Les coquillages copient le BEC fossile
- Sceptique : vous avez déjà traité le sujet concernant l'action biologique du nombre d'or par le développement de la mitose.
- Exact ! Il y a de nombreux exemples où le nombre d'Or est concerné y compris d'ailleurs la spirale de l'ADN. La clé de ce nombre est la suite de Fibonacci, liée à la mitose.
- Sceptique : d'où vient cette clé ?
- Par définition elle ne peut venir que du BEC fossile (Condensat de Bose Einstein né de la synchronisation locale du chaos) qui est l’œuf de l'univers en expansion. Or (sic) il est entré en mitose pour raison d'isotropie de densité, lors de l'enrichissement du BEC par le flux entrant de 𝓑𝓞𝓓𝓨s (Bosons Oscillateurs Dipolaires Yin yang stochastiques et à énergie zéro).
Ainsi cette annihilation a été le déclencheur de la mitose qui est une autre manière d'élargir les intervalles élémentaires. Le modèle OSCAR est très cohérent avec 5 incréments de mitose. A cela il faut rajouter le taux d'annihilation (l'amorce) ce qui fait bien 1+5 en 1D. On a donc 6 incréments de la suite de Fibonacci, soit : 1... 1 2 3 5 8 avec comme nombre d'Or limité à 8/5 = 1,6. Cela se traduit en 2 D par (𝛼²)¹⁺⁵ devant obligatoirement se corréler avec le taux de mitose 𝜉². Pour ce faire, il vient la variable d'ajustement qui n'est autre que le proton exprimé en unité "électron lourd". Or le proton est la seule et unique particule composite stable de l'univers.
- Sceptique : D'où vient le nombre 32 du tableau outre le comptage des stries du modèle ?
- En comparant plusieurs coquillages, on trouve que le nombre de stries est égal à 32 si B = C. Le nombre diminue avec le ratio (B/C)². Tant que l'échantillon est réduit à quelques uns (les mesures sont faites sur 14 spécimens seulement), cela est plus une curiosité qu'une étude complète. Si cela était avéré (étude sur un millier), on retrouverait encore les nombres clés : 5 et 𝜉.
- Sceptique : pourquoi les coquillages se conformeraient aux ratios de l'univers ?
- Il n'y a pas forcément "copie conforme" même si on la trouve souvent. Mais quand un ordre existe, alors il ne peut venir que des radicaux fondamentaux de l'univers. La mitose s'est réalisée en 5 étapes de vitesses d'expansion, modulo c. Dans l'axe 1D radial, on a 𝜉 couches de vitesses dont l'intervalle est celui de Compton divisé par 𝜉. Multiplié par le temps élémentaire tₑ, cela donne exactement l'intervalle élémentaire tangentiel sur le BEC fossile juste avant mitose.
- Sceptique : donc les 5 étapes de mitose donnent en fait 𝜉 incréments élémentaires dans la suite de Fibonacci ?
- Oui et ce nombre 𝜉 est tellement grand qu'il permet de faire passer le ratio approché : 8/5 = 1,6 en 1,61803398875, soit précisément le nombre d'Or. Il est intéressant de noter que le carré de 1 + √5 est égal au 1 + 5 de la mitose de l'univers.
Au moment de la saturation (juste avant la mitose) l'énergie électrique d'un électron était strictement égale à l'énergie de masse. A ce stade, l'intervalle était le rayon dit "classique". Or on sait que ce rayon est devenu 𝛼 (= 137,035999) fois plus grand (voir Compton). Cette énigme fondamentale est résolue si l'on considère que l'intervalle s'est agrandi de ce taux par annihilation.
- Sceptique : D'où vient le nombre 32 du tableau outre le comptage des stries du modèle ?
- En comparant plusieurs coquillages, on trouve que le nombre de stries est égal à 32 si B = C. Le nombre diminue avec le ratio (B/C)². Tant que l'échantillon est réduit à quelques uns (les mesures sont faites sur 14 spécimens seulement), cela est plus une curiosité qu'une étude complète. Si cela était avéré (étude sur un millier), on retrouverait encore les nombres clés : 5 et 𝜉.
- Sceptique : pourquoi les coquillages se conformeraient aux ratios de l'univers ?
