L'univers à partir de "rien" pour les nuls (5)
Nous avons vu que sur toute ligne (1D) de la
surface du BEC primordial, il restait une charge très faiblement
attractive. C'est ce qui reste de la relation entre un élément et
son alter ego – situé aux antipodes – de chaque ex-ensemble de
boson-oscillant. En posant que l'intensité de ce lien initial était
unitaire dans l'oscillateur boson, alors la délocalisation la
divise par autant d'intervalles n
(ou électron-positrons), traversés ! Mais ce nombre n
est-il vraiment inconnu ?
Non car il existe une relation physique qui le révèle très précisément ! Il s'agit d'une relation connue qui donne le rapport entre la force électrique et la force gravitationnelle mais appliquée à une paire électron-positron. Il s'agit en fait du ratio de délocalisation !
10.
Naissance de la gravitation
Cette légère force – purement attractive –
est donc la gravitation. Cette loi
physique connue donne le rapport (ou ratio) entre la gravitation
et la force électrique, appliqué à une paire électron-positron.
Par définition ce ratio donne le nombre exact* de paires à la phase
S soit : n = xi4.
Le résultat est sans appel, il y a donc en 1D xi4
intervalles élémentaires et donc de cordes tachyons. Cela veut dire
que l'intervalle en phase S,
était confondu avec l'épaisseur de corde ! Sa taille était
exactement : Lt = Le / xi. Puisque la demi circonférence
contient : n = xi4
rayons de cercles élémentaires alors l'aire de la couche sphérique
en contient ( xi4)²
= xi8.
Ceci est le nombre de paires originelles séparées formant toute la
matière de l'univers !
On a vu dans le chapitre précédant, que la
condition d'isotropie exige des surfaces élémentaires réglées à
Le² ! Mais c'est impossible car ça limite le nombre à xi6
alors que cette
loi physique connue, contraint le nombre xi8
! Il vient que le taux de mitose (étirement des
intervalles élémentaires) est : xi8 / xi6 =
xi2
! Cela veut dire que la mitose a produit xi²
BEC-fils ! Voilà la cause de la gravitation, déduite d'une
relation existante et non pas de vagues spéculations !
* Au chapitre suivant nous verrons qu'une certaine
constante connue est nécessaire pour parvenir à ce résultat.
11.
Mitose et
annihilation
La démultiplication (ou mitose)
du BEC primordial est motivée par l'isotropie des intervalles
élémentaires. Donc dès la phase I
ce besoin se faisait déjà sentir car il s'agit de la loi liée au
bon
équilibre d'un BEC. Mais les forces internes des
oscillateur-bosons empêchaient toute séparation ! En revanche
la saturation-séparation de la première couche, ouvre la
possibilité de mitose. Mais cette séparation (ou changement de
localité) se passe au même moment où la mitose démarre sa
première étape ! Catastrophe ! La délocalisation brutale
entraîne un énorme taux d'échec qui se traduit sous la forme d'une
annihilation ! Le modèle montre que le taux d'annihilation
correspond exactement à un fameux ratio 1D qu'on appelle « constante
de structure fine » ou alpha. Elle vaut a
= 137,035999 ! La plupart des paires
électron-positrons sont à peine formées, qu'elles sont aussitôt
annihilées. C'est ce que dit le facteur a
présent dans la loi
donnée au chapitre 10 ! Or le lien gravitationnel suit une
ligne 1D (circonférence). Mais en revanche, l'annihilation fait
baisser le nombre de masses élémentaires rescapées sur la surface
2D, donc du facteur a².
Ainsi le nombre de masses (en unité électron), correspond à la
masse moyenne estimée de l'univers :
me × xi8
/ a2 = 1054 kg !
Le taux, (aléatoire) d'annihilation représente
l'élément déclencheur de la mitose ! Le modèle montre
qu'elles se traduit en 5 étapes alpha (137).
L'annihilation et la mitose, ont la même conséquence sur les
intervalles élémentaires : leur croissance ! Donc le
genre annihilation s'ajoute au 5 étapes de mitose concernant la
croissances des intervalles ! Cela donne en 1D : 1
(annihilation) + 5 (mitose) = 6 étapes de croissance soit :
a6 ! En 2D nous allons donc
avoir : a12 .
Par des dizaines de recoupements, le modèle OSCAR
montre que la mitose est de type fractal. A chaque étapes de
division, le BEC émet un paquet de BECs-fils, à la vitesse : c
= 3×108 m/s. Pour
cinq étapes successives, la vitesse maximale d'expansion de la
bulle-univers est de 5 c ! Chacun
des xi²
BEC-fils, en expansion
s'approprie son quota de matière
(produite
sur la première couche).
L'analogie avec la croûte et
la mie du pain qui se mélangent, est frappante. Le modèle OSCAR
montre que chaque BEC-fils
loge une étoile
primordiale et accélère son
accrétion. Cela explique la
précocité énigmatique des premières étoiles. Le
nombre xi² = 1022
étoiles est conforme aux estimations courantes.
On a vu que
l'agrandissement des intervalles élémentaires, mitose et
annihilation amènent au même résultat. Les 5 étapes de mitose,
par étirement
et l'unique
étape d'annihilation, par
élimination ! On a donc
une loi en 6 étapes d'incrément a²,
soit a12.
Mais ce ratio aléatoire n'a aucune chance de coïncider avec le
ratio xi²,
typiquement aléatoire et induit par la tendance à l'isotropie !
La nature est donc sommée de trouver une variable
d'ajustement !
*
Le MS se demande d'où vient ce rayon dit « classique »
de l'électron valant ro = Le / a qui découle logiquement de lois
physiques incontournables alors que l'on ne peut le mesurer...
A la phase S l'annihilation à augmenté les intervalles (donc le
rayon de l'électron) de ce facteur a. L'univers est un
hologramme qui démarre en 2D et se mute en 3D + 1D. On remarque que
cette d'annihilation a laissé deux empreintes connues : le
rayon classique et dans le ratio grave/électrique. L'empreinte sur
le rayon classique intervient dans le calcul de la charge
élémentaire.
A chaque étape, d'émergence, s'exprime le principe premier de "dualité de localité".
RépondreSupprimer