la farce de l'énergie (suite 3 et fin)
L'expansion
de l'univers fait baisser la densité :
a)
des boson-tachyons (qui structurent l'espace-temps) par le flux :
synchronisation S → désynchronisation D qui enrichit la
matrice stochastique dans laquelle la bulle-univers est plongée.
b)
de la matière par le truchement des collisions → matière noire.
Au fil des collisions répétées, elle s'appauvrit jusqu'à
disparaître complètement.
Il
est important de noter qu'en (a) la densité apparente ne change pas
car l'expansion produit un déchevêtrement des BECs. Au fil du
temps, les galaxies se désagrègent et alimentent l'espace
intersidéral en BECs car c'est lui qui subit l'expansion. Cela
explique le paradoxe qui admet l'expansion sans
élargir les volumes élémentaires qui sont garants
de la constance de la vitesse de la lumière. La diminution de la
masse M de la matière, entraîne la réduction de la durée de vie,
To, de l'univers, selon T = f(√M).
Par ailleurs, la masse gravitationnelle qui implique : To
= G M /c3 entraînerait une réduction
supplémentaire de : T = f(M)
si G reste constant.
Mais par définition,
G est sensé disparaître, à terme, en même temps que la cause
qui lui a donné naissance. Il
y a également une troisième cause de perte de masse. Il s'agit de
l'équivalence masse-énergie des mouvements.
Que
se passe-t-il si un papillon se déplace avec une puissance p
?
Quand
un papillon vole avec une
puissance p,
il participe à la réduction de la période canonique de l'univers
(To = Eo / Po) selon : T = To – Eo /(Po+p) avec Eo l'énergie
créditée par la synchronisation primordiale et Po =
Eo / To. Le modèle OSCAR
montre comment est calculée la période
brute To, de la bulle-univers.
A
la base, tous les types
d'énergie (complémentaires à Eo) sont issues de l'interaction
faible venant de la fusion nucléaire des étoiles*. Toutes les
formes dérivées (ci-après) participent à accélérer
l'augmentation d'entropie de l'univers et donc diminuer sa période :
a) le rayonnement thermique ; b) le potentiel énergétique
atomique contenu dans les produits de fusion (comme l'uranium qui
sera éventuellement exploité par fission nucléaire) ;
c) le potentiel énergétique chimique (comme le pétrole, ou les
éléments nutritifs).
Les
potentiels (b et c) ne sont pas forcément utilisés et s'il le sont,
ce sera
avec effet retard. A partir de ces potentiels, peuvent être créées
des formes d'énergie cinétique qui
à leur tour, participeront à réduire la période de la
bulle-univers. Si l'énergie n'est pas relativiste (grande impulsion
à faible vitesse) alors l'équivalent massique à l'énergie
dépensée sera : w / c². A cela viendra s'ajouter la part
relativiste, via le facteur de Lorenz.
Δ
M = Mo – M/1046
→ Δ
T = To – T/1023
Soit
le bilan énergétique E des quatre phases d'une bulle-univers :
A. La
somme des boson-zéros primordiaux, présente une entropie maximale →
crédit :
Lot de N
modes individuels à localités
étendues,
inégales, virtuelles
B. Leur fusion-synchronisation forme un
BEC virtuel → crédit :
1
mode collectif à N localités étendues, égales,
virtuelles
C. Réduction de localité d'une couche 2D +
mitose-expansion du BEC : débit virtuel
→ réel
1
mode collectif de N localités
restreintes, égales, réelles
D. Expansion et son terme : :
débit : réel →
virtuel (retour à A)
1
mode collectif à N → 0 localités
restreintes
E
= A + B + C + D ≡ 0
cliquez sur le tableau pour agrandir
le brassage statistique des bosons-zéro (M L T = 0) se fait sans écoulement du temps. En A il s'agit du lot aléatoire et limité qui formera le futur BEC.
La
réduction de localité revient à une rotation de π/2
sur le BEC. On peut dire ainsi que l'état virtuel transite
provisoirement par une forme imaginaire (au sens mathématique) pour
retourner à son état initial. C'est
un cycle
fermé
de l'entropie
informationnelle.
L'énergie que nous
connaissons –
sous toutes ses formes –
est toujours l'effet d'une
transition sous forme d'impédance ou débit massique [M/T] en
direction du niveau subquantique. l'équivalent masse de l'énergie
du papillon, en raccourcissant le temps, augmente le débit [M/T].
Dans
le référentiel
BU
« bulle-univers »
en expansion,
l'énergie
globale ne se conserve pas, comme observé.
Dans
le référentiel
OS
du cycle
« oscillateurs stochastique ↔ bulle-univers »
l'énergie
se conserve au niveau strictement
zéro.
Dans
le référentiel OS,
il y a équivalence
entre l'entropie informationnelle*
et l'entropie « réelle ».
Dans
le référentiel BEC primordial, c'est l'énergie « dite
réelle » qui est imaginaire ou virtuelle.
Dans
le référentiel BU, toutes les formes d'énergie reviennent à un
flux d'impulsion [ML/T] vers le niveau subquantique en
tenant compte du facteur
de Lorentz (relativité).
*
La nouvelle théorie (partielle) de VERLINDE a deux points communs
avec la théorie (du tout) OSCAR : a) l'idée fondamentale
d'équivalence entre l'entropie informationnelle et l'énergie ;
b) l'univers holographique où toute l'information est contenue sur
l'aire 2D qui l'entoure. C'est ainsi que pour OSCAR, l'information
physique de la matière est initialement, entièrement contenue sur
la couche externe du BEC primordial. De plus la bulle-univers en
expansion est en interaction avec la matrice stochastique dans
laquelle elle est plongée. Plus elle grandit plus le flux d'entropie
de désordre la quitte, jusqu'à ce qu'elle soit entièrement vidée.
En
revanche, OSCAR montre comment on passe d'une infinité de
cordes-zéros 1D, a une monde 2D puis 3 D. Il explique également la
cause, de la vitesse limite de la lumière, ce qui induit la
quatrième dimension. Enfin, le modèle OSCAR montre comment le
niveau quantique est relié au niveau subquantique, par une cinquième
dimension.
En conclusion, la farce de la non conservation apparente de l'énergie, vue dans le seul référentiel de la bulle-univers en expansion, n'est pas significative. Dans le cycle des quatre phases, tout se résume en l'échange adiabatique entre un état d'entropie informationnelle et un état d'entropie physique. Toutes les formes d'énergie sont les vecteurs du flux de retour vers l'état stochastique.
En conclusion, la farce de la non conservation apparente de l'énergie, vue dans le seul référentiel de la bulle-univers en expansion, n'est pas significative. Dans le cycle des quatre phases, tout se résume en l'échange adiabatique entre un état d'entropie informationnelle et un état d'entropie physique. Toutes les formes d'énergie sont les vecteurs du flux de retour vers l'état stochastique.
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