- Il n'y a pas forcément "copie conforme" même si on la trouve souvent. Mais quand un ordre existe, alors il ne peut venir que des radicaux fondamentaux de l'univers. La mitose s'est réalisée en 5 étapes de vitesses d'expansion, modulo c. Dans l'axe 1D radial, on a 𝜉 couches de vitesses dont l'intervalle est celui de Compton divisé par 𝜉. Multiplié par le temps élémentaire tₑ, cela donne exactement l'intervalle élémentaire tangentiel sur le BEC fossile juste avant mitose.
- Sceptique : donc les 5 étapes de mitose donnent en fait 𝜉 incréments élémentaires dans la suite de Fibonacci ?
- Oui et ce nombre 𝜉 est tellement grand qu'il permet de faire passer le ratio approché : 8/5 = 1,6 en 1,61803398875, soit précisément le nombre d'Or. Il est intéressant de noter que le carré de 1 + √5 est égal au 1 + 5 de la mitose de l'univers.
La plage est un endroit bien plus mystérieux que l'on pourrait croire au premier abord. Des fossiles très anciens sont là pour nous signifier la signature fondamentale de l'univers basée sur la mitose. Or la clé de la vie est justement ..... la mitose pour se reproduire.
RépondreSupprimerIl faut rappeler que du point de vue de l'entropie, la vie se comporte comme le BEC fossile en construction car son entropie est basse en regard de ce qui l'entoure où l'entropie est haute. La synchronisation apporte la vie comme elle a apporté le BEC fossile à partir du désordre presque parfait qui l'entoure. L'univers retournera (provisoirement) au désordre et c'est également le sort de la vie. Pour cette dernière, sa cause originelle vient du brassage intense des rouleaux de mer impactant les microfissures minérales. Le nombre phénoménale "d'essais" aléatoires et dynamiques, peut apporter des configurations chimiques adéquates mais qui se défont aussitôt ! Sauf si un tout petit pourcentage se fige dans des microfissures dont la géométrie permet une certaine synchronisation des CHONs et des acides aminés qui en découlent.
RépondreSupprimerCuriosité : le spectre des mesures de nombre de stries sur 14 spécimens, s'étend de 20 à 32. Ce ratio est proche du nombre d'or : 32/20 = 8/5 = 1,6.
RépondreSupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerLa recherche permanente d'une harmonie,d'un équilibre, même du subjectif
RépondreSupprimer'Beau',fait de la nature au sens large une révélatrice d'un grand ordonnateur !
L'homo sapiens dans sa prime ignorance induisant l'impossibilité d'expliquer
Certaines choses s'en remis alors a un dieu .
Car cet être fait de brides de briques d'un tout par intuition spirituelle devine son appartenance à cet ensemble de l'infini petit au cosmos immensement mystérieux .il ne sait encore que ce Dieu sera les mathématiques avec son grimoire la physique présentes en toutes choses . Et que lui par la comprehesion de Ces pierres de rosette grace a sa curiosité deviendra un champollion de la compréhension de notre univers proche et du très lointain.Chassant a jamais les croyances mystiques ,magiques sur ce qui nous entour induites par l'ignorance .
Il reste néanmoins la croyance persistante chez beaucoup de physiciens, que le zéro absolu de la mathématique puisse convenir aux paramètres physiques. Ce zéro absolu n'est pertinent que pour les nombres. Si ces derniers comptabilisent des éléments physiques, alors ces derniers seront strictement à zéro non pas absolu mais de type algébrique et donc relatif à leur bipolarité. L'obscurantisme à certes beaucoup reculé mais pas assez pour me satisfaire.
RépondreSupprimerLa clé tient vraiment dans le paradoxe du zéro absolu qui joue – pour les paramètres physiques – comme un puissant mais impossible attracteur. C'est justement cette impossibilité qui justifie l'existence du couple M L et ce dans le strict confinement d'un demi BODY. C'est la localité intrinsèque de chaque BODY qui permet d'annuler ses deux éléments contraires. Si cette localité est brisée, alors les deux éléments apparaissent et forme la matière-espace-temps. Ce qui brise la localité, c'est la mitose. Ainsi la reproduction de la vie ne fait qu'imiter le BEC fossile.