Inédit : vue globale des deux états de l'univers
Nous
avons tous des difficultés pour appréhender la globalité de
l'univers. Nous pouvons tous nous représenter mentalement, une
bulle-univers en expansion mais aussitôt vient l'embarrassante
question : dans quoi est-elle contenue ?
A
cette question les adeptes du modèle standard ne savent que
répondre ! Pourtant cette question est d'autant légitime
qu'elle porte la notion de dualité !
Le dessin ci-après montre que l'univers a deux états :
1.
l'état permanent composé d'une infinité
d'oscillateur-boson-dipolaire-zéros qui sont la seule représentation
possible du zéro physique.
Le zéro
absolu mathématique étant incompatible avec
la physique sauf pour le dénombrement. En effet, on ne peut
concevoir une infinité d'oscillateurs que si (et seulement si) leurs
paramètres physiques résultants sont strictement fixés à zéro.
Par ailleurs, il y a 5 notions à prendre en compte :
1-1
la notion de référentiel qui
permet de distinguer ce qui se passe dans un pôle ou dans les deux
pôles opposés de l'oscillateur.
1-2
la notion variationnelle (oscillation) qui est la seule solution pour
se passer de constantes pré-établies, à jamais injustifiables.
1-3
dans le référentiel d'un pôle, la notion d'impossibilité
du zéro absolu.
En résumé elle contraint une symétrie ontologique entre la notion
d'inertie M et la notion d'amplitude spatiale L. Cela se traduit par
une recherche éperdue (impossible) d'une inertie nulle et dont la
réponse déphasée serait une amplitude infinie. Cela implique une
infinité de possibilités de « presque zéro » et donc
une permanence d'oscillations sans
perte d'énergie (régime adiabatique).
1-4
la notion de brassage statistique hors du
temps, à entropie informationnelle infinie !*
qui induit une probabilité unitaire de synchronisation
des bosons qui débouche sur un Condensat de Bose Einstein (BEC).
1-5
la notion de saturation qui induit : a) la réduction
de localité ou séparation en monopôles avec
révélation des paramètres MLT (c'est la matière sur la couche
externe du BEC) ; b) la notion de mitose
fractale qui induit l'expansion en couches de
vitesses, des dipôles-zéros du volume du BEC, formant
l'espace-temps. On voit qu'espace-temps et matière ont la même
source !
2.
L'état bulle-univers en expansion dont la cause est la
mitose. Elle est plongée dans l'infinité des boson-oscillants non
connexes. Cela veut dire qu'il n'y a pas de cumul des
amplitudes particulières. Contrairement à la structure
d'espace-temps de la bulle-univers, il n'y a pas d'extension spatiale
basée sur un réseau d'amplitudes élémentaires. Pas de MLT veut
dire, pas de géométrie, pas de masse, et pas
de temps dans le
référentiel global. L'aire de la bulle-univers est
le lieu d'interaction avec le milieu stochastique. Plus elle grandit,
plus l'influence de désynchronisation est forte. La seule chose qui
résiste à l'augmentation d'entropie, c'est la vie ! Elle est
basée sur la lutte pour conserver sa synchronisation interne.
*
une infinité de régimes oscillatoires, induit une entropie
informationnelle infinie. Cela veut simplement dire que l'on ne peut
pas dénombrer le nombre de régimes. Le fait de former un BEC ayant
un seul régime (synchronisation) fait baisser à 1 la quantité
d'informations pour connaître ce régime unique. Donc l'entropie
informationnelle devient minimale. Puis la saturation provoquant la
mitose-expansion, la bulle-univers retourne graduellement vers l'état
à haute entropie.
Le dessin ci-après montre que la
conformation en couches de vitesses, est compatible avec
l'isotropie observationnelle, où tout s'éloigne autour de nous
comme si nous étions au centre. Cette variété de géométrie
euclidienne remplace avantageusement la spéculative métrique
riemannienne du modèle standard. Sa cause, entièrement
justifiée, entraîne
l'explication de la matière noire, de l'énergie sombre et se passe
de la très spéculative inflation. Le BEC fossile est l'immense et
unique trou détecté dans la direction de l'éridan. La croissance
de l'aire de la bulle-univers, favorise la perte progressive de la
synchronisation sous l'influence des bosons stochastiques externes.
Il reste néanmoins la difficulté d'imaginer un nombre infini, incapable de construire un espace consolidé. On pourrait qu'il s'agit plutôt d'un espace des phases..... La non connexité des espaces élémentaires (1D et variables) n'est pas facile à imaginer. La consolidation d'un réseau suppose des liens interactifs qui n'existent pas. Sauf dans dans le cas du lot qui se synchronise.....
RépondreSupprimer1. C'est vrai que l'expansion de notre bulle univers de 61 GYL de rayon dans rien de plus grand qu'elle, semble dénuée de sens, sauf pour OSCAR ! L'espace et le temps ne sont organisés que dans la bulle univers. Au delà, la caractéristique stochastique et non connexe de l'état permanent de l'univers s'apparente au rien globalement, mais à l'infini individuellement. En physique, l'infini c'est l'infinité de zéros, le zéro, c'est une infinité de façon d'y arriver, notamment quand il n'y aucune constante, aucune règle. Le zéro statique est impossible, c'est donc un zéro étendu, une localité étendue qui n'a d'existence que le temps d'un "cycle", tout comme la bulle univers. Le cycle suivant sera différent, aléatoirement, car le zéro inertie n'aura pas été atteint et donnera donc une amplitude de localité étendue, différente.
RépondreSupprimerLe zéro et l'infini sont indissociables, c'est la nature même de l'univers. Le zéro plaira aux mathématiciens, l'infini aux mystiques. Le physicien y verra une dualité instable qui lui donne du sens, du corps, de la vie.
2. Mr Mareau, dans un billet précédent, vous parlez de la fin de notre bulle univers, comme la dissolution de tous les photons dans l'état stochastique de l'univers, en arrivant aux limites de la bulle univers. Est-ce possible qu'un photon atteigne les limites de notre bulle univers? Tant que la valeur de la vitesse d'expansion des limites de notre bulle univers est égal à c, le photon ne peut rattraper ce bord qui va au moins aussi vite que lui. Par ailleurs, le photon perd de son énergie en rendant progressivement l'énergie au subquantique. Au terme de l'expansion de l'univers, n'est-il pas probable que l'énergie des photons soient égale à zéro?
Enfin, le photon n'est-il pas un phénomène de perturbation qui n'a de sens que dans notre bulle univers? D'ou son impossibilité de se mêler au désordre non connecté de l'état d'univers permanent.
3. Notre bulle univers est comme un trou noir, rien ne sort. Elle porte en elle, par la gravitation, son retour au désordre total, elle s'évanouira par elle même, par l'intérieur.
Si ce n'était pas le cas, alors cette bulle univers serait visible de l'extérieur (ce qui n'a pas de sens) notamment par ces échanges (de quoi?) avec les bosons non synchronisés et confinés, expressions du zéro. Ces échanges seraient des perturbations (issues de la bulle univers) qui ne perturberaient rien (hors de la bulle univers) !
Merci pour votre éclairage.
Bonjour LC,
RépondreSupprimerIl faut bien voir que la vitesse constante (c) des photons est relative au BEC hébergeur. Si un BEC possède une vitesse d'expansion vo, alors, relativement au centre, le photon (dans l'axe radial vers l'extérieur) voyage à vitesse c+vo. Mais comme les BECs subissent l'expansion par glissement radial (déchevêtrement), le BEC suivant fuit vers l'avant à vitesse v < vo ! Il en ressort que dans l'axe radial extérieur, les photons vont plus vite que l'expansion ! Mais quelle que soit la vitesse, le bord représente toujours le seuil de réintégration complète des photons. Cela n'est pas prévu dans la théorie d'Einstein où c n'est pas additif. Il faut dire que le modèle standard admet l'idée que l'expansion ne suit pas la loi de la relativité restreinte.
S'agissant des photons émis en cours d'expansion, donc sans symétrie centrale, la situation est moins claire : comme leur déplacement est commandé par les oscillateurs du BEC, quel est leur comportement aux limites ? Soit ils stationnent soit ils rebondissent.
Cependant comme ils sont en mode oscillateur comme les autres (mais transverse), on pourrait considérer qu'ils font partie du flux de retour au monde stochastique.... Là je n'ai pas de réponse pour le moment !
Vous avez raison de dire que la bulle-univers est comme un trou noir mais vous ne pouvez dire que "rien ne sort". Car le trou noir concerne la matière mais pas les oscillateur-bosons formant réseau d'espace-temps. Ceux-là sortent en se moquant de la loi des trous noirs. Mais de plus, on peut considérer qu'au stade final, la matière (via le passage en DM) sera complétement annihilée. Donc la porte sortie pour ce trou noir (comme pour tous) est le niveau subquantique.
Les "trous de vers" évoqués par certains pour les trous noirs, sont pour moi, les bosons subquantiques car leur vitesse, largement supraluminique, leur permet de sortir facilement. Cependant, le flux de sortie est extrêmement long car il ne dépend que de l'effet tunnel.
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