Présentation du blog

Le but de ce blog est de commenter mon second livre paru en mai 2017 : "Il était une fois l'univers à partir de rien". Ce blog est rattaché à mon site ouvert depuis 2008. Il sera ici question de populariser le modèle d'univers appelé "modèle OSCAR" et ce à grand renfort de pédagogie par le jeu de  diverses analogies courantes.


Ingénieur de 71 ans, je me suis spécialisé depuis près de 30 ans dans l'enseignement de la physique tout en développant le modèle OSCAR (Oscillateurs Subquantiques Continus Anharmoniques Reliés).   

Tout part de ces oscillateurs dipolaires qui matérialisent le zéro physique et relatif du néant. Ce "rien" est en fait comparable à une balance romaine qui indique un zéro relatif si les deux masses sont identiques. Il est ici question de symétrie et de confinement. CE zéro relatif est très différent du zéro absolu des mathématiques. Le zéro absolu est interdit en physique. Les oscillateurs primordiaux permanents, duaux et stochastiques odys, fonctionnent selon la fonction de DIRAC où le produit d'un couple est toujours constant. Ce couple : ℳ.ℒ = Cte est l'image mutuelle de la dualité : impédance/mobilité. L'impossibilité d'obtenir un zéro absolu de ℳ.ℒ  est le "moteur" éternel des oscillateurs dipolaires odys.

Ces zéros relatifs physiques peuvent donc être en nombre infini. Mais dans le confinement de chacun des pôles opposés d'un ody, le produit ℳ.ℒ este toujours plus grand que zéro absolu. On verra que l'inséparabilité de ce couple est la cause réelle de la dualité onde/corpuscule.

Il existe donc une dualité d'état d'univers : a) la matrice fait d'espaces 1D non connexes où l'entropie de désordre est totale ; b)  Ces brassages stochastiques induisent forcément un flux synchronisant qui forme un BEC-fossile, précurseur de la Bulle-Univers en expansion dans laquelle nous évoluons.  Cette bulle en expansion dans laquelle évolue lentement vers un état de désordre complet, évoqué précédemment.

Chaque étape est complètement détaillée au cours du livre et ce sans aucune hypothèse de départ !

Ni hypothèse ni spéculation mais seulement un décodage des relations physiques connues et de toutes les observations dont on peut disposer. 

Ce modèle est en accord avec la description du modèle standard avec cependant, les divergences suivantes :

1/ au delà de la description classique, le modèle cherche les causes et donc les véritables explications. Nous verrons que nous sommes extrêmement exigeants concernant le non amalgame entre décrire et expliquer.
2/ le big bang n'est plus un point de départ (mystique) mais le résultat d'une mitose du BEC-fossile complètement expliquée et confirmée par toutes les observations.
3/ Les seules et uniques particules initiales sont les paires électron-positrons issues directement de la séparation des oscillateurs dipolaires. Le principe de non localité joue ici un rôle essentiel pour donner un statut de pseudo boson aux paires électron-positrons délocalisées et relocalisées. On explique pourquoi les positrons sont toujours confinés dans les particules et dans le proton (seule particule composite stable !), il représente sa charge électrique.   
4/ les quarks sont des entités induites et non constitutives ! Leur intérêt est secondaire.
5/ le boson de Higgs est confirmé mais son rôle n'est pas de fournir la masse aux particules. Une  dichotomie essentielle doit-être faite entre les créations locales (instables) et les créations non locales (stables). Le boson de Higgs est l'extraction maximale (séparation d'un pôle subquantique) qui peut-être faite via un proton.
6/ Le modèle répond à plus de 100 énigmes qui sont résolues une à une, dans la cohérence générale.
7/ Il produit plus de 20 prédictions chiffrées.

Ce blog est ouvert pour critiquer et éventuellement amender ce modèle du tout. 

Commentaires

  1. Mr MAREAU, bonjour.
    Si je me pose la question de savoir d'où les bosons tachyons de chaque BEC, qui donc oscillent par paires de chaque côté de leur point zéro, tirent leur énergie cinétique, qu'est-ce que je n'ai pas compris ?

