Enigme 02 : un ratio impossible
- Sceptique : le tableau représente l'électron plus petit que le proton, Cela reflète-t-il la réalité physique !
- Non mais cela indique symboliquement le ratio de masse. La réalité physique – toujours guidée par ℳ.ℒ = Cte – diminue le rayon proportionnellement à la masse. C'est également la loi de Compton. Dans le détail, le proton est structuré en 4 groupes de couches concentriques (en pelure d'oignon). De ce fait son rayon vaut exactement celui de l'électron divisé par le quart de sa masse.
- Sceptique : Comment intervient le ratio de masse en comparant la force électrique et la force gravitationnelle ?
- La force électrique dépend d'une constante multipliée par la charge alors que la force gravitationnelle dépend de la constante G multipliée par la masse.
- Sceptique : pourquoi le modèle standard s'entête à comparer un "vélo" avec un "camion" ?
- Parce qu'il ne veut pas admettre que le proton (et tous les composites) soit constitué majoritairement de paires neutres d'électron-positrons + 1 positron célibataire. Ces paires – classées comme "fermions" – ne sont pas aptes à s'associer comme les bosons ! Son erreur vient du fait qu'il néglige le très important critère de dualité de localité s'agissant de la création de paires.
- Sceptique : que vient fait la dualité de localité dans la dichotomie fermion/boson ?
- Avant de répondre, le modèle standard admet qu'un "paquet" de proton-neutrons (fermions) puissent composer un boson comme l'hélium 4. Il y a là déjà une sérieuse incohérence. Ensuite il néglige de remarquer que tout ce qui est créé localement est toujours instable. Enfin il mélange inconsidérément le proton qui est la seule particule composite stable, avec des particules instables. Tout cela a une profonde signification : les paires électron-positrons originelles – parce qu'elles sont délocalisées à la naissance – se comportent comme des pseudo-bosons.
- Sceptique : Alors Fermi était un piètre scientifique ?
- Non pas du tout car à son époque, on ne savait rien sur l'intrication délocalisée des spins, souvent appelé "effet fantôme" à grande distance. Donc pour lui, l'expérimentation locale avait valeur d'absolu. En revanche, ceux qui aujourd'hui, le suivent aveuglément, alors qu'ils ont connaissance de la dualité de localité, sont effectivement, de piètres physiciens. Je ne suis pas le seul à dénoncer ceux qui éludent systématiquement les effets de la non localité, qui les dérange.
- Sceptique : existe-t-il une publication acceptée dans une revue scientifique qui appuie cette idée que les protons sont composés de paires électron-positrons neutres + un positron célibataire ?
- Oui il suffit de voir la loi restreinte de Koide-Mareau et sa généralisation. On complétera avec ce schéma sur la délocalisation primordiale des dipôles du zéro, en pôles ± (paires électron-positrons) à statut de pseudo-bosons.
- Sceptique : A quoi correspond ce ratio clé : 𝜉⁴ = 5,7×10⁴⁴ ?
- Il donne le nombre de pôles délocalisés sur une géodésique de l'aire du BEC-fossile. Ainsi la gravitation est juste la force électrique des pôles opposés (positron-électron), répartie (donc divisée) par ce ratio 𝜉⁴ = 5,7×10⁴⁴. Cependant, la relation montre que la gravitation a été fixée après l'annihilation de ratio 𝛼. Donc le ratio réel est : 𝜉⁴ / 𝛼 = 4,166×10⁴².
- Sceptique : est-ce pour cela que la mitose a été de 𝜉² ?
- Oui car l'intervalle élémentaire actuel, alors réduit à ƛₑ / 𝜉, a été élargi par la mitose 𝜉² en 2D.
- Sceptique : comment sait-on que c'est bien cet intervalle ?
- Il suffit de poser : c = ƛₑ / tₑ avec tₑ, la période de l'électron.
- Sceptique : A quoi correspond ce ratio clé : 𝜉⁴ = 5,7×10⁴⁴ ?
- Il donne le nombre de pôles délocalisés sur une géodésique de l'aire du BEC-fossile. Ainsi la gravitation est juste la force électrique des pôles opposés (positron-électron), répartie (donc divisée) par ce ratio 𝜉⁴ = 5,7×10⁴⁴. Cependant, la relation montre que la gravitation a été fixée après l'annihilation de ratio 𝛼. Donc le ratio réel est : 𝜉⁴ / 𝛼 = 4,166×10⁴².
- Sceptique : est-ce pour cela que la mitose a été de 𝜉² ?
- Oui car l'intervalle élémentaire actuel, alors réduit à ƛₑ / 𝜉, a été élargi par la mitose 𝜉² en 2D.
- Sceptique : comment sait-on que c'est bien cet intervalle ?
- Il suffit de poser : c = ƛₑ / tₑ avec tₑ, la période de l'électron.
Dans tous les domaines, on a tendance à négliger de bien paramétrer les éléments de comparaison. Ici en physique, cet exemple montre que l'on compare naïvement l'équivalent d'un vélo avec un camion !
RépondreSupprimerOn trouve les mêmes aberrations en politique. On dit : "comparaison n'est pas raison" mais là encore c'est faux ! Il faudrait dire : "comparaison non paramétrée correctement, n'est pas raison". Car l'art de la comparaison bien faite est l'acte le plus raisonnable qui soit.
J'ai entendu un chercheur du CNRS comparer la gestion des manifestations entre la France (flash ball) et d'autres pays occidentaux qui ne l'utilisent pas. Quand le journaliste lui a dit que ces pays n'avaient pas (encore) le niveau de violence des gilets jaunes, il s'est empressé de balayer ce type de paramétrage. Pourtant ce nouveau type de manif – sans consigne claire, non déclaré et non cadré – provoque de très fortes violences inédites que les syndicats avaient largement appris à maîtriser au cours du temps. Dans les pays nu nord de l'Europe, les manifs se déroulent encore à l'ancienne mode avec la discipline qui va avec. Bien paramétrer les comparaisons devrait être le premier souci d'un chercheur mais apparemment il avait un message politique à passer en priorité et ce en utilisant nos deniers.