Enigme 37 : Synchronisation des oscillateurs Bodys dans un BEC
- Sceptique : s'agissant de la synchronisation d'oscillateurs stochastiques, non connexes et à énergie nulle, peut-on se rapporter aux expériences électroniques inspirées par Huygens ?
- A priori, les oscillateurs ℬodys de l'état d'univers permanent et stochastique, n'ont aucun déterminisme pour trouver une base commune pour se synchroniser. Les oscillateurs-horloges de Huygens avaient comme base commune, l'oscillateur-planche sur laquelle elles étaient posées. Cependant, si les lois du hasard amènent un début de synchronisation pour quelques ℬodys, alors ces derniers peuvent jouer le rôle de base commune.
- Sceptique : cependant les ℬodys sont réputés être à paramètres physiques nulles de par leur dualité. Comme l'état stochastique n'a pas d'espace-temps, comment faire pour faire coïncider leurs périodes réputées chacune aléatoire ?
- Chaque ℬody possède un "point zéro" dans lequel se joue l'origine de l'existence inertielle dans le confinement de chaque pôle du dipôle = 0. C'est le paradoxe du conflit entre l'impossible attracteur du zéro absolu et la non justification d'une inertie non nulle. La loi universelle : ℳ.ℒ = Cte, interdit ℳ = 0 pour éviter l'impossible ℒ = ∞. Si le hasard arrive à superposer quelques "points zéros", alors une base commune prend forme pour amorcer, avec une très faible probabilité, un début de synchronisation.
- Sceptique : d'accord pour considérer que le hasard joue le rôle d'amorce. Mais le hasard peut très bien défaire ce qu'il a fait !
- La synchronisation revient à diminuer l'entropie du désordre. Au niveau confiné des pôles concernés, l'énergie a baissé. Pour défaire cet état il faut fournir de l'énergie. Or les dipôles ℬodys stochastiques n'ont pas d'énergie. Il faudrait qu'ils partagent les points zéros synchronisés pour ce faire. Mais là encore un paradoxe apparaît : ce partage revient à synchroniser. Cependant, en effet, l'entreprise est farcie d'échecs.
- Sceptique : alors la situation n'est pas réversible ?
- La situation est plus complexe encore, pourquoi ? Il y a un facteur d'influence entre les "entrants stochastiques" et les "synchronisés en place". Ce facteur se traduit en terme de densité. Si le flux entrant est majoritaire alors il est statistiquement destructif. Si la vague (aléatoire) entrante est minoritaire alors les ℬodys en place forcent les entrants à se conformer au rythme synchronisé.
- A priori, les oscillateurs ℬodys de l'état d'univers permanent et stochastique, n'ont aucun déterminisme pour trouver une base commune pour se synchroniser. Les oscillateurs-horloges de Huygens avaient comme base commune, l'oscillateur-planche sur laquelle elles étaient posées. Cependant, si les lois du hasard amènent un début de synchronisation pour quelques ℬodys, alors ces derniers peuvent jouer le rôle de base commune.
- Sceptique : cependant les ℬodys sont réputés être à paramètres physiques nulles de par leur dualité. Comme l'état stochastique n'a pas d'espace-temps, comment faire pour faire coïncider leurs périodes réputées chacune aléatoire ?
- Chaque ℬody possède un "point zéro" dans lequel se joue l'origine de l'existence inertielle dans le confinement de chaque pôle du dipôle = 0. C'est le paradoxe du conflit entre l'impossible attracteur du zéro absolu et la non justification d'une inertie non nulle. La loi universelle : ℳ.ℒ = Cte, interdit ℳ = 0 pour éviter l'impossible ℒ = ∞. Si le hasard arrive à superposer quelques "points zéros", alors une base commune prend forme pour amorcer, avec une très faible probabilité, un début de synchronisation.
C'est seulement au niveau du point zéro que les paramètres physiques confinés sont accessibles. La synchronisation consolide les pôles confinés tout en conservant la nullité dans le référentiel des dipôles concernés.
- Sceptique : d'accord pour considérer que le hasard joue le rôle d'amorce. Mais le hasard peut très bien défaire ce qu'il a fait !
- La synchronisation revient à diminuer l'entropie du désordre. Au niveau confiné des pôles concernés, l'énergie a baissé. Pour défaire cet état il faut fournir de l'énergie. Or les dipôles ℬodys stochastiques n'ont pas d'énergie. Il faudrait qu'ils partagent les points zéros synchronisés pour ce faire. Mais là encore un paradoxe apparaît : ce partage revient à synchroniser. Cependant, en effet, l'entreprise est farcie d'échecs.
- Sceptique : alors la situation n'est pas réversible ?
- La situation est plus complexe encore, pourquoi ? Il y a un facteur d'influence entre les "entrants stochastiques" et les "synchronisés en place". Ce facteur se traduit en terme de densité. Si le flux entrant est majoritaire alors il est statistiquement destructif. Si la vague (aléatoire) entrante est minoritaire alors les ℬodys en place forcent les entrants à se conformer au rythme synchronisé.
- Sceptique : donc on peut avoir un très grand nombre de vagues destructrices avant de consolider le BEC en construction ?
- Exact : et comme le temps ne s'écoule pas, cela fini forcément par arriver. Quand la bulle du BEC en formation est suffisamment dense, son flux entrant se met à accélérer.
- Sceptique : pourquoi un seul BEC en formation ?
- Il y a forcément un nombre indéterminé de BECS en formation !
- Sceptique : donc il existerait plusieurs univers ?
- Non car la loi concernant le débit entrant favorise le premier un peu comme le premier spermatozoïde dans l'ovule ! Avec cette loi du type "plus la densité augmente plus le débit augmente" il y a forcément un premier !