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. L'énergie cinétique est strictement nulle tant qu'il n'y a pas de perturbation. La clé de l'oscillateur bipolaire (dual) tient dans l'impossibilité d'obtenir un zéro statique car M → 0 amène forcément un L → infini, ce qui est injustifiable. C'est juste la forme fondamentale du zéro dans lequel l'énergie est purement potentielle et imaginaire au sens mathématique. Le jeu du produit M L ressemble à celui de E I (volt × ampère) d'un courant alternatif (oscillant). Dans ce cas, un imaginaire pur serait une oscillation entre avec un déphasage entre E et I de 180°. Avoir E sans I donne une puissance nulle. Cependant cela reste théorique car dans cet exemple, il existe des perturbateurs (échauffement joules) qui font que l'oscillation va s'arrêter.

      Supprimer
  2. S'il s'agit-il du fait qu'ils sont de parité opposée, pourquoi oscillent-ils, au lieu de rester simplement à distance ?

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. S'il restaient à distance, alors ils ne passeraient pas par zéro. Et donc la clé de leur existence disparaitrait. C'est le passage (impossible) à zéro qui génère le mouvement à puissance zéro.

      Il faut nous sortir de la tête le zéro absolu car fondamentalement, il n'existe pas.

      Supprimer
  3. Autre question : un BEC n'apparaît-il pas seulement à (très) basse température ?

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Oui c'est exact. Mais fondamentalement, la température, c'est l'agitation désordonnée (le niveau d'entropie). Ce qui fait baisser l'entropie, c'est la synchronisation. Or le BEC naissant a le plus bas niveau de température que l'on puisse imaginer car sa synchro est parfaite. C'est juste au moment où le flux de synchronisation arrive à saturation (BEC surchargé → densité non isotrope) que les tachyons de la première couche, se séparent et deviennent des paires électron-positron (perturbatrices à souhait). Ces paires se noient dans tous les autres tachyons (non séparés) formant l'espace-temps. Ainsi les particules et l'espace-temps, ont exactement la même source.

      En gros, la bulle univers part d'une entropie minimale et évolue vers une entropie maximale (son état stochastique). On montre que, statistiquement, le brassage induit obligatoirement une flux de synchronisation et le cycle repart indéfiniment. Mais chaque bulle repart avec des constantes aléatoires. Par exemple, un proton peut "peser" 150 fois un électron au lier de 1836 fois.

      Supprimer
  4. En complément à cette réponse, je dirais que l'univers est imaginaire (au sens mathématique). Il existe deux types de déphasage :

    180° → donne zéro global bipolaire de l'oscillateur boson.
    90° → donne le déphasage entre M et L dans chaque tachyon de l'oscillateur boson.

    Alors l'existence réelle de M et de L donne une ensemble imaginaire par ce déphasage.
    Moi qui ai tellement enseigné les bienfaits de l'approche de la physique par les équations aux dimensions (M, L, T), déclare que M et L n'existent pas séparément dans le monde quantique. C'est un tout où l'un est reflet de l'autre. C'est exactement la même chose entre M et T. M est un double générateur : il génère L quand il tend vers vers zéro et de part son inertie, il génère un effet retard représenté par T.

    Attention, il ne faut pas confondre cette notion d'imaginaire avec une certaine approche (naïve) dite anthropique. Cette dernière dit que l'univers n'existerait que parce que nous le regardons !

    Maintenant, du point de vue entropique (pas anthropique) quel est le bilan d'une bulle univers ? Et bien comme tous les échanges d'énergie sont purement internes le bilan global est nul. Cependant comme il peut se voir comme un immense oscillateur, tout manifestation d'énergie ne fait que raccourcir son temps. C'est tout. Le plein d'énergie au départ est juste représenté par le super potentiel de synchronisation du BEC originel et son usure se mesure dans son augmentation d'entropie (de désordre).

    Cette mesure est bien avérée.

