Mitose fractale = énergie sombre + matière noire
Voici
un extrait de Wikipédia qui résume le modèle standard à l'égard
de la distribution de l'énergie sombre et de l'énergie noire. J'ai
surligné ce qui m'apparaît inexact ou spéculatif :
-
« .... l'univers
(a)
est composé d'énergie sombre
emplissant tout l'Univers et dotée d'une pression
négative (b),
qui la fait se comporter comme une force
gravitationnelle répulsive (c).
L'existence de l'énergie noire est nécessaire pour expliquer
diverses observations astrophysiques, notamment l'accélération de
l'expansion de l'Univers détectée au tournant du XXIe siècle.
Malgré
une densité très faible (de l'ordre de 10−29
g/cm3)
(d), l'énergie noire est
une composante majeure de l'Univers
(a), représentant
environ 68 % de la densité d'énergie totale. Sa nature reste
aujourd'hui encore inconnue (e).
..... L'énergie noire ne doit pas être confondue avec la matière
noire qui, au contraire (f),
ne remplit pas uniformément l'Univers et qui interagit normalement
(forces attractives) avec la gravitation .... ».
Remarques :
a) parler de
« l'univers » sans préciser qu'il a deux
états est une erreur ;
b) il est naïf
d'évoquer une pression négative pour « expliquer »
l'accélération ;
c) l'idée d'une
répulsion gravitationnelle est infondée et spéculative ;
d) l'expression
moderne de la densité se fait avec les unités, kg/m3.
Ce nombre est à multiplier par 1000 soit : 10–26
kg/m3. De plus il est sous estimé d'un facteur
6 !
e) sa nature est
inconnue pour le modèle standard mais expliquée par le modèle
OSCAR.
f) la matière noire
remplit la bulle-univers, elle n'est pas seulement dans les galaxies.
Encore
une fois, il faut distinguer la qualité des observations
cosmologiques de leurs interprétations physiques. Le regard du
mathématicien sur la physique, de nature analytique et
réductionniste, devrait s'inspirer aussi de la démarche
synthétique. La sagesse est dans la dualité {réductionniste +
holiste}. Le modèle standard est en crise à cause de modèles
mathématiques, éloignés du réel.
La
clé du modèle
OSCAR est duale :
a)
le zéro absolu mathématique est incompatible avec la physique ;
b)
l'ontologie du zéro physique est issue de la dualité
de localité.
Sur
cette base il montre pourquoi il existe un état stochastique
permanent de l'univers, peuplé d'une infinité de
boson-oscillant-zéro-duaux. Dans le référentiel boson-dipolaire,
les paramètres M L T = 0. Statistiquement, le brassage induit une
fusion-synchronisation des
boson-oscillants qui forment un BEC originel (toujours avec M L T =
0). La saturation induit la réduction
de localité (séparation en monopôles) qui induit
l'émergence de la
matière-temps sur l'aire du BEC (hologramme). Dans le même temps,
la mitose fractale (volume
du BEC) se développe en 5
étapes fractales. Ces 5
étapes de mitose, induisent l'expansion. A chaque étape, est éjecté
un enchevêtrement, à vitesse c. L'isotropie des éjections est la
cause des nombreuses collisions observées.
Ces
collisions sont des recouvrement partiels
de localité
qui dégénèrent la matière visible en matière
noire. Ainsi le volume de la bulle-univers est fait de
couches de BECs dont les vitesses varient de : 0
à 5 c. Le modèle montre
que notre galaxie est située dans la couche : v
= 0,511 c. Le rayon max actuel, de R(t) = 61
G.y.l (milliards d'années lumière) est déjà en
décélération ! Le BEC fossile est détecté vers l'éridan et
sa taille est de 1,8 G.y.l ! Notre horizon cosmologique nous
permet de voir localement, une accélération de l'expansion
des couches en retard dont la nôtre. La vitesse moyenne de
l'expansion, 2,5 c, ramenée à
l'horizon cosmologique est : (45/61) × 2,5 c = 1,84
c. Si l'on compare l'énergie de l'expansion locale : M
v² / 2 à l'énergie interne M c² on obtient le
facteur : v² / 2 c² = 1,7.
Ainsi le pourcentage : masse noire + visible, devient :
100 – 68 = 32 % ! Cependant le ratio OSCAR, masse
noire / visible, est d'environ 36 et non 6, comme estimé par le
modèle standard. Voir ci-après : distribution selon modèle
OSCAR.
L'énergie
« sombre » n'est donc que cette accélération
différentielle qui est amenée à disparaître lorsque les vitesses
d'expansion, seront équilibrées. En revanche l'énergie visible se
transforme progressivement en énergie noire, par les collisions
(réduction de localité)
successives. A terme tout devient photons amenés à quitter la
bulle-univers pour se dissoudre dans l'état stochastique.
Le
ratio de masse noire / visible est effectivement de 6 dans les
galaxies mais passe à 36 dans les espaces intergalactiques. On le
constate déjà dans les halos de galaxies
naines.
Interprétation
standard du relevé du satellite Planck
Interprétation
par le modèle OSCAR où le ratio noire/visible est 6 fois grand.
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