Enigme 23 : annihilation primordiale
- Sceptique : y-a-t-il d'autres éléments qui confirmeraient que le taux α =137,035999, est bien celui de l'annihilation primordiale comme l'affirme le modèle Oscar ?
- Oui car outre : a) qu'il est le ratio entre le rayon de Compton et le rayon "classique" de l'électron ; b) qu'il corresponde à la valeur moyenne du ratio des trous cosmiques ; c) que la mitose fractale en 5 incréments α², amène forcément une expansion localement accélérée ; d) qu'en rajoutant le taux d'élargissement (annihilation) de la surface élémentaire, on a 6 incréments (α²)⁶ → α¹² dont le résultat converge avec le taux de mitose ξ² avec une variable d'ajustement Po qui n'est rien d'autre que la justification de l'existence du proton, exprimée en unité électron brute (Po = 1835,26).
- Sceptique : mais le proton n'est qu'un baryon parmi d'autres !
- Non, car le proton est la seule et unique particule (libre et composite) qui soit stable ! La seule !
- Sceptique : Donc la mesure du rayon du halo galactique vient confirmer indirectement le rayon d'un BEC, soit : R = ξ³ ƛₑ ?
- Oui car les BECs périphériques de l'enchevêtrement, correspondent aux étoiles périphériques et donc les rayons connus s'ajoutent.
- Sceptique : y-a-t-il des mesures de tailles et de températures des amas qui viendraient confirmer les dires d'Oscar concernant les amas de galaxies ?
- Il suffit de lire cette publication du CEA pour s'en convaincre ! En relation avec ces données, le calcul montre que pour une température moyenne des amas de T(amas) = 17 MK et un diamètre de D = 20 Myl, on obtient un ratio de température avec celle de l'électron (6 GK) qui équivaut à la tangente de l'angle :
- {D amas / R (local) Univers} = 20 Myl / 7 Gyl = 0,00286
- {T (amas) / T électron} = 17 MK / 6000 MK = 0,00286
Ainsi la température de l'amas est bien la trace d'une annihilation non binaire (car elle serait alors à T de l'électron) mais proportionnelle à l'angle relatif (donc l'écartement moyen) entre les galaxies potentiellement en collisions, contenues dans l'amas.
- Oui car outre : a) qu'il est le ratio entre le rayon de Compton et le rayon "classique" de l'électron ; b) qu'il corresponde à la valeur moyenne du ratio des trous cosmiques ; c) que la mitose fractale en 5 incréments α², amène forcément une expansion localement accélérée ; d) qu'en rajoutant le taux d'élargissement (annihilation) de la surface élémentaire, on a 6 incréments (α²)⁶ → α¹² dont le résultat converge avec le taux de mitose ξ² avec une variable d'ajustement Po qui n'est rien d'autre que la justification de l'existence du proton, exprimée en unité électron brute (Po = 1835,26).
- Sceptique : mais le proton n'est qu'un baryon parmi d'autres !
- Non, car le proton est la seule et unique particule (libre et composite) qui soit stable ! La seule !
- Sceptique : Donc la mesure du rayon du halo galactique vient confirmer indirectement le rayon d'un BEC, soit : R = ξ³ ƛₑ ?
- Oui car les BECs périphériques de l'enchevêtrement, correspondent aux étoiles périphériques et donc les rayons connus s'ajoutent.
- Sceptique : y-a-t-il des mesures de tailles et de températures des amas qui viendraient confirmer les dires d'Oscar concernant les amas de galaxies ?
- Il suffit de lire cette publication du CEA pour s'en convaincre ! En relation avec ces données, le calcul montre que pour une température moyenne des amas de T(amas) = 17 MK et un diamètre de D = 20 Myl, on obtient un ratio de température avec celle de l'électron (6 GK) qui équivaut à la tangente de l'angle :
- {D amas / R (local) Univers} = 20 Myl / 7 Gyl = 0,00286
- {T (amas) / T électron} = 17 MK / 6000 MK = 0,00286
Ainsi la température de l'amas est bien la trace d'une annihilation non binaire (car elle serait alors à T de l'électron) mais proportionnelle à l'angle relatif (donc l'écartement moyen) entre les galaxies potentiellement en collisions, contenues dans l'amas.
Il y a un paradoxe à traiter les réponses aux énigmes en mode strates car cela les fait apparaître comme étant indépendantes entre elles, ce qui n'est absolument pas le cas. En effet, tout provient directement des Bodys et de leur double signatures : ξ et α .
RépondreSupprimerMerci de relire pour prendre connaissance du détail rajouté dans le commentaire.
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