    RépondreSupprimer
  5. Merci pour vos réponses. Je vais essayer de les comprendre (pas facile pour un non-initié ! ...)
    Je lis actuellement ce que vous dites sur les quarks et ça m'intéresse beaucoup. J'ai encore une question à ce sujet : si on casse un électron dans un collisionneur (ex. électron vs électron), quels genres de "sous-particules" obtient-on alors ? des quarks également ? autre chose ? Je n'ai pas trouvé sur le net.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Un résumé : le RIEN ultime et originel, est le résultat d'une oscillation bipolaire. Toute approche statique serait condamnée à ne JAMAIS pouvoir se justifier. Non seulement pour la notion d'existence mais en plus, pour la notion de constante qui en découle.

      Alors que l'oscillation du zéro est non seulement vérifiée (localement) mais elle ouvre la notion d'aléa (le contraire d'une constante).

      S'agissant des quarks, il sont induits dans les particules composites que l'on appelle les baryons. Parmi eux il y a le proton qui est le seul et unique assemblage stable.

      Donc on ne peut casser un électron dans une expérience LOCALE.

      Cependant celui-ci peut être cassé (en parti) dans une collision (entre galaxies) dont les origines sont NON locales. Voir "matière noire" sur mon site. Cet électron (et positron) perd sont intégrité d'une manière analogique et ce, en fonction de l'angle que font entre elles, les origines des galaxies en question.
      C'est la clé de la matière noire noire. Ces paires cassées (en partie) perdent leur harmonicité et de ce fait ne peuvent plus servir d'élément composite aux protons qui sont les seuls à former la matière visible.

      Supprimer
  6. Bonjour.

    Donc, si je comprends bien, on n'a pas réussi à casser des électrons dans les collisionneurs.

    Voilà une information intéressante, qui va en effet dans votre sens, puisque je crois que vous considérez l'électron comme la brique élémentaire de toute autre particule.

    Pour moi aussi, c'est "matière" à réflexion, dans la mesure où j'essaie de me représenter sous quelles formes de matière peuvent se constituer les particules (ondes, plasma, ou autre ...)

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Les ondes représentent le lien entre les particules et le tissu de tachyons formant l'espace-temps dans un BEC.
      Exemple :
      1/ on crée localement une paire électron-positron.
      2/ sans intervention, cette paire s'annihile et diffuse à vitesse c sous la forme d'une onde (2 photons).

      En (1) on a perturbé le tissu de tachyons avec apport d'énergie telle qu'il a suffit pour séparer un boson-2-tachyons, devenant cette paire électron-positron. Cette perturbation a diffusé dans tout le tissu où chaque tachyon a pris un gradient de cette perturbation. Une nouvelle symétrie s'est créée dans tout le BEC.

      L'action (2) restitue le déséquilibre à l'ensemble des tachyons mais avec la limite à la vitesse c. Pourquoi cette limite ? Tout simplement parce que le temps élémentaire du BEC (T) ne permet que de franchir l'espace élémentaire (L) et on a donc la cause de la constante : c = L/T.

      Mais un électron stable, le reste car il a été séparé (il a perdu sa localité) lors de la mitose originelle. Ensuite son déplacement entraine une perturbation supplémentaire, ce qui se traduit par une masse supplémentaire. Ce qui le différencie d'une onde c'est le fait que l'onde apporte une diminution de perturbation par son déplacement. Elle diffuse ou rend l'équilibre. Alors que l'électron ne diffuse pas. Il augmente la perturbation. Pourquoi ? Parce que l'équilibre au repos est remis en question. A chaque franchissement d'un espace élémentaire, il appelle un réajustement de son équilibre de perturbation. Il faut rappeler que le lien M et L est déjà actif dans la théorie de la relativité restreinte.

      L'onde en déplacement rend de l'équilibre (ou symétrie) alors que l'électron (et toute particule) aggrave l'asymétrie obligeant ainsi des corrections successives.

      Supprimer
  7. Merci.
    Ca aussi ça reste une question : quel est le "mécanisme" qui est à l'oeuvre lors d'une annihilation ? Pourquoi matière et anti-matière s'annihilent ? Qu'est-ce que ça dit de la nature de l'énergie qui est à l'oeuvre dans l'univers ?... (Pourquoi, par ex. il n'y a apparemment pas d'"anti-ondes" ?)

