Enigme 21 : l'emploi du zéro mathématique en physique

- Sceptique : le modèle standard – initialement considéré judicieusement comme un "modèle" mathématique se rapportant à la physique  – est devenu, pour certains physiciens naïfs, la réalité physique de la nature. 

- Oui et en premier lieu il y a ce très grave amalgame (dénoncé également par Christian Magnan)  courant entre le zéro (absolu) mathématique et le zéro (algébrique ou relatif) de la physique. Ce besoin d'absolu, de "création", ressort dans quasiment toutes les publications "scientifiques" concernant la "naissance" de l'univers. Le tableau suivant résume le paradoxe de la notion d'existence physique qui se passe de la mystique et naïve opération de "création". Les Bosons Oscillateurs Dipolaires Yin Yang ou 𝓑𝓞𝓓𝓨s ne peuvent qu'exister éternellement, selon les règles simples énoncées dans le tableau ci-joint. Les deux mots clés initiaux sont ; dualité & localité. Ainsi l'inertie du très localisé point zéro du 𝓑𝓞𝓓𝓨, a pour dual délocalisé, son amplitude spatiale. L'attracteur limite (non physique) pour l'inertie est le zéro absolu et donc son amplitude infinie et par conséquent à jamais immuable et stérile. 

- Sceptique : pourquoi utiliser le symbole de l'infini s'il est impossible en physique ?

- Parce que l'infini est l'inverse du zéro absolu qui est lui-même un des attracteurs impossibles de l'inertie. 

- Sceptique : quel est l'autre attracteur impossible ou son dual ? 

- C'est l'existence (impossible) de l'inertie, d'où la notion d'errance entre ces deux attracteurs contraires et fondamentaux. Dans le langage des "cordistes" on peut dire qu'il s'agit d'un couple de cordes fermées, car il y a forcément un retour vers le "point zéro". A ce propos, le "point zéro" est strictement dual car c'est lui qui exprime le zéro algébrique.    
 

    

Commentaires

  1. On me demande : et Dieu dans tout ça ? Ma réponse est claire : on ne peut mélanger la science avec la religion. Comme celle-ci est de nature spirituelle, elle diot être ouverte à la libre notion de croyance. Cette notion est cependant incompatible avec la démarche scientifique qui ne s'appuie que sur des faits expérimentés (dans la dualité de localité et non pas seulement localement) et à partir de ces faits, dans une démarche inducto-déductive cohérente.

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