Comment naît le temps ?
la dualité de localité
1/ localités étendues, duales, 1 D, individuelles et aléatoires : il s'agit de l'infinité d'oscillateurs statistiquement non liés et qui représentent le zéro physique. Dans le référentiel d'un pôle, M et L sont aléatoirement choisit à chaque cycle. Le zéro absolu est impossible. Les paramètres physiques, M L T, sont masqués dans le boson-dipolaire qui est donc égal à zéro. Il est possible de sommer à l'infini, des zéros physiques qui de plus, donnent bien un zéro global.
2/
N localités
étendues,
duales,
1 D, individuelles
et synchronisées :
il s'agit du lot de boson-oscillateurs duquel sont extraites les
paires électron-positrons. Le modèle OSCAR montre qu'ils ont la
même constante ML. Plutôt que de détailler M et L, nous prenons
l'unité :
Cette unité représente la constante élémentaire à partir de laquelle est fabriquée la fameuse constante de Planck : ħ = Ω c. De Ω on tire la force électrique liant les deux pôles du dipôle. Cette force est déclinée de la charge électrique élémentaire Q par l'intermédiaire d'un coefficient (de conversion d'unité) 107 que l'on a affublé de la dimension physique : [Q² / ML]. Il est fondamental de comprendre que le lien électrique Q² = f(ML) = f(Ω)*. Dans le dipôle, la charge au carré Q² est là pour annuler les 2 Ω opposés. Donc :
Ω
= ML =
3,517672884×10–43
m kg.
Cette unité représente la constante élémentaire à partir de laquelle est fabriquée la fameuse constante de Planck : ħ = Ω c. De Ω on tire la force électrique liant les deux pôles du dipôle. Cette force est déclinée de la charge électrique élémentaire Q par l'intermédiaire d'un coefficient (de conversion d'unité) 107 que l'on a affublé de la dimension physique : [Q² / ML]. Il est fondamental de comprendre que le lien électrique Q² = f(ML) = f(Ω)*. Dans le dipôle, la charge au carré Q² est là pour annuler les 2 Ω opposés. Donc :
ħ
= Ω c ; e²
= Q² = f(Ω)
Toute
la physique est déterminée par cela ! Mais
puisqu'il existe
une oscillation dans le
référentiel
monopôle,
elle a forcément une période et donc un temps
élémentaire, T.
Cette période est forcément adaptée à Ω (comme
pour une corde de guitare) où la période vaut :
T
= √(Ω/F)
Cependant,
comme le calcul de la
force F réclame de connaître T, on ne peut aboutir par cette
méthode. Il y a une
autre solution qui montre que la
période T est directement liée à Ω et Q par :
T
= k √3
(Q
Ω)1/3 *
=
f(√Ω)
= 1,288088666905
× 10–21
s,
avec
k
= 1,00008593616
qui est
justifié par des considérations d'habillages virtuels. Il joue
le même rôle
d'adaptation
d'unité, que
pour la
charge. Cependant se pose
ici un paradoxe :
peut-on trouver le temps élémentaire de l'électron à
partir d'une
unité arbitraire ?
Cela est rendu possible par : a) le fait d'avoir ramené à
deux, le nombre d'unités arbitraires : Ω, T ; b) le
schéma ci-après,
montre comment l'unité de
temps de
l'électron, influence la mesure de Ω. En
fait, le modèle OSCAR montre qu'en prenant Ω dans une autre unité, la mesure du temps
élémentaire de l'électron apparaîtra différente et
ce, exprimée
dans la même unité. Il
y a donc une
auto-adaptation
des deux unités fondamentales autour de l'objet électron dont les
relations physiques internes ne dépendent pas des dîtes unités.
3/
N localités
restreintes
collectives
et synchronisées :
La naissance du temps collectif (le temps cosmique qui s'écoule)
démarre en même temps que la réduction de localité qui sépare
les dipôles en
monopôles. Leur
séparation fait apparaître M L T. Les
masses se consolident (s'additionnent) et forme la masse de
l'univers. Le modèle montre qu'il s'agit d'une transition de
N petits oscillateurs en
un seul
oscillateur-univers, très
massique.
La
loi des oscillateurs est
claire : la période varie avec la racine carrée de la
variation de la masse ! Comme on connaît le nombre de masses
élémentaires, on en déduit la période de l'oscillateur univers.
Le temps qui s'écoule
est celui de la période d'un oscillateur géant.
4/
N localité
retreintes
collective en
cours de désynchronisation :
C'est l'état
bulle-univers qui se dissous progressivement dans l'état premier et
aléatoire.
Conclusion :
la notion de temps est une facette de la notion de moment
d'inertie 1D (M × L) et
de la charge Q. Mais
comme Q = f(ML)1/2,
alors on peut dire T3
= f(ML)3/2
et donc T
= f(ML)1/2
comme la charge (à des constantes près).
Ainsi la vitesse de la
lumière est donnée par : L / T qui sont les paramètres
élémentaires de la physique issus de l'électron. Ils concernent
autant l'espace-temps que la matière. On
retiendra que ce qui fait exister ML est la seule impossibilité
du zéro absolu pour M et l'impossible infini symétrique pour L. Que
de cette base naît la charge électrique élémentaire et le temps
élémentaire et ensuite toute ce qui en découle:
T
= f(ML)1/2
; Q
=
f(ML)1/2
*
pour ne pas alourdir le
propos, j'ai omis volontairement de préciser la présence de la
constante de structure fine, α.
On peut comprendre pourquoi ceux (parmi les scientifiques) qui confondent allègrement le zéro absolu des mathématiques avec le zéro relatif de la physique, ne peuvent aboutir à ce raisonnement. L'ontologie physique se construit grâce à l'impossibilité pour M, d'atteindre zéro et donc pour L, d'atteindre l'infini. Tout est là ! Autre façon de le dire :
RépondreSupprimerla localité zéro et infinie, n'existent pas.