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Je rajouterai pour être un peu plus clair dans mon questionnement :
      Puisque, lors de l'annihilation, de l'énergie est restituée sous forme de rayonnement (= son état stable ?), pourrait-on considérer les particules comme une forme particulière (!) d'"emprisonnnement" de cette énergie ? (particule = moins stable = déséquilibre ?)
      Le pb, c'est que cela sous-entend qu'à chaque particule existante qui s'est formée, il y a, par symétrie, également une anti-particule qui s'est formée qq part ... Ce qui ne semble pas être le cas.
      Je sais que la théorie standard dit qu'elles ont existé à l'origine et qu'elles ont disparu depuis. Mais, dans ce cas, les particules "normales" auraient dû logiquement disparaître aussi.

      Supprimer
  8. Matière et antimatière s'annihilent pour tendre vers zéro un peu comme le font tachyon(+) et tachyon (–). La différence réside dans le mode. Dans le premier cas c'est un mode binaire et dans le second c'est un mode analogique. Dans les deux cas on tend vers zéro. C'est l'attracteur universel !

    Quand à la nature de l'électron, c'est également un oscillateur bipolaire MAIS de type transverse. Un côté baigne dans le subquantique et l'autre, au niveau quantique. En revanche, l'échange entre les deux n'est pas tout à fait symétrique (la perturbation) qui se mesure notamment avec l'anomalie du moment magnétique (avec une très grande précision).

    C'est un oscillateur où M et L sont déphasés comme dans le tachyon. La mesure concerne la masse moyenne. L'électron ne tourne pas car son spin est donné par la contrepartie subquantique. Il oscille radialement (voir le zitterwebegung ou tremblement de peur qui est mesuré).

    Il est juste un tachyon séparé (orphelin) où le M oscille avec son reflet, le L. Mais sa séparation est provisoire car il retrouvera son état tachyon chaotique après quelques 200 milliards d'années !

    L'anti-onde électromagnétique peut se voir comme le reflet naturel et déphasé, de sa propre sinusoïde.

    RépondreSupprimer
  9. Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.

    RépondreSupprimer
  10. Les tenants de la théorie standard érigée en dogme (TSED), en ne tenant pas compte de la dualité de localité, se privent de résoudre les 53 énigmes fondamentales.
    Notez bien qu'ils ne les ont même pas recensées !
    En revanche les TSED ont raison en disant que toute particule a son anti-particule pour raison de symétrie, mais ils ont tort de spéculer sur une asymétrie dans laquelle l'antimatière aurait disparu.

    Il y a même là une contradiction évidente ! Mais les dogmatiques ne sont pas à ça près !

    Dans sa résolution des 53 énigmes, le modèle OSCAR est contraint par un proton fait de 920 paires électron-positrons (1840 unités neutres) + 1 positron célibataire. Ces 1841 unités ne "pèsent" que 1836.15 électrons lourds (habillés).
    Si les positrons ne s'annihilent pas c'est parce qu'ils sont de création non locale !

    Il y a trois quatre éléments qui semblent démentir cette vue :

    1/ en ne faisant pas la différence de localité, les TSED pensent (!) que tous les positrons doivent s'annihiler dans leur position d'amalgame de localité.
    2/ les électron-positrons locaux sont des fermions et ne peuvent se condenser ! Mais on oublie que les non locaux qui se comportent comme des bosons ! Le proton est une sorte de BEC.
    3/ les positrons célibataires et stables ne montrent jamais leur nez ! Mais cela est normal puisque il existe une polarisation subquantique/quantique, qui l'interdit.
    4/ pour certains atomes lourds, on voit des positrons émis qui s'annihilent ! Mais c'est normal car ces émissions sont paritaires et locales.

    Le MS bloque sur ces 4 (fausses) raisons ! On en est là avec la psychorigidité ambiante !

    Bonne soirée ! Vous avez une curiosité insatiable et j'aime ça !

