Origine mécanique de la charge élémentaire quantique (1)
L'animation montre le principe d'un couple électron-positron créé localement et donc sans délocalisation. 1/ Chaque M a un potentiel L dans lequel il ne peut transiter ; 2/ les L opposés ont tendance à s'aligner ; 3/ la fusion aligne les L opposés ; 4/ les M transitent dans les L (ondes) opposés car ils sont alignés.
Personne ne se pose la question sur l'origine L (1D) et M ?
Beaucoup pensent
que le L (3D) a toujours existé ! Est-ce une réminiscence de croyance ?
Le 3D de l'espace-temps, n'est pas magique ! Il relève d'une organisation du L (1D).
Mais le L (1D) ne sort pas non plus de la cuisse de Jupiter ! Il n'a de sens que dans la dualité ML = Cte. Avec l'interprétation physique de l'impulsion de Dirac, on a vu que M ne peut atteindre l'impossible attracteur du zéro mathématique. Ce champ d'errance offre une infinité de solutions et donc il oscille avec une amplitude L . Mais l'entité L doit s'enrouler dans M qui est une composante de L et vice et versa. Selon Dirac la probabilité d'existence simultanée de la poule et l’œuf (x, y) est obligatoire (probabilité = 1).
Tout M naissant génère une amplitude (à venir) L. Mais L non courbé est d'une parfaite neutralité ! Vous avez dit "parfaite" ? Pas tout à fait ! Parce que le M naissant est déjà une forme de L enroulé..... M et L sont deux composantes d'une même entité.
Tout M naissant génère une amplitude (à venir) L. Mais L non courbé est d'une parfaite neutralité ! Vous avez dit "parfaite" ? Pas tout à fait ! Parce que le M naissant est déjà une forme de L enroulé..... M et L sont deux composantes d'une même entité.
Résumons :
1/ L'errance vers l'infinité de solutions vers l'attracteur du zéro M parfait, se traduit par une oscillation à amplitude L.
2/ L'amplitude de l'oscillation transforme la corde L en M par enroulement (courbure).
3/ La courbure (enroulement) révèle la raideur de la corde [M / T²] qui freine l'amplitude.
4/Quand M augmente, le T² (le carré du temps restant) diminue.
5/ la force de rappel des pôles est générée par la courbure de la corde. De plus cela est cohérent avec le fait suivant : le retour au point zéro, revient à rechercher un potentiel inertiel nulle.
Tous les ingrédients sont là pour montrer que même à l'échelle quantique, la charge Q est juste l'effet d'une courbure intrinsèque du couple de particules élémentaires → l'électron-positron ex-pôles délocalisés.
2/ L'amplitude de l'oscillation transforme la corde L en M par enroulement (courbure).
3/ La courbure (enroulement) révèle la raideur de la corde [M / T²] qui freine l'amplitude.
4/Quand M augmente, le T² (le carré du temps restant) diminue.
5/ la force de rappel des pôles est générée par la courbure de la corde. De plus cela est cohérent avec le fait suivant : le retour au point zéro, revient à rechercher un potentiel inertiel nulle.
Tous les ingrédients sont là pour montrer que même à l'échelle quantique, la charge Q est juste l'effet d'une courbure intrinsèque du couple de particules élémentaires → l'électron-positron ex-pôles délocalisés.
Prochainement, la même animation avec un couple créé par délocalisation des pôles. Elle montrera pourquoi le couple fusionne sans s'annihiler et crée une entité neutre.
RépondreSupprimerLa dualité onde-corpuscule est issue de la dualité M, L.
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