- Sceptique : les autres BECs continuent à grossir ?
- Oui mais ils n'ont statistiquement que très peu de chance d'aboutir. En effet, le pseudo-temps du monde stochastique est sans commune mesure avec celui de la durée de vie de la Bulle-univers. Le pseudo-temps peut être apprécié en prenant arbitrairement comme unité de temps d'un ℬody synchronisé qui est celui dont l'électron a hérité. Le nombre de périodes relatif à la durée de vie de la Bulle-univers est environ de 10⁴⁸ ! Or ce nombre est ridiculement bas par rapport au nombre (moyen) de battements (brassages) pour que le hasard puisse construire un BEC jusqu'à sa saturation ! On pense que ce nombre est supérieur à (10¹²º)¹ºº⁰ ! Or 10¹²º correspond aux 𝜉¹¹ ℬodys synchronisés de la Bulle Univers observable.
Sceptique : alors comment la Bulle-Univers prend fin si ce n'est pas réversible ?
- Par définition, la Bulle-Univers en expansion voit sa densité baisser en r³. Mais de plus, sa surface d'échange augmente en r². Ainsi le flux varie en r⁵ et finit à son terme, par rendre tous les ℬodys au monde stochastique. Il y a bien réversibilité.
- Sceptique : Il y a la nouvelle interprétation de la formule de Boltzmann S = k ln(𝛺) qui traduit l'entropie de désordre pour un nombre 𝛺 de micros systèmes différents. Y-a-t-il une lien avec le nombre total de ℬodys (𝛺 = 𝜉¹¹) dans le BEC ?
- Oui car le tableau montre que : ln(𝜉¹¹/𝛼²) donne la masse du méson (+/-) en unité électron léger. Le même raisonnement permet de trouver le méson 0, le muon et le tauon. Revoir ceci. Ces particules sont des résonances éphémères qui témoignent du nombre de ℬodys dans la Bulle Univers. Voir également la loi générale de KOIDE-MAREAU.
- Exact : et comme le temps ne s'écoule pas, cela fini forcément par arriver. Quand la bulle du BEC en formation est suffisamment dense, son flux entrant se met à accélérer.
- Sceptique : pourquoi un seul BEC en formation ?
- Il y a forcément un nombre indéterminé de BECS en formation !
- Sceptique : donc il existerait plusieurs univers ?
- Non car la loi concernant le débit entrant favorise le premier un peu comme le premier spermatozoïde dans l'ovule ! Avec cette loi du type "plus la densité augmente plus le débit augmente" il y a forcément un premier !
- Sceptique : les autres BECs continuent à grossir ?
- Oui mais ils n'ont statistiquement que très peu de chance d'aboutir. En effet, le pseudo-temps du monde stochastique est sans commune mesure avec celui de la durée de vie de la Bulle-univers. Le pseudo-temps peut être apprécié en prenant arbitrairement comme unité de temps d'un ℬody synchronisé qui est celui dont l'électron a hérité. Le nombre de périodes relatif à la durée de vie de la Bulle-univers est environ de 10⁴⁸ ! Or ce nombre est ridiculement bas par rapport au nombre (moyen) de battements (brassages) pour que le hasard puisse construire un BEC jusqu'à sa saturation ! On pense que ce nombre est supérieur à (10¹²º)¹ºº⁰ ! Or 10¹²º correspond aux 𝜉¹¹ ℬodys synchronisés de la Bulle Univers observable.
Sceptique : alors comment la Bulle-Univers prend fin si ce n'est pas réversible ?
- Par définition, la Bulle-Univers en expansion voit sa densité baisser en r³. Mais de plus, sa surface d'échange augmente en r². Ainsi le flux varie en r⁵ et finit à son terme, par rendre tous les ℬodys au monde stochastique. Il y a bien réversibilité.
- Sceptique : Il y a la nouvelle interprétation de la formule de Boltzmann S = k ln(𝛺) qui traduit l'entropie de désordre pour un nombre 𝛺 de micros systèmes différents. Y-a-t-il une lien avec le nombre total de ℬodys (𝛺 = 𝜉¹¹) dans le BEC ?
- Oui car le tableau montre que : ln(𝜉¹¹/𝛼²) donne la masse du méson (+/-) en unité électron léger. Le même raisonnement permet de trouver le méson 0, le muon et le tauon. Revoir ceci. Ces particules sont des résonances éphémères qui témoignent du nombre de ℬodys dans la Bulle Univers. Voir également la loi générale de KOIDE-MAREAU.
Rappel : le lot de Bodys, amené à se synchroniser, l'a fait sur ses paramètres moyens issus du hasard. Ce lot est caractérisé par : a) le ratio xi^5 entre l'amplitude moyenne et le point zéro ayant la longueur de Planck ; b) son M.L moyen est celui de l'électron ; c) la période moyenne qui est celle également de l'électron.
RépondreSupprimertres interessant!
RépondreSupprimermais changez le sobriquet de " sceptique"
il merite mieux que cela et induit la marche en avant de la discussion merci
Wikipédia nous dit : "Le scepticisme (du grec σκεπτικός, skeptikos, « qui examine »), aussi appelé pyrrhonisme est une philosophie et une méthode grecque antique qui compare et oppose toutes choses afin d'atteindre la tranquillité (ἀταραξία, ataraxie) de l'âme (ψυχή, psyché)".
RépondreSupprimerDonc, cher Olivier, je ne changerais pas le caractère à la fois incisif et provocateur de mon interlocuteur qui représente mon côté prudent contrant ainsi les avancées provocatrices de mon côté "hérétique". A l'instar des sages Grecs, c'est en fouillant systématiquement les défauts de mes raisonnements que j'espère atteindre la tranquillité d'esprit.