    RépondreSupprimer
  11. Je précise que mon modèle est érigé sur les bases du MS en rajoutant seulement le critère de LOCALITE qui est la clé ultime. Toutes les observations et mesures faites par le MS me vont parfaitement. En revanche, je conteste certains raisonnement (!) de théoriciens que je juge souvent comme étant spéculatifs.

    RépondreSupprimer
  12. Merci pour votre effort de vous mettre un peu à ma portée !

    Je vous avais prévenu que j'avais un lot de questions saugrenues que je me posais - et que je ne résisterai pas à la tentation de vous poser !
    J'en aurais bien encore qq unes, mais je vais maintenant revenir à votre site et essayer de comprendre le plus possible les bases de votre démarche. Je suis impressionné par sa spécificité et son étendue !

    RépondreSupprimer
  13. Allez ! Une petite dernière pour la route ! (Je résiste à tout, sauf à la tentation ...)

    Ce que je vais vous soumettre, ce n'est pas à proprement parler une question, mais plutôt un raisonnement. Je voulais le mettre sur le site de Mr HARTMANSHENN, mais là, c'est vous qui allez vous y coller !

    J'ai toujours été intrigué par le fait que, dans l'intrication quantique, il y a un état particulier (oui, je sais ...) qui fait que les deux particules qui sont liées, le sont dans un mode oscillatoire qui obéit à une sorte de loi de PAULI : elles sont certes en phase, mais opposées. Par ex. spin up ou spin down. Ou phase d'onde de polarité opposée. Elles sont liées mais n'ont pas le droit d'être rigoureusement dans le même état.

    Je me suis dit que, pour faire respecter cette "loi", il devait y avoir, en plus des deux particules impliquées, un "troisième larron" ! Ce 3e larron devra être capable d'inter-relation énergétique avec ces particules, et ne devra pas être spécifiquement local, vu que les particules peuvent être amenées à être séparées spatialement.
    Et j'en vois un qui a toutes ces caractéristiques, c'est le "vide quantique".

    Si on peut supposer qu'il interfère, d'une façon ou d'une autre, dans le processus d'intrication pour "obliger" les particules liées à osciller ou à vibrer selon un mode ondulatoire de phase opposée, on peut également se dire que toute intervention qui interrompt ce processus sur une des particules, le fait obligatoirement et instantanément sur l'autre (qui est donc en phase opposée), vu que le "vide" est une propriété de l'espace, donc un champ, et qu'il n'est pas local ...
    Pas de variable cachée, pas d'action à distance, juste faire appel à une (sous-)propriété de l'espace, rien que du normal ! ...

    Mais je dois sans doute avoir tout faux ...

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Vive les questions ! Je rentre juste de quelques jours de repos et je répondrai rapidement à celle-ci.

      Supprimer
    2. L'étrangeté de l'intrication quantique, est souvent décrite comme une "action fantôme" car elle apparaît comme étant instantanée !

      Bien entendu, elle n'est pas instantanée mais force est de constater qu'elle va nettement plus vite que la lumière....

      Alors vous parlez d'un troisième larron et c'est là que les mots doivent avoir un sens. Le flou artistique des appellations standards, est flagrant : "vide quantique" ; "champ" ; "variable cachée". Avec ces mots, on ne peut avancer pour lever les énigmes.

      Commençons par les "variables cachées" : BELL a dit (avec raison) qu'il n'y avait pas de variable cachée LOCALE (!). Cela laisse entendre qu'il y a une variable cachée NON LOCALE. En fait même avec cette mise au point, on est encore dans l'erreur ! En effet, la notion de NON LOCALITÉ est souvent interprétée à tort comme étant absolue. Elle ne l'est pas car les tachyons ont une grande vitesse mais non infinie !

      Ensuite, les notions de "vide pas vide" ou de "champ" sont justes des mots qui laissent entendre que l'on maitriserait les causes. Ce n'est pas le cas. En effet, l'espace-temps a une matérialité faite d'un tissu croisé d'oscillateurs-bosons-2-tachyons. Ce sont eux qui induisent le spin aux particules et donc l'intrication est le fait de leur liaison (ou maintien de leur symétrie) et ce, à grande vitesse.

