stochastic body and the synchronizing attractor

- Sceptique : pourquoi ce titre en anglais ?

- Cela vient du sigle B.O.D.Y qui sied parfaitement à la description du boson oscillateur dipolaire : Boson Oscillateur Dipolaire Yin-yang → BODY.  Les chinois anciens n'avaient tort car le cosmos est d'abord tissé d'une infinité de "corps" exploitant la dualité Yin-Yang par son équilibre au zéro. Le taoïsme évoque également la dualité ordre-désordre qui est essentielle pour comprendre la dualité oscillante {entropie ↔ synchronisation}.    

- Sceptique : le taoïsme – d'essence mystique – aurait précédé la dualisme de l'équilibre du BODY stochastique ?

- Oui d'autant qu'il évoque la notion d'ordre du cosmos !

- Sceptique : l'entropie de désordre serait "attirée" par la synchronisation ?

- Je ne dirais pas cela en ces termes mais il est vrai qu'il existe une dualité fondamentale concernant l'entropie de désordre. Dans un premier temps il faut rappeler que longtemps on a cru que  la loi de Huygens était seulement de nature "mécanique". Ses horloges se synchronisaient en opposition de phase ! Mais Cette étude montre clairement qu'il existe un attracteur de synchronisation, y compris dans les échelles quantiques de la physique. 

- Sceptique : comment les horloges de Huygens se mettaient naturellement en opposition de phase ?

- L'opposition de phase des balanciers est la seule manière de respecter la symétrie duale. C'est le meilleur moyen de s'auto-compenser... comme les BODYs !

- Sceptique : peut-on comparer ces horloges avec les BODYs stochastiques ?

- L'étude citée plus haut, montre que tous les oscillateurs quantiques stochastiques tendent également à se synchroniser. Mais au-delà de ce phénomène naturel visant à réduire l'énergie, il y a l'état stochastique peuplé d'une infinité d'oscillateurs du zéro ! Ici il ne s'agit pas de réduire la masse-espace-temps mais de l'annuler totalement. Par ailleurs, le non écoulement du temps, ouvre la voie à une infinité potentielle de brassages mutuels.
Un BODY stochastique voit ses cycles renouvelés à chaque fois, par la loterie (aléatoire) du point zéro. Le passage de l'état stochastique à l'état synchronisé est une notion purement probabiliste. Plus l'entropie de désordre est grande plus il existe un grand nombre de possibilités de brassage. Ce nombre s'évalue avec la notion de factorielle. Il est tellement grand qu'on ne peut seulement en faire une estimation.

Le passage de l'état stochastique à l'état (partiel) synchronisé suit les règles suivantes :

- a) le temps (stochastique) ne s'écoule pas mais on peut faire une estimation en considérant que le lot de 𝜉¹¹ oscillateurs du zéro, avait une moyenne de toutes ses fréquences, proche de celle du BEC-fossile synchronisé. C'est la fréquence de l'électron, soit ~10²¹ Hertz.

- b) A chaque seconde le hasard offre une très faible probabilité de voir n dipôles adopter la même fréquence dans la même phase. Comme il y a une infinité d'équivalent-secondes,  cette ultra faible probabilité deviendra toujours in fine, une réalité.

- c) le régime de synchronisation (aléatoire) est bourré d'échecs. Il se construit et se déconstruit sans cesse. Cependant toute amorce de synchronisation entre dans un processus d'influence. Plus le nombre de "synchronisés" est grand, en moins il est influencé par le désordre ambiant. C'est une question de densité et de surface d'échange Très important : ce régime a une allure exponentielle !

- d) les "poches" de synchronisation (BECs) sont multiples. Mais le régime exponentielle avantage la première (proche de la saturation). Quand le premier BEC est "né" par saturation → délocalisation → mitose, le temps commence alors à s'écouler.... Relativement à l'infinité temporelle propre à l'état stochastique,  le cycle de la Bulle-Univers est très court ! Dans ce cycle, il ne se passe pas grand chose du côté stochastique.... Donc les autres "poches"  (BECs en cours) n'évoluent quasiment pas. Il est donc extrêmement improbable d'avoir plusieurs Bulles-Univers contemporaines. Cela fait rêver mais c'est pure spéculation !

- e) avec l'expansion de la Bulle-Univers, la surface d'échange avec l'état stochastique, augmente et l'influence de désordre l'emporte jusqu'à dilution complète de la Bulle-Univers. La surface d'échange augmente en et la densité diminue en . Ainsi le flux de désynchronisation augmente selon une courbe évoluant en r⁵


- Sceptique : quid de la dépense d'énergie locale dans la Bulle-Univers?

- Chaque dipôle stochastique ne consomme absolument rien pour raison de stricte symétrie ! Globalement la Bulle-Univers se comporte strictement comme un oscillateur consolidé où la somme des énergies est strictement nulle. Tout ce qui est dépensé localement se traduit par une déformation spatiale non locale et compensatrice. En fait ce que l'on appelle "énergie" ici bas, est juste un transfert M → L = Cte, par délocalisation subquantique.  


- Sceptique : quelle est la conséquence des dépenses d'énergie locales ?

- Elles raccourcissent la durée de vie du cycle de la Bulle-Univers car elles augmentent l'entropie de désordre. L'intuition des anciens chinois avec la notion de passivité du Yin-Yang était justifiée. 

     
  
 

Commentaires

  1. Encore une bonne nouvelle pour le modèle Oscar ! On vient de se rendre compte que non seulement l'univers (local ou observable) est en accélération d'expansion mais de plus, cette accélération est en croissance (dérivée seconde de la vitesse). Or dans mon livre "Il était une fois l'univers" j'ai publié en 2017, (p 314) la courbe de la croissance de l'accélération de l'univers observable. Dans un prochain article, je vais détailler cela. Il y a maintenant plus de 40 observations nouvelles qui posent problème au modèle standard et qui confirment le modèle Oscar !

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