La preuve de l'existence des tachyons

Pour conserver le crédit de ses pairs physiciens, il n'est pas recommandé d'évoquer l'existence des tachyons (supraluminiques).  Ces derniers sont majoritairement considérés comme une spéculation alors qu'ils forment l'ossature du modèle OSCAR qui explique 53 énigmes du modèle standard.

Ce rejet vient du fait que certains se sont servis du caractère supraluminique des tachyons  pour dénigrer (à tort) la relativité restreinte d'Albert Einstein. Et pourtant nous parlons ici du tachyon comme la cause de la constante de la vitesse de la lumière ! IL donne la CAUSE  de relativité restreinte et générale !  Cependant, il reste à définir exactement ce qu'est un tachyon. 

Pour le modèle OSCAR, il est l'un des deux pôles opposés qui composent les Bosons Oscillateurs Dipolaires Yin Yang – ℬodys – qui structurent l'espace-temps. Ce qui est appelé "champ" quitte son caractère magique pour représenter le tissu dynamique subquantique qui matérialise et structure, l'espace-temps. Chaque particule, couplée avec les ℬodys, partage son spin avec un des ses pôles. C'est la raison pour laquelle on parle de "non localité" concernant les spins préalablement appariés.  Le modèle montre en détail,  comment une (petite) partie de ces ℬodys s'est relocalisée pour former les paires électron-positrons. La plus grande partie  – restée en l'état – structure l'espace-temps. Le mot "champ" quitte son caractère magique pour devenir l'espace-temps maillé de ℬodys à l'échelle subquantique. L'expérience uniquement locale est insuffisante car il existe une dualité de localité sans laquelle on ne peut espérer accéder aux causes de l'univers.     

Il existe des preuves expérimentales de l'existence des ℬodys (sorte de tachyon) :

1/ la vitesse supraluminique due à l'effet tunnel    
2/ l'apparente instantanéité de l'intrication des spins
3/ la loi canonique de Compton dérivée de ℳ.ℒ = Cte, qui explique le rayon du proton à partir de celui de l'électron.
4/ la charge du proton mesurée à celle du positron.
5/ la polarisation du "vide" qui explique le statut de confinement des positrons stables.
6/  la dualité de localité qui explique la dualité {stable-instable}. 
7/ les positrons émis dans certaines réactions locales, ont le statut d'instabilité. L'effet tunnel explique la commutation de statut de localité concernant l'électron stable rencontré et l'électron créé et resté confiné.
8/ la naïve dichotomie de Pauli {boson-fermion} qui n'imagine pas que son statut n'est que local.
9/ si toutes les localités se ressemblent, la non localité de création (donc avec séparation par relocalisation)  est totalement différente.
10/ l'universalité du principe de dualité (qui s'étend à l'opération "création") et la symétrie chirale qui en découle, s'étend également au zéro. En effet, le caractère absolu du zéro mathématique – valable pour les nombres neutres en matière de paramètre physique) – est totalement incompatible avec la physique.  Le zéro physique est de statut relatif car il est le résultat de la somme algébrique des pôles de chaque ℬody.         
11/ La dualité de localité implique de facto, la dualité de vitesse. La cause de la vitesse c est la vitesse moyenne  d'oscillation c° >> c,  des pôles de ℬodys subquantiques. 
12/ les paires électron-positrons créées localement son toujours instables !
13/ l'électron est la seule et unique particule élémentaire à être stable à l'état libre,  si et seulement si, sa création n'est pas locale.  

Mais au delà de ces preuves, il y a –  via les ℬodys (tachyons) –  la levée des 53 énigmes du modèle standard.

Les notions d'absolu et de monisme, chères au moyen âge, sévissent encore aujourd'hui ! Elles empêchent de prendre conscience de l'importance de la dualité de localité et notamment du point de vue de la "création".  Même ce vocable "création" relève du mysticisme de l'absolu. La réalité relève –comme l'a dit Lavoisier – d'une transformation. Si on injecte l'énergie propre à une paire électron-positron, on provoque l'extraction des pôles (relocalisés et donc instables) d'un ℬody. Si on injecte l'énergie d'une paire proton-anti-proton (locale et donc instable) , on provoque l'extraction croisée de paires électron-positrons formant proton-antiproton instables. 

Commentaires

  1. Quelques remarques que vous pourrez corriger au besoin:

    Ce qui est difficile à appréhender, c'est la nature exacte d'un tachyon. Notre vision macroscopique du monde veut qu'on le voit comme une particule "standard" et donc qu'elle ne peut pas aller plus vite que la lumière, conformément aux travaux d'Einstein.

    La vitesse c est une constante qui n'a d'existence que dans notre bulle univers, apparue lors de la saturation du BEC géniteur. Pourtant après cette "naissance", l'expansion de l'univers s'est propagé à des vitesses supérieures à celle de la lumière (5c max) via la mitose en 5 étapes, malgré la présence de matière et donc de particules "standards".
    13,7 milliards d'années après ce début, l'expansion est toujours supérieure à la vitesse de la lumière, mais avec un ralentissement des couches en avance.

    Ces vitesses dépendent donc des référentiels utilisés: si on prend le référentiel au centre du BEC géniteur, les particules radiales vont à 5c après mitose complète, mais si le référentiel est pris lors de la 2iéme étape, ce ne sera que 4c... et donc seulement 1c si le référentiel est pris lors de la cinquième étape de la mitose. Au bilan, rien ne dépasse c dans le référentiel lié à son étape de mitose.

    Autre remarque, la vitesse de la lumière nous apparait immense à l'échelle de l'homme: c'est l'instantanéité de la lumière qui s'allume quand on actionne un interrupteur, c'est la quasi immédiateté des communications téléphoniques cellulaires, etc. Mais déjà à l'échelle de la distance du soleil (8' pour qu'un photon solaire nous parvienne) ou du système solaire, la "rapidité" de cette vitesse est déjà discutable, et c'est encore pire à l'échelle de l'étoile la plus proche (4 ans) ou de notre galaxie (100 000 ans pour la traverser à la vitesse de la lumière) ou de l'horizon visible de notre bulle univers, au sein de laquelle la vitesse de la lumière est bien lente !

    Enfin, avant la création de notre bulle univers, les tachyons évoluaient dans "rien", sans constante, sans mini, sans maxi. La vitesse c ne représente donc rien dans ce monde préquantique. A la saturation, seule une toute petite partie des paires de tachyons se sont séparées, mais l'immense majorité des autres ont continué leur vie, certes, en phase entre eux. La limite c ne concerne alors que le déplacement des particules "séparées" dans ce tissu de tachyons phasés.

    Merci pour la publication de votre livre Mr Mareau.

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    1. Oui la nature exacte d'un tachyon est difficile à appréhender avec notre vue humaine limitée à l'échelle macro !

      Cependant, on peut dire que ce qui justifie son existence, est l'impossibilité du zéro absolu parfait. Il y a une vibration erratique autour de ce zéro et elle est bien connue. Mais attention si l'oscillation n'est pas duale, il faut justifier un apport d'énergie !

      Il faut donc plusieurs conditions pour vibrer sans rien dépenser :

      1/ la symétrie duale qui annule parfaitement par le point zéro dans le référentiel boson.

      2/ dans le référentiel tachyon, la notion d'inertie (M) variable (donc dM) qui implique une notion d'imaginaire (déphasage) avec l'espace L et le temps T.

      3/ M et L ne "vivent" pas en même temps et c'est un peu comme une puissance électrique ou U et I serait déphasés de pi/2 ! Il n'y a alors aucune puissance utile ! D'ailleurs on sait fabriquer un oscillateur dans ce qu'on appelle un circuit RLC. Si on savait supprimer R (la résistance) alors on obtiendrais une oscillation permanente et gratuite.

      Maintenant, sur notre "vision" humaine du phénomène, on peut dire :

      1/ l'oscillation est la seule réponse à l'impossibilité du zéro.
      2/ la notion d'espace (1D) est le dual de la notion d'inertie.
      3/ A chaque cycle, ML est différent mais reste constant.

      La notion d'espace nous parait naturelle mais en fait, elle est l'enfant de l'impossibilité du zéro absolu. M et L sont indissociables et génèrent la fréquence (1/T) de l'oscillateur. Ainsi l'appréhension du tachyon est indissociable de celle de l'existence de MLT.

      Pour le reste de vos propos, je vois que vous avez saisi les fondements du modèle OSCAR.

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  2. Bonjour,

    J'approuve l'existence des tachyons. Je pense que ceux-ci peuvent ralentir par effet tunnel et donc acquérir une masse réel avec finalement une flèche du temps inversée(pour lui, normale pour nous en fait).
    Lorsque j'ai imagine l'espace-temps comme une double entité et non plus une seule; on aurait l'espace comme la trame de notre univers parcouru par deux fluides temporels qui circulerait à contre sens.
    Lorsque notre fluide réel rencontre de l'energie, il est en quelque sorte freiné. Cela risquait de provoquer sur ces filets fluides temporels des zones de non-temps sauf si l'autre fluide qui circule à contre sens est aussi ralenti. Ce fluide acquerait une valeur réelle et inverserait sa course(fleche du temps) pour compenser le retard du premier et assuer un continuum dans le parcours du temps.

    Qu'en pensez-vous?

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