      Ainsi la conclusion faite par certains scientifiques et que vous rapportez : " Pas de variable cachée, pas d'action à distance, juste faire appel à une (sous-)propriété de l'espace, rien que du normal ! ...

      est fausse par les points suivants :

      1/ amalgame sur les variables cachées (locales ou pas)
      2/ appel a une "propriété" (magique ?) de l'espace
      3/ flou artistique du terme "action à distance" qui joue sur le mot "action" avec bien sûr pas d'action au sens énergétique mais bien une "action" au sens de la réponse spinorielle et binaire.

      Il faut lire et relire BRICMONT au sujet des scientifiques qui cherchent à tous prix à se rassurer avec "tout est normal" ! Ils craignent tellement à devoir réapprendre les éléments réductionnistes de l'école de Copenhague ! Souvent appris sur le mode "par cœur", on peut comprendre qu'ils cherchent à se rassurer par tous les moyens. Un vrai scientifique, ne craint pas les évolutions. bien au contraire, ce sont de nouveaux défis qui alimentent leur passion.

      Supprimer
    3. Merci. Vous pointez - entre autres - un des points fragiles de mon raisonnement : la "propriété magique" que j'y attribuais à l'espace.
      C'est vrai que cela reste encore une de mes questions : la nature exacte de l'espace. J'aurais tendance à la voir "énergétique", eu égard à ses origines. D'où l'idée de "champ".
      Mais je n'ai pas les moyens de développer cela aussi finement et avec autant de précision que vous le faites dans OSCAR. J'essaie d'ailleurs de le comprendre. Mais j'ai bp de mal - ne serait-ce que déjà avec le BEC !
      J'aurais aussi tendance à ne pas associer systématiquement temps et espace, même s'ils le sont souvent, de mon point de vue.
      Vous avez une idée du chemin que j'ai encore à parcourir ...

      Supprimer
    4. P.S. J'ai bien aimé la réponse que vous faites à Mr OKANA. Je trouve qu'elle résume bien l'esprit et l'orientation de votre démarche OSCAR.

      Supprimer
    5. Concernant le BEC, on peut dire plusieurs choses :
      1/ on connait les règles qui font son équilibre et il y a notamment son isotropie de densité. (voir le chapitre 10 du site et le lien inclus sur le fonctionnement du BEC).
      2/ le chapitre 11 explique son fonctionnement avant saturation
      3/ le chapitre 13 est consacré à sa saturation.

      Oui ma réponse à Mr OKANA résume bien le modèle OSCAR et surtout dénonce les dérives causées par la seule approche mathématique. Cette dernière est essentielle pour une description rigoureuse mais ne peut en aucun cas servir d'éclaireur dans la démarche du physicien pour comprendre. Il y a là un amalgame qui porte préjudice au bon avancement du modèle standard.
      Encore une fois je dénonce l'amalgame que font beaucoup de physiciens, entre décrire et expliquer.

      Supprimer
  14. CA Y EST!!!! J AI FINI PAR RETROUVER VOTRE SITE BLOGGER!!!!!

    RépondreSupprimer
  15. Bonjour,
    j'ai fait partie de ceux qui ont suivi l'écriture du deuxième livre en direct et j'ai enfin pu constater que la physique pouvait reprendre le dessus sur les mathématiques, qui, malgré leur redoutable efficacité, nous avaient conduit dans des modèles "acadabrantesques".
    Merci à Dominique Mareau pour ce magnifique modèle OSCAR, dont il est regrettable que la puissance intellectuelle et médiatique du modèle standard réussisse à rendre anecdotique des modèles, non pas qui s'opposent, mais qui viennent au contraire éclairer les quelques zones d'ombre...

    RépondreSupprimer
  16. Attention mettez ce lien : https://sciencesetuniverspourtous.blogspot.fr/

    en marque page car il permet d'accéder à la source de tous les articles.

    Merci

    RépondreSupprimer

Enregistrer un commentaire

Posts les plus consultés de ce blog

L'atome Schrödinger-Oscar

La Bulle Univers est un trou noir

D'où vient la fameuse constante de structure fine = 1/137,03599.. ?