait que tout est homogène. Ce modèle d'expansion en couches voit la densité diminuer avec le rayon (donc avec la vitesse d'expansion) selon une loi de dispersion. Par ailleurs les dernières observations montrent une anisotropie révélée par l'énorme "vide unique de l'éridan". Un amalgame est souvent fait concernant la possibilité d'avoir un centre (pas de l'univers global mais de la Bulle-Univers). On dit que cela correspondrait à une situation où nous aurions une place privilégiée. Il n'est nul besoin de cela pour voir l'univers nous fuir de tous les côtés. Selon ce modèle "en couches", on peut se demander ce qu'il adviendrait de l'accélération de l'expansion si nous étions placé sur la couche "2,5 c" plutôt que sur la couche "0,509 c". On verrait alors une anisotropie de l'accélération. Le côté inverse de l'éridan, serait perçu en phase de ralentissement.
L'isotropie des distances relatives est donc effective avec ce modèle malgré qu'il ne vérifie pas le très simpliste "principe cosmologique" qui ferait que tout est homogène. Ce modèle d'expansion en couches voit la densité diminuer avec le rayon (donc avec la vitesse d'expansion) selon une loi de dispersion. Par ailleurs les dernières observations montrent une anisotropie révélée par l'énorme "vide unique de l'éridan". Un amalgame est souvent fait concernant la possibilité d'avoir un centre (pas de l'univers global mais de la Bulle-Univers). On dit que cela correspondrait à une situation où nous aurions une place privilégiée. Il n'est nul besoin de cela pour voir l'univers nous fuir de tous les côtés. Selon ce modèle "en couches", on peut se demander ce qu'il adviendrait de l'accélération de l'expansion si nous étions placé sur la couche "2,5 c" plutôt que sur la couche "0,509 c". On verrait alors une anisotropie de l'accélération. Le côté inverse de l'éridan, serait perçu en phase de ralentissement.
De qui se moque-t-on quand on appelle "point" une excroissance cosmique de 1,8 milliards d'années-lumière ?
RépondreSupprimerrecoenya Christina Love https://wakelet.com/wake/H_30Rtf_xE3PK5Df0kFvt
RépondreSupprimergenkahoge