Le satellite Planck confirme le modèle OSCAR (2)
Comme
promis, voici un détail plus poussé des causes du dipôle de température, mesuré par le satellite Planck. Encore une fois nous
allons utiliser le robuste principe de dualité
de localité. Le dessin suivant montre les effets pour
trois directions différentes, (à partir des trois points : a,
b, c) situés sur notre couche d'expansion à 0,5
c. Chaque ligne de vision voyage dans l'espace et donc dans le
passé avec une inflexion vers le centre.
Dans toutes les directions, les galaxies s'éloignent de nous. Il n'y
a pas de lieu privilégié*.
Avant
d'aller plus loin, il nous faut définir la notion duale d'horizon
cosmologique qui est différente de celle du modèle standard.
Sa dualité tient compte du spectre
des vitesses (0 à 5 c) :
a)
l'horizon cosmologique de localité apparente (HCL), fixé par la
longueur de Hubble = 13,8 G.y.l ;
b)
l'horizon cosmologique comobile (HCC), qui tient compte des
éloignements relatifs, depuis l'origine. Contrairement au modèle
standard, l'origine ne peut être aperçue que dans une seule
direction (l'Eridan). Ainsi la distance comobile est tout simplement
deux fois celle de Hubble : ~ 28 G.y.l < 46 G.y.l (MS) !
Le
dessin suivant montre :
-
qu'en regardant (point a) vers l'Eridan, on aperçoit le BEC
fossile, situé à environ 10 Gyl.
-
qu'en regardant (point b) tangentiellement, la ligne s'incurve vers
le centre (passé) et l'horizon cosmologique ne permet pas de voir le
BEC fossile.
-
qu'en regardant (point c), dans la direction opposée, la ligne
s'incurve vers le centre (passé) et l'horizon cosmologique ne permet
pas de voir le BEC fossile. Plus on remonte vers le passé, plus
l'univers était concentré. Mais à concentration extrême, était-il
en couches superposées ?
Toutes les couches de vitesse devraient normalement être à
température d'origine : To = 2Te = ×1010 K,
la température d'annihilation de l'électron. Au temps commun (âge univers)
: tu = 13.8 G.y.l, les
températures locales sont
proportionnelles à leurs aires propres. Par exemple, la couche (v
= c) à parcouru une distance : Dc
= c to, soit le double de celle
de notre couche (v = 0,72 c).
Sa température locale est donc 2² fois
moins élevée. Mais avec l'effet retard (vitesse c de la lumière),
on devrait la mesurer égale à celle de notre propre
localité. car quand l'information nous parvient, sa position
était égale à la nôtre ! Donc, on attend une température unique dans le
fond diffus, ce qui n'est pas le cas ! Force est de constater
que dans la direction de l'Eridan, on mesure :
Tsud
= k Tnord
avec
k = 1,10,
la
valeur mesurée par le satellite Planck.
Le
spectre des vitesses d'expansion s'étale de 0 à 5 c. Pourquoi un
minima à zéro et non à
c,
si chaque étape de mitose éjecte à vitesse c ? Nous
avons
vu qu'à l'origine, il n'y avait pas de superposition qui aurait placé chaque couche à égale distance de
la température d'annihilation.
En
résumé :
a)
on mesure effectivement les signes d'une accélération autour de
l'aire du trou de l'Eridan.
b)
lors de
l'annihilation, les couches en avance n'étaient plus superposées
mais décalées de Δr.
c)
la loi en 1/r² leur confère la température plus faible qui
est constatée par la mesure.
d)
le dipôle du fond diffus confirme la métrique euclidienne à
couches de vitesse (0 à 5 c).
e)
le trou (unique) de l'Eridan est cohérent avec le BEC fossile.
f)
le BEC fossile est situé dans le pôle plus « chaud ».
g)
la mesure de l'isotropie observationnelle est compatible avec ce
modèle.
* il
n'y a pas de lieu privilégié hormis les couches de BECs
périphériques de la bulle-univers.
** De notre position à D(t) = 9.95 G.y.l du trou de l'Eridan (BEC fossile), on mesure le fond diffus à 2,725 K. Or on vérifie que son ratio avec la température de l'électron (Te), correspond à bien à la règle en 1/r².
** De notre position à D(t) = 9.95 G.y.l du trou de l'Eridan (BEC fossile), on mesure le fond diffus à 2,725 K. Or on vérifie que son ratio avec la température de l'électron (Te), correspond à bien à la règle en 1/r².
La mitose du BEC fossile et son aspect fractal, figent une configuration en groupes de couches assez serrées mais ayant un gradient de distribution spatiale radiale, de 1,05 !
RépondreSupprimerC'est une confirmation indirecte de la bulle-univers configurée en couches de vitesse, qui explique l'isotropie observationnelle. Cela est confirmé par le fait de ne voir le trou unique de l'Eridan que dans une seule direction, celle où le fond diffus est le plus "chaud".
Il faut bien comprendre que si l'annihilation s'était produite avec toutes couches fossiles superposées, alors le fond diffus serait uniforme (non dipolaire). En regardant loin, on voit l'état passé mais limité par l'horizon cosmologique. Sans cette limite, on verrait l'Eridan dans toutes le directions !
RépondreSupprimerJoyeux noël à tous (tes) et le bonjour à mes lecteurs de France, d'Ukraine, du Canada, de la Réunion, des USA, Italie, Allemagne, Martinique, Lettonie, Pérou....
RépondreSupprimerJoyeux Noël également à vous, Mr MAREAU !
SupprimerPuis-je souhaiter, pour la nouvelle année, que OSCAR gagne encore en notoriété et impose sa cohérence ?
Bien à vous.
Merci à vous Jihems et joyeux